Le Sénégal se prépare pour des élections législatives anticipées ce dimanche 17 novembre. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Jean Baptiste Tine, a affirmé vendredi que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour garantir un scrutin "libre, transparent et inclusif" sur le territoire national et à l’étranger.
"Tout le matériel électoral et les documents ont été distribués aux autorités administratives, diplomatiques et consulaires," a-t-il déclaré, précisant que l’acheminement des équipements vers les représentations diplomatiques et consulaires a été finalisé depuis le 21 octobre.
Le ministre a également assuré que l’État a mobilisé les fonds nécessaires pour organiser ces élections, malgré la participation exceptionnelle de 41 listes. Cette situation découle de la non-application du filtre de parrainage, conformément à une décision du Conseil constitutionnel.
Concernant les cartes d’électeurs, M. Tine a indiqué qu’au début du processus, 278 736 cartes étaient à distribuer. À la date du 8 novembre, seules 16 660 avaient été retirées, représentant 5,9% du total, laissant 94,02% des cartes encore en attente de distribution. Une campagne de sensibilisation est en cours pour encourager les citoyens à récupérer leur carte avant le jour du scrutin.
Avec plus de 7,3 millions d’électeurs inscrits, répartis dans 16 440 bureaux de vote à travers 7 048 lieux, l’État vise une organisation irréprochable, espérant éviter toute contestation.
Pour faciliter le vote, le système introduit en 2017, qui limite à cinq le nombre de bulletins que l’électeur peut prendre, sera reconduit. "Tous les signaux augurent d’une bonne organisation matérielle pour des élections sans contestation," a conclu le ministre.
"Tout le matériel électoral et les documents ont été distribués aux autorités administratives, diplomatiques et consulaires," a-t-il déclaré, précisant que l’acheminement des équipements vers les représentations diplomatiques et consulaires a été finalisé depuis le 21 octobre.
Le ministre a également assuré que l’État a mobilisé les fonds nécessaires pour organiser ces élections, malgré la participation exceptionnelle de 41 listes. Cette situation découle de la non-application du filtre de parrainage, conformément à une décision du Conseil constitutionnel.
Concernant les cartes d’électeurs, M. Tine a indiqué qu’au début du processus, 278 736 cartes étaient à distribuer. À la date du 8 novembre, seules 16 660 avaient été retirées, représentant 5,9% du total, laissant 94,02% des cartes encore en attente de distribution. Une campagne de sensibilisation est en cours pour encourager les citoyens à récupérer leur carte avant le jour du scrutin.
Avec plus de 7,3 millions d’électeurs inscrits, répartis dans 16 440 bureaux de vote à travers 7 048 lieux, l’État vise une organisation irréprochable, espérant éviter toute contestation.
Pour faciliter le vote, le système introduit en 2017, qui limite à cinq le nombre de bulletins que l’électeur peut prendre, sera reconduit. "Tous les signaux augurent d’une bonne organisation matérielle pour des élections sans contestation," a conclu le ministre.