Quelques heures après la fin du procès Adji Sarr - Ousmane Sonko, le gynécologue Alfouseynou Gaye est revenu, hier, dans un communiqué pour apporter des précisions sur les propos qu'il avait tenus à la barre de la chambre criminelle comme témoin.
Selon lui, il n'a jamais affirmé qu'il y avait la présence de spermatozoïdes dans le sexe de l'accusatrice, Adji Sarr. "D'abord un spermatozoïde, n'est pas visible à l'oeil nu, donc un examen physique ne peut en aucun cas en établir la présence et encore moins en conclure à leur état de mort ou vivant. Lors de cet examen préliminaire du 2 février 2021, je n'ai décelé ni liquide séminal ni sperme. Les prélèvements effectués ce jour - là sont uniquement des sécrétions vaginales. J'ai également bien mentionné l'absence de lésions vulvaires. Cette constatation ne me permet pas de conclure à une activité sexuelle récente. Ainsi, elle n'a présenté aucun stigmate de traumatisme physique et psychologique susceptible d'être signalé", a écrit Dr Gaye.
Selon lui, il n'a jamais affirmé qu'il y avait la présence de spermatozoïdes dans le sexe de l'accusatrice, Adji Sarr. "D'abord un spermatozoïde, n'est pas visible à l'oeil nu, donc un examen physique ne peut en aucun cas en établir la présence et encore moins en conclure à leur état de mort ou vivant. Lors de cet examen préliminaire du 2 février 2021, je n'ai décelé ni liquide séminal ni sperme. Les prélèvements effectués ce jour - là sont uniquement des sécrétions vaginales. J'ai également bien mentionné l'absence de lésions vulvaires. Cette constatation ne me permet pas de conclure à une activité sexuelle récente. Ainsi, elle n'a présenté aucun stigmate de traumatisme physique et psychologique susceptible d'être signalé", a écrit Dr Gaye.