Le lundi 11 mars, Mamadou Diop Decroix, Cheikh Tidiane Gadio, Mouhamed Ben Diop et d'autres candidats, se considérant spoliés, ont introduit un recours devant la Cour suprême alors que les 19 candidats retenus ont déjà lancé leur campagne électorale. Leur objectif est d'obtenir l'annulation du décret convoquant les électeurs pour le scrutin présidentiel du 24 mars.
Mamadou Diop Decroix, porte-parole du collectif, a déclaré : "Nous avons déposé notre requête devant la Cour suprême pour contester ce décret qui viole la loi électorale. Le président de la république aurait dû respecter l'esprit de cette loi. Nous ne pouvons tolérer cette tricherie. Nous demandons à la Cour suprême d'annuler ce décret." Le collectif dénonce un processus électoral qu'il considère comme un simulacre, vers lequel les 19 candidats se dirigent.
Pour Mamadou Diop Decroix, il est clair qu'il "n'est pas question de poursuivre à tout prix une élection qui, dès le départ, est biaisée."
Mamadou Diop Decroix, porte-parole du collectif, a déclaré : "Nous avons déposé notre requête devant la Cour suprême pour contester ce décret qui viole la loi électorale. Le président de la république aurait dû respecter l'esprit de cette loi. Nous ne pouvons tolérer cette tricherie. Nous demandons à la Cour suprême d'annuler ce décret." Le collectif dénonce un processus électoral qu'il considère comme un simulacre, vers lequel les 19 candidats se dirigent.
Pour Mamadou Diop Decroix, il est clair qu'il "n'est pas question de poursuivre à tout prix une élection qui, dès le départ, est biaisée."