Le Bus Rapide Transit (BRT), inauguré le 15 mai 2024 après des mois de tests, présente de sérieuses dégradations au niveau de ses aménagements paysagers. Bien que les bus électriques poursuivent leur activité, les espaces verts, conçus pour embellir les zones traversées, montrent un état alarmant de délaissement.
Les allées du Centenaire jusqu’aux Parcelles Assainies sont témoins d’un spectacle regrettable. Les fleurs et arbres, autrefois atouts écologiques, sont maintenant fanés faute d’entretien régulier. La végétation meurt à cause d’un arrosage sporadique que les riverains critiquent fermement. Rencontré à Centenaire, Monsieur Mbaye, agent technique, exprime son indignation : « Les fleurs meurent par manque d’arrosage. C’est inadmissible que nous devions nous en occuper nous-mêmes. » Les habitants et usagers, à l’unisson, réclament une intervention rapide pour rectifier la situation.
L’effet visuel prometteur du BRT est actuellement terni par la négligence d’espaces autrefois verdoyants. Monsieur Ba, étudiant, regrette : « Les déchets omniprésents et les fleurs fanées gâchent l’expérience. » Ce sentiment est partagé par de nombreux passants et commerçants environnants.
Le choix des plantes lui-même est remis en cause par certains observateurs comme Aziz Guèye qui s’interroge : « Pourquoi utiliser des bougainvilliers si exigeants ? Des espèces plus simples auraient suffi. »
Aux Parcelles Assainies, l’histoire se répète : des espaces laissés à l’abandon suscitent la colère et font naître des interrogations sur les responsabilités entre la mairie et les gestionnaires du BRT. Fatou souligne la honte nationale ressentie face à des visiteurs étrangers : « Ces espaces ne reflètent pas la beauté de notre pays. »
Les allées du Centenaire jusqu’aux Parcelles Assainies sont témoins d’un spectacle regrettable. Les fleurs et arbres, autrefois atouts écologiques, sont maintenant fanés faute d’entretien régulier. La végétation meurt à cause d’un arrosage sporadique que les riverains critiquent fermement.
L’effet visuel prometteur du BRT est actuellement terni par la négligence d’espaces autrefois verdoyants. Monsieur Ba, étudiant, regrette : « Les déchets omniprésents et les fleurs fanées gâchent l’expérience. » Ce sentiment est partagé par de nombreux passants et commerçants environnants.
Le choix des plantes lui-même est remis en cause par certains observateurs comme Aziz Guèye qui s’interroge : « Pourquoi utiliser des bougainvilliers si exigeants ? Des espèces plus simples auraient suffi. »
Aux Parcelles Assainies, l’histoire se répète : des espaces laissés à l’abandon suscitent la colère et font naître des interrogations sur les responsabilités entre la mairie et les gestionnaires du BRT. Fatou souligne la honte nationale ressentie face à des visiteurs étrangers : « Ces espaces ne reflètent pas la beauté de notre pays. »