Le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko a été "séquestré" chez lui avec sa famille, depuis son arrestation à Koungheul par la gendarmerie lors de sa "caravane de liberté", son domicile est devenu inaccessible à ses parents, proches et aux responsables de sa bannière politique, le blocus ne sera sitôt levé. Selon le ministre de l' Intérieur , Antoine Félix Diome "bien que la barricade ne soit pas statique, elle est dynamique, elle rentre dans ce cadre du maintien de l’ordre public", a - t - il expliqué.
Il ajoute : «C’est pour cette raison, conformément aux doctrines du maintien de l’ordre, qu’on ne peut se permettre de le (O. Sonko) laisser faire le tour du pays pour compter les morts derrière. Et en vertu des principes du maintien de l’ordre, des restrictions peuvent lui être imposées. Si on se rend compte que la situation le permet ou arrive à un moment où il faut enlever les barrières, on le fera. Mais en cas de nécessité, on n’hésitera pas à imposer des barrières, à la Cité Keur Gorgui ou ailleurs, pour des raisons liées à la sécurité», précise Antoine Diome.
Il ajoute : «C’est pour cette raison, conformément aux doctrines du maintien de l’ordre, qu’on ne peut se permettre de le (O. Sonko) laisser faire le tour du pays pour compter les morts derrière. Et en vertu des principes du maintien de l’ordre, des restrictions peuvent lui être imposées. Si on se rend compte que la situation le permet ou arrive à un moment où il faut enlever les barrières, on le fera. Mais en cas de nécessité, on n’hésitera pas à imposer des barrières, à la Cité Keur Gorgui ou ailleurs, pour des raisons liées à la sécurité», précise Antoine Diome.