Le Dr Mamadou Ndiaye, chef du Service du laboratoire de l'hôpital de Ndioum, dans le département de Podor (nord), a déclaré mercredi que l’établissement fait face à des "situations critiques" en raison d'une grave pénurie de poches de sang.
« L'hôpital de Ndioum se retrouve souvent dans des situations d'urgence et de crise en raison d'un déficit de poches de sang. La demande est très élevée ici, car l'établissement se trouve le long de la route nationale 2, où les accidents de la circulation sont fréquents et entraînent des blessures graves nécessitant des transfusions sanguines importantes », a-t-il expliqué.
Le médecin s'est exprimé ainsi à l'issue d'une rencontre portant sur la participation des médias au développement social. À cette occasion, il a exhorté la population locale à s'engager dans des activités de don de sang pour aider à constituer un stock pour l'hôpital.
Le Dr Ndiaye a également souligné que plusieurs services de cet hôpital, inauguré en 1977, tels que la maternité, la néphrologie, la pédiatrie et la chirurgie, manifestent fréquemment un besoin urgent en poches de sang.
« Il y a de moins en moins de donneurs bénévoles. Dans certains cas, nous devons faire appel aux accompagnateurs des patients pour les urgences », a-t-il regretté.
Il a cependant exprimé sa gratitude envers le Conseil départemental de Podor, qui a fourni à l'hôpital de Ndioum une chaîne de froid pour conserver les poches de sang, bien qu'il ait précisé que cette contribution reste "très insuffisante".
aps
« L'hôpital de Ndioum se retrouve souvent dans des situations d'urgence et de crise en raison d'un déficit de poches de sang. La demande est très élevée ici, car l'établissement se trouve le long de la route nationale 2, où les accidents de la circulation sont fréquents et entraînent des blessures graves nécessitant des transfusions sanguines importantes », a-t-il expliqué.
Le médecin s'est exprimé ainsi à l'issue d'une rencontre portant sur la participation des médias au développement social. À cette occasion, il a exhorté la population locale à s'engager dans des activités de don de sang pour aider à constituer un stock pour l'hôpital.
Le Dr Ndiaye a également souligné que plusieurs services de cet hôpital, inauguré en 1977, tels que la maternité, la néphrologie, la pédiatrie et la chirurgie, manifestent fréquemment un besoin urgent en poches de sang.
« Il y a de moins en moins de donneurs bénévoles. Dans certains cas, nous devons faire appel aux accompagnateurs des patients pour les urgences », a-t-il regretté.
Il a cependant exprimé sa gratitude envers le Conseil départemental de Podor, qui a fourni à l'hôpital de Ndioum une chaîne de froid pour conserver les poches de sang, bien qu'il ait précisé que cette contribution reste "très insuffisante".
aps