Une délégation de la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB), conduite par son président El hadj Oumarou Zoungrana, a témoigné, vendredi, son soutien au Premier ministre Me Apollinaire Kyelèm de Tambela dans ses missions.
«En tant que leaders musulmans il est nécessaire que nous venons traduire notre soutiens au Premier ministre pour les actions qu’il entame dans la gestion du gouvernement », a déclaré le président de l’année, de la FAIB, El hadji Oumarou Zoungrana.
El hadji Oumarou Zoungrana a indiqué que la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB), regroupe à peu près 300 associations musulmanes. M. Zoungrana s’exprimait à sa sortie d’audience avec le Premier ministre Apollinaire Kyelèm de Tambela, le vendredi 18 août à Ouagadougou.
« Nous avions aussi parlé de la situation sécuritaire du pays, dans les jours à venir nous allons demander aux fidèles musulmans de faire des prières pour que la paix revienne au Burkina Faso et dans les pays de la sous-région », a-t-il renseigné. El hadji Oumarou Zoungrana, au vue de la situation au Niger, a invité les différentes parties au dialogue. «Avec les tensions au Niger, nous invitons les différentes parties au dialogue car ce n’est pas la guerre qui peut arranger les problèmes», a-t-il recommandé. AIB
«En tant que leaders musulmans il est nécessaire que nous venons traduire notre soutiens au Premier ministre pour les actions qu’il entame dans la gestion du gouvernement », a déclaré le président de l’année, de la FAIB, El hadji Oumarou Zoungrana.
El hadji Oumarou Zoungrana a indiqué que la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB), regroupe à peu près 300 associations musulmanes. M. Zoungrana s’exprimait à sa sortie d’audience avec le Premier ministre Apollinaire Kyelèm de Tambela, le vendredi 18 août à Ouagadougou.
« Nous avions aussi parlé de la situation sécuritaire du pays, dans les jours à venir nous allons demander aux fidèles musulmans de faire des prières pour que la paix revienne au Burkina Faso et dans les pays de la sous-région », a-t-il renseigné. El hadji Oumarou Zoungrana, au vue de la situation au Niger, a invité les différentes parties au dialogue. «Avec les tensions au Niger, nous invitons les différentes parties au dialogue car ce n’est pas la guerre qui peut arranger les problèmes», a-t-il recommandé. AIB