Suite à la décision de la commission de discipline de la CAF infligeant à Krépin Diatta une suspension de quatre matchs, dont deux avec sursis, pour une durée d'un an, assortie d'une amende de 10 000 dollars (environ 6 millions de F CFA), l'international sénégalais se retrouve dans une situation délicate. Cette sanction fait suite à ses commentaires qualifiant les arbitres du huitième de finale de la dernière CAN de corrompus, lors de la défaite des Lions face aux Éléphants de Côte d'Ivoire.
Selon des sources internes rapportées par L’Observateur dans son édition de ce jeudi, la Fédération sénégalaise de football (FSF) a décidé de faire appel. La FSF a ainsi saisi la chambre d'appel de la CAF afin d'annuler la décision de la commission de discipline. Cette information a été confirmée par le secrétaire général de la FSF, Victor Ciss, lors d'une interview avec le journal.
La question se pose maintenant de savoir si Krépin Diatta pourra participer au prochain match du Sénégal, prévu le 2 juin contre la RDC, dans le cadre des qualifications pour la prochaine CAN. Il pourrait le faire si la chambre d'appel de la CAF examine rapidement le recours et annule la sanction avant cette date. Cependant, si tel n'est pas le cas, il devra faire preuve de patience, car comme le souligne L’Observateur, l'appel n'est pas suspensif.
Selon des sources internes rapportées par L’Observateur dans son édition de ce jeudi, la Fédération sénégalaise de football (FSF) a décidé de faire appel. La FSF a ainsi saisi la chambre d'appel de la CAF afin d'annuler la décision de la commission de discipline. Cette information a été confirmée par le secrétaire général de la FSF, Victor Ciss, lors d'une interview avec le journal.
La question se pose maintenant de savoir si Krépin Diatta pourra participer au prochain match du Sénégal, prévu le 2 juin contre la RDC, dans le cadre des qualifications pour la prochaine CAN. Il pourrait le faire si la chambre d'appel de la CAF examine rapidement le recours et annule la sanction avant cette date. Cependant, si tel n'est pas le cas, il devra faire preuve de patience, car comme le souligne L’Observateur, l'appel n'est pas suspensif.