De 2021 à 2023, le Sénégal a été le théâtre de violentes manifestations ayant entraîné la mort de nombreux citoyens. Maître Juan Branco, avocat d'Ousmane Sonko, leader de l'opposition devenu premier ministre, s'est engagé avec détermination à obtenir justice pour les victimes de ces tragédies.
Ce lundi, Maître Branco a révélé avoir déposé quinze nouvelles constitutions de parties civiles pour les victimes de la répression des manifestations qui ont secoué le pays depuis mars 2021. Son objectif est de traduire en justice les responsables de cette répression meurtrière. "Nous avons déposé quinze nouvelles constitutions de parties civiles pour les victimes de la répression des manifestations depuis mars 2021 au Sénégal", a-t-il annoncé sur le réseau social X.
Maître Branco avait déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale (CPI), fournissant des preuves à l'appui de ses accusations contre plusieurs hauts gradés de l'armée et responsables des forces de l'ordre. Ces actions judiciaires font suite à une série de manifestations, particulièrement meurtrières en 2023, au cours desquelles les forces de l'ordre auraient fait un usage excessif de la violence.
L'avocat franco-espagnol continue de se battre pour que les familles des victimes obtiennent réparation, malgré le changement de gouvernance au Sénégal avec l'élection de Bassirou Diomaye Faye. Le manque d'enquêtes approfondies par les autorités sénégalaises de l'époque sur ces incidents est au cœur des préoccupations qui ont incité Maître Branco à saisir la CPI."
Ce lundi, Maître Branco a révélé avoir déposé quinze nouvelles constitutions de parties civiles pour les victimes de la répression des manifestations qui ont secoué le pays depuis mars 2021. Son objectif est de traduire en justice les responsables de cette répression meurtrière. "Nous avons déposé quinze nouvelles constitutions de parties civiles pour les victimes de la répression des manifestations depuis mars 2021 au Sénégal", a-t-il annoncé sur le réseau social X.
Maître Branco avait déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale (CPI), fournissant des preuves à l'appui de ses accusations contre plusieurs hauts gradés de l'armée et responsables des forces de l'ordre. Ces actions judiciaires font suite à une série de manifestations, particulièrement meurtrières en 2023, au cours desquelles les forces de l'ordre auraient fait un usage excessif de la violence.
L'avocat franco-espagnol continue de se battre pour que les familles des victimes obtiennent réparation, malgré le changement de gouvernance au Sénégal avec l'élection de Bassirou Diomaye Faye. Le manque d'enquêtes approfondies par les autorités sénégalaises de l'époque sur ces incidents est au cœur des préoccupations qui ont incité Maître Branco à saisir la CPI."