Le Sénégal et l'Union européenne (UE) ont lancé jeudi à Dakar la phase 2 du programme "Partenariat opérationnel conjoint" (POC), destiné à renforcer la lutte contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains.
La réunion inaugurale du POC2 a été coprésidée par le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, le général Jean Baptiste Tine, et l'ambassadeur de l'Union européenne à Dakar, Jean Marc Pisani, en présence de responsables de la sécurité.
"Le POC2 adopte une approche thématique couvrant un large éventail d'actions et d'activités liées à la criminalité transnationale organisée, adaptées aux besoins sécuritaires du Sénégal", a déclaré le ministre. Il a également exprimé son enthousiasme à coprésider cette cérémonie de lancement.
Il a souligné que les défis sécuritaires du Sénégal sont nombreux et variés. "Ils incluent la prévention et la lutte contre le terrorisme, la migration irrégulière, le trafic de drogue, la traite des êtres humains, la protection des frontières et la lutte contre tous les autres types de trafics illicites (médicaments, armes légères, blanchiment d'argent, etc.)", a énuméré l'officiel.
Face à ces défis, le Sénégal a adopté une stratégie de prévention et d'anticipation, qui a jusqu'à présent permis de contenir les effets indésirables de ces menaces, a-t-il souligné.
"Cette approche a fait de notre pays un îlot de stabilité dans une sous-région en proie à des troubles sécuritaires difficiles à contrôler", a déclaré le ministre de l'Intérieur. Il a également salué "le soutien continu et conséquent" de l'Union européenne, qualifiant cette coopération de "partenariat gagnant-gagnant".
Le ministre a exhorté les forces de défense et de sécurité à s'impliquer pleinement dans les activités prévues dans le cadre de ce programme.
Le Partenariat opérationnel conjoint (POC), qui se poursuivra jusqu'en novembre 2026, sera axé sur quatre domaines principaux, a précisé l'ambassadeur de l'Union européenne à Dakar, Jean Marc Pisani.
Il s'agit de "renforcer les compétences des forces de sécurité spécialisées ou en poste aux frontières pour détecter les trafics, améliorer le renseignement transfrontalier et sécuriser les zones frontalières". Le programme vise également à "consolider les capacités des forces de sécurité et des acteurs institutionnels dans la lutte contre le trafic de migrants, la traite des êtres humains et l'assistance aux victimes au Sénégal".
Il prévoit en outre de "soutenir la chaîne pénale au Sénégal en formant les magistrats et les officiers de police judiciaire sur le terrorisme et la criminalité organisée".
"Lutter contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains est crucial pour protéger les droits fondamentaux des individus, en particulier les plus vulnérables, souvent exploités par des réseaux criminels. Cela contribue également à la sécurité et à la stabilité des sociétés en réduisant les activités criminelles transnationales, dans un contexte d'insécurité régionale", a déclaré l'ambassadeur de l'UE.
En éliminant ces pratiques, l'UE cherche à favoriser des flux migratoires légaux et ordonnés, bénéfiques pour le développement économique et social des pays d'origine, de transit et de destination, a ajouté Jean-Marc Pisani.
Au total, 63 activités sont prévues dans cette phase 2 du POC, selon l'expert du programme, Thierry Assanelli.
La réunion inaugurale du POC2 a été coprésidée par le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, le général Jean Baptiste Tine, et l'ambassadeur de l'Union européenne à Dakar, Jean Marc Pisani, en présence de responsables de la sécurité.
"Le POC2 adopte une approche thématique couvrant un large éventail d'actions et d'activités liées à la criminalité transnationale organisée, adaptées aux besoins sécuritaires du Sénégal", a déclaré le ministre. Il a également exprimé son enthousiasme à coprésider cette cérémonie de lancement.
Il a souligné que les défis sécuritaires du Sénégal sont nombreux et variés. "Ils incluent la prévention et la lutte contre le terrorisme, la migration irrégulière, le trafic de drogue, la traite des êtres humains, la protection des frontières et la lutte contre tous les autres types de trafics illicites (médicaments, armes légères, blanchiment d'argent, etc.)", a énuméré l'officiel.
Face à ces défis, le Sénégal a adopté une stratégie de prévention et d'anticipation, qui a jusqu'à présent permis de contenir les effets indésirables de ces menaces, a-t-il souligné.
"Cette approche a fait de notre pays un îlot de stabilité dans une sous-région en proie à des troubles sécuritaires difficiles à contrôler", a déclaré le ministre de l'Intérieur. Il a également salué "le soutien continu et conséquent" de l'Union européenne, qualifiant cette coopération de "partenariat gagnant-gagnant".
Le ministre a exhorté les forces de défense et de sécurité à s'impliquer pleinement dans les activités prévues dans le cadre de ce programme.
Le Partenariat opérationnel conjoint (POC), qui se poursuivra jusqu'en novembre 2026, sera axé sur quatre domaines principaux, a précisé l'ambassadeur de l'Union européenne à Dakar, Jean Marc Pisani.
Il s'agit de "renforcer les compétences des forces de sécurité spécialisées ou en poste aux frontières pour détecter les trafics, améliorer le renseignement transfrontalier et sécuriser les zones frontalières". Le programme vise également à "consolider les capacités des forces de sécurité et des acteurs institutionnels dans la lutte contre le trafic de migrants, la traite des êtres humains et l'assistance aux victimes au Sénégal".
Il prévoit en outre de "soutenir la chaîne pénale au Sénégal en formant les magistrats et les officiers de police judiciaire sur le terrorisme et la criminalité organisée".
"Lutter contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains est crucial pour protéger les droits fondamentaux des individus, en particulier les plus vulnérables, souvent exploités par des réseaux criminels. Cela contribue également à la sécurité et à la stabilité des sociétés en réduisant les activités criminelles transnationales, dans un contexte d'insécurité régionale", a déclaré l'ambassadeur de l'UE.
En éliminant ces pratiques, l'UE cherche à favoriser des flux migratoires légaux et ordonnés, bénéfiques pour le développement économique et social des pays d'origine, de transit et de destination, a ajouté Jean-Marc Pisani.
Au total, 63 activités sont prévues dans cette phase 2 du POC, selon l'expert du programme, Thierry Assanelli.