Le Pastef semble dominer la scène politique lors des dernières élections législatives, affichant une avance significative sur ses rivaux dans plusieurs régions stratégiques du Sénégal. Le parti d’Ousmane Sonko capitalise sur de solides victoires, notamment dans des zones clés comme Dakar, Mbacké, et Keur Massar. Dans la capitale, Dakar, le Pastef a triomphé face à des poids lourds politiques tels que Barthélémy Dias, ce qui marque un tournant pour la formation politique de Sonko.
La dynamique du parti ne se limite pas à Dakar : Guédiawaye, qui avait soutenu largement Sonko lors des précédentes élections présidentielles, confirme son adhésion au Pastef. Dans Keur Massar, l'élan en faveur du Pastef est particulièrement palpable, soulignant une forte mobilisation locale autour de Sonko et de ses alliés.
Dans le Sud du pays, les régions de Ziguinchor et Sédhiou, historiquement favorables à Sonko, maintiennent une forte fidélité envers le Pastef, ce qui assure au parti une avance nette dans ces localités. Même dans des régions plus éloignées comme Tambacounda et Kédougou, le Pastef parvient à s’imposer et à distancer ses concurrents.
Cependant, le paysage électoral n'est pas entièrement favorable au Pastef. À Linguère, le ministre El Malick Ndiaye réalise une percée remarquable en remportant des communes stratégiques, ce qui démontre la capacité de l’alliance présidentielle à résister dans certaines zones. Maguette Sène, bien qu'il ait fait des incursions à Mbour, se trouve dominé par la liste présidentielle, une indication que les forces en présence ne sont pas homogènes.
Dans le Nord du pays, les régions de Fatick et Matam demeurent des bastions solides pour l’ancien président Macky Sall. L'implantation historique de son mouvement y reste forte, en particulier dans des localités comme Podor et Dagana, où le Pastef peine à s'imposer.
À l’international, le soutien au Pastef se confirme également, avec des résultats favorables dans les bureaux de vote de Paris et d'Asie, renforçant l’idée que le parti jouit d’une large diaspora mobilisée. En revanche, en Afrique centrale, notamment au Gabon et au Congo, Macky Sall réussit à maintenir une base solide, malgré la poussée de l'opposition.
En somme, le Pastef semble bien placé pour remporter une victoire significative, mais son avance est sérieusement challengée dans certaines zones stratégiques, notamment dans le Nord et parmi les bastions historiques du pouvoir.
La dynamique du parti ne se limite pas à Dakar : Guédiawaye, qui avait soutenu largement Sonko lors des précédentes élections présidentielles, confirme son adhésion au Pastef. Dans Keur Massar, l'élan en faveur du Pastef est particulièrement palpable, soulignant une forte mobilisation locale autour de Sonko et de ses alliés.
Dans le Sud du pays, les régions de Ziguinchor et Sédhiou, historiquement favorables à Sonko, maintiennent une forte fidélité envers le Pastef, ce qui assure au parti une avance nette dans ces localités. Même dans des régions plus éloignées comme Tambacounda et Kédougou, le Pastef parvient à s’imposer et à distancer ses concurrents.
Cependant, le paysage électoral n'est pas entièrement favorable au Pastef. À Linguère, le ministre El Malick Ndiaye réalise une percée remarquable en remportant des communes stratégiques, ce qui démontre la capacité de l’alliance présidentielle à résister dans certaines zones. Maguette Sène, bien qu'il ait fait des incursions à Mbour, se trouve dominé par la liste présidentielle, une indication que les forces en présence ne sont pas homogènes.
Dans le Nord du pays, les régions de Fatick et Matam demeurent des bastions solides pour l’ancien président Macky Sall. L'implantation historique de son mouvement y reste forte, en particulier dans des localités comme Podor et Dagana, où le Pastef peine à s'imposer.
À l’international, le soutien au Pastef se confirme également, avec des résultats favorables dans les bureaux de vote de Paris et d'Asie, renforçant l’idée que le parti jouit d’une large diaspora mobilisée. En revanche, en Afrique centrale, notamment au Gabon et au Congo, Macky Sall réussit à maintenir une base solide, malgré la poussée de l'opposition.
En somme, le Pastef semble bien placé pour remporter une victoire significative, mais son avance est sérieusement challengée dans certaines zones stratégiques, notamment dans le Nord et parmi les bastions historiques du pouvoir.