L'ancien Premier ministre sénégalais Aguibou Soumaré a fait une déclaration percutante à la sortie du palais de justice. Il a souligné son engagement envers les institutions du pays et a appelé à un respect accru de l'indépendance des pouvoirs, une des principales dispositions de la Constitution sénégalaise.
"Je suis respectueux des institutions," a déclaré Soumaré, un ancien ministre et président de la commission, "mais la seule chose que l'on peut fustiger, c'est un président qui ne défère pas à l'indépendance des pouvoirs qui sont dévolus par notre Constitution."
En soulignant son dévouement pour son pays, Soumaré a rappelé sa carrière de fonctionnaire dans laquelle il n'a cessé de prendre ses responsabilités. Il a également mentionné la seule décoration qu'il a reçue, provenant de l'ancien président Abdou.
"Je continuerai à prendre mes responsabilités, car il s'agit de l'avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et du Sénégal, pour lequel certains sont prêts à donner leur vie," a-t-il souligné.
Cependant, Soumaré a critiqué ceux qui, selon lui, agissent de manière insincère pour créer des problèmes ou pour empêcher les autres de progresser. "Ce que je veux, c'est un dialogue sincère, un dialogue sans arrière-pensée," a-t-il affirmé.
Soulignant que le Sénégal est actuellement confronté à un conflit politique plutôt qu'à une guerre, Soumaré a insisté sur le fait que le président de la République doit être conscient qu'il est le président de tous les Sénégalais et doit résister à ceux qui cherchent à semer la division.
"Moi, j'ai géré des pays où il y avait eu des conflits importants, j'ai vu ce que ça a été. Je ne veux pas que mon pays sombre dans cette situation," a-t-il averti, faisant référence à son expérience de gestion de crises majeures.
Dans un appel urgent à la classe politique, y compris le gouvernement actuel, Soumaré a demandé que tous reviennent à la raison, tempèrent leurs ardeurs et respectent les traditions et la culture sénégalaise. "C'est le Sénégal et les Sénégalais que nous devons avoir à cœur," a-t-il conclu.
"Je suis respectueux des institutions," a déclaré Soumaré, un ancien ministre et président de la commission, "mais la seule chose que l'on peut fustiger, c'est un président qui ne défère pas à l'indépendance des pouvoirs qui sont dévolus par notre Constitution."
En soulignant son dévouement pour son pays, Soumaré a rappelé sa carrière de fonctionnaire dans laquelle il n'a cessé de prendre ses responsabilités. Il a également mentionné la seule décoration qu'il a reçue, provenant de l'ancien président Abdou.
"Je continuerai à prendre mes responsabilités, car il s'agit de l'avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et du Sénégal, pour lequel certains sont prêts à donner leur vie," a-t-il souligné.
Cependant, Soumaré a critiqué ceux qui, selon lui, agissent de manière insincère pour créer des problèmes ou pour empêcher les autres de progresser. "Ce que je veux, c'est un dialogue sincère, un dialogue sans arrière-pensée," a-t-il affirmé.
Soulignant que le Sénégal est actuellement confronté à un conflit politique plutôt qu'à une guerre, Soumaré a insisté sur le fait que le président de la République doit être conscient qu'il est le président de tous les Sénégalais et doit résister à ceux qui cherchent à semer la division.
"Moi, j'ai géré des pays où il y avait eu des conflits importants, j'ai vu ce que ça a été. Je ne veux pas que mon pays sombre dans cette situation," a-t-il averti, faisant référence à son expérience de gestion de crises majeures.
Dans un appel urgent à la classe politique, y compris le gouvernement actuel, Soumaré a demandé que tous reviennent à la raison, tempèrent leurs ardeurs et respectent les traditions et la culture sénégalaise. "C'est le Sénégal et les Sénégalais que nous devons avoir à cœur," a-t-il conclu.