El H. M. Fougne et S. Ndiaye ont décidé d'agir contre O. Pouye, un pêcheur accusé d'avoir utilisé leurs épouses comme des objets sexuels pendant plusieurs mois. Accompagnés de leurs femmes, ces maris ont déposé des plaintes à la brigade de gendarmerie de Joal. D'autres couples suivront leur exemple.
Les plaignants affirment que le suspect utilisait le même modus operandi : il attirait ses victimes chez lui, les menaçait avec un couteau, les violait tout en filmant les actes, puis les faisait chanter. Il les menaçait de divulguer les vidéos compromettantes s'ils refusaient de satisfaire ses désirs sexuels.
L'affaire a éclaté le 2 avril lorsque El H. M. Fougne a découvert l'infidélité de sa femme, S. Diop, qui a avoué après avoir été confrontée à ses absences répétées. Son calvaire a duré cinq mois.
Les gendarmes ont convoqué O. Pouye après la plainte de S. Diop, mais un autre couple, S. Ndiaye et A. Konaté, a également accusé le pêcheur des mêmes faits. Selon L'Observateur, de nombreuses autres femmes mariées ont également témoigné à la gendarmerie, souvent par téléphone, en raison de leur statut matrimonial.
O. Pouye nie les accusations de viol et de menaces de mort, affirmant que les relations étaient consenties. Il a été déféré au parquet de Mbour après la fin de sa garde à vue."
Les plaignants affirment que le suspect utilisait le même modus operandi : il attirait ses victimes chez lui, les menaçait avec un couteau, les violait tout en filmant les actes, puis les faisait chanter. Il les menaçait de divulguer les vidéos compromettantes s'ils refusaient de satisfaire ses désirs sexuels.
L'affaire a éclaté le 2 avril lorsque El H. M. Fougne a découvert l'infidélité de sa femme, S. Diop, qui a avoué après avoir été confrontée à ses absences répétées. Son calvaire a duré cinq mois.
Les gendarmes ont convoqué O. Pouye après la plainte de S. Diop, mais un autre couple, S. Ndiaye et A. Konaté, a également accusé le pêcheur des mêmes faits. Selon L'Observateur, de nombreuses autres femmes mariées ont également témoigné à la gendarmerie, souvent par téléphone, en raison de leur statut matrimonial.
O. Pouye nie les accusations de viol et de menaces de mort, affirmant que les relations étaient consenties. Il a été déféré au parquet de Mbour après la fin de sa garde à vue."