Les habitants de la commune de Niamone, dans le département de Bignona, ont manifesté jeudi pour réclamer, entre autres, un audit de la forêt classée de Bignona, sa déclassification et la restitution de leurs terres, rapporte l'APS.
"Nous ne sommes pas des Sénégalais de seconde zone, mais des Sénégalais à part entière. Déclassifiez la forêt et rendez-nous nos terres. Justice pour Niamone. Niamone réclame ses terres," ont scandé les habitants de cette localité.
Selon leur porte-parole, Joachin Davila Bessane, "la population demande aux autorités administratives et au gouvernement un audit de la forêt classée, l'arrêt et la démolition de toutes les nouvelles constructions dans cette zone, la déclassification de la forêt et la restitution des terres à la commune de Niamone".
Il a dénoncé "l'occupation illégale, illicite et anarchique" de cette forêt classée, située entre les communes de Niamone, Coubalan, Tenghory et Bignona.
"Cette forêt est aujourd'hui occupée et vandalisée par des personnes venues de divers horizons sans qu'aucune mesure d'expulsion ne soit prise", a ajouté Joachin Davila Bessane, soulignant que "malgré de nombreuses alertes aux agents des Eaux et Forêts du secteur de Bignona et aux autorités administratives, cette situation reste sans solution".
"Nous ne sommes pas des Sénégalais de seconde zone, mais des Sénégalais à part entière. Déclassifiez la forêt et rendez-nous nos terres. Justice pour Niamone. Niamone réclame ses terres," ont scandé les habitants de cette localité.
Selon leur porte-parole, Joachin Davila Bessane, "la population demande aux autorités administratives et au gouvernement un audit de la forêt classée, l'arrêt et la démolition de toutes les nouvelles constructions dans cette zone, la déclassification de la forêt et la restitution des terres à la commune de Niamone".
Il a dénoncé "l'occupation illégale, illicite et anarchique" de cette forêt classée, située entre les communes de Niamone, Coubalan, Tenghory et Bignona.
"Cette forêt est aujourd'hui occupée et vandalisée par des personnes venues de divers horizons sans qu'aucune mesure d'expulsion ne soit prise", a ajouté Joachin Davila Bessane, soulignant que "malgré de nombreuses alertes aux agents des Eaux et Forêts du secteur de Bignona et aux autorités administratives, cette situation reste sans solution".