Guy Marius Sagna a lancé des missiles en direction du régime de Macky Sall sur les questions de "restrictions de libertés" avec les nombreuses arrestations, les interdictions de manifestations.
Le député de la coalition Yewwi Askan Wi a aussi énergiquement dénoncé les violences dont sont victimes les journalistes de la part des forces de l'ordre, lors des couvertures de manifestants, rapporte Le Témoin.
A cette occasion, Guy Marius Sagna n'a oublié les cas de tortures sur les manifestants arrêtés tout en rappelant que le Sénégal est signataire de conventions internationales contre la torture.
Quant au ministre de l'Intérieur Antoine Félix Diome, "la plupart des jeunes qui prennent part à ces manifestations sont victimes de de manipulations venant d'individus qui se cachent tranquillement derrière leurs claviers ou leurs domiciles", a - t - il souligné.
Il poursuit : "Nous sommes dans un régime de droit et de devoirs. On ne laissera pas des gens cultiver la haine et la violence dans ce pays. Le droit ou la liberté, ne veut pas dire inviter les jeunes à jeter le discrédit sur les institutions, défier les forces de l'ordre . Nous avons parlé du maintien de l'ordre. Mais il faut rendre hommage au peuple sénégalais mur qui a fait preuve de discernement", a - t - il laissé entendre.
Le député de la coalition Yewwi Askan Wi a aussi énergiquement dénoncé les violences dont sont victimes les journalistes de la part des forces de l'ordre, lors des couvertures de manifestants, rapporte Le Témoin.
A cette occasion, Guy Marius Sagna n'a oublié les cas de tortures sur les manifestants arrêtés tout en rappelant que le Sénégal est signataire de conventions internationales contre la torture.
Quant au ministre de l'Intérieur Antoine Félix Diome, "la plupart des jeunes qui prennent part à ces manifestations sont victimes de de manipulations venant d'individus qui se cachent tranquillement derrière leurs claviers ou leurs domiciles", a - t - il souligné.
Il poursuit : "Nous sommes dans un régime de droit et de devoirs. On ne laissera pas des gens cultiver la haine et la violence dans ce pays. Le droit ou la liberté, ne veut pas dire inviter les jeunes à jeter le discrédit sur les institutions, défier les forces de l'ordre . Nous avons parlé du maintien de l'ordre. Mais il faut rendre hommage au peuple sénégalais mur qui a fait preuve de discernement", a - t - il laissé entendre.