Ousmane Sonko, leader de l'ex-Pastef, a été clair sur ses intentions concernant l'avenir politique du Sénégal. Il a affirmé qu'il n'y aurait pas de vengeance, mais plutôt une recherche de justice, lors d'une conférence de presse qu'il a tenue aux côtés de son candidat Bassirou Diomaye Faye, le vendredi 15 mars.
Sonko a souligné que malgré les attentes d'une éventuelle "traque bis" ou d'une "chasse aux sorcières" après les élections du 24 mars, son objectif principal serait de faire avancer le pays. "Nous avons un grand chantier devant nous. Nous n'avons pas le temps pour des règlements de compte, mais il ne doit y avoir aucune impunité", a-t-il affirmé.
Bien que bénéficiant de sa libération grâce à une loi d'amnistie promulguée par le président Macky Sall, Sonko a déclaré s'être fermement opposé à cette loi, la qualifiant de "liberticide". Il a également promis d'enquêter en toute transparence sur la répression qui a coûté la vie à plusieurs Sénégalais, en rendant hommage aux victimes."
Sonko a souligné que malgré les attentes d'une éventuelle "traque bis" ou d'une "chasse aux sorcières" après les élections du 24 mars, son objectif principal serait de faire avancer le pays. "Nous avons un grand chantier devant nous. Nous n'avons pas le temps pour des règlements de compte, mais il ne doit y avoir aucune impunité", a-t-il affirmé.
Bien que bénéficiant de sa libération grâce à une loi d'amnistie promulguée par le président Macky Sall, Sonko a déclaré s'être fermement opposé à cette loi, la qualifiant de "liberticide". Il a également promis d'enquêter en toute transparence sur la répression qui a coûté la vie à plusieurs Sénégalais, en rendant hommage aux victimes."