Le Projet de gestion des ressources naturelles au Sénégal (SENRM) s'engage à aménager 13 forêts dans les régions de Kaffrine, Kédougou, Kolda, Sédhiou et Tambacounda. Cette initiative, annoncée par le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Daouda Ngom, vise à renforcer la gestion des ressources naturelles et à lutter contre la déforestation.
Lors d'une conférence de presse tenue à l’occasion de l’installation du comité de pilotage du projet SENRM, co-présidée par le ministre des Pêches et des Infrastructures maritimes et portuaires, Fatou Diouf, M. Ngom a souligné que ce projet constitue une "bouffée d'oxygène" dans la lutte contre le trafic illicite de bois et la déforestation, notamment dans les zones sud et est du Sénégal.
Le projet prévoit également des études sur le trafic transfrontalier de bois le long des frontières sud et est du pays, et le soutien au service des eaux et forêts.
Ndèye Coura Mbaye Diop, coordinatrice du volet environnement du projet, a précisé que SENRM mettra à jour les plans d’aménagement de 44 forêts supplémentaires dans sa zone d’intervention. De plus, de nouvelles stations de mesure de la qualité de l’air seront installées à Dakar, et les stations de contrôle existantes seront renforcées.
Un programme d’activités génératrices de revenus pour les communautés locales est également prévu, afin de réduire la pression exercée par ces communautés sur les forêts. Ce programme comprend 60 projets autour des forêts concernées et du Parc Niokolo Koba, où le projet vise à améliorer la surveillance.
Le projet SENRM, financé à hauteur de 100 millions de dollars par la Banque mondiale, est mis en œuvre de 2022 à 2028 par le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique et le ministère des Pêches et des Infrastructures maritimes et portuaires. Il couvre les régions de Kaffrine, Kédougou, Kolda, Sédhiou et Tambacounda pour le volet environnement, et Dakar, Fatick, Saint-Louis, Thiès, Ziguinchor, Kédougou, Kolda et Sédhiou pour le volet pêche.
L’objectif est d’améliorer la gestion des ressources halieutiques et forestières et d’augmenter les opportunités économiques dans les zones ciblées d’ici 2028.
Lors d'une conférence de presse tenue à l’occasion de l’installation du comité de pilotage du projet SENRM, co-présidée par le ministre des Pêches et des Infrastructures maritimes et portuaires, Fatou Diouf, M. Ngom a souligné que ce projet constitue une "bouffée d'oxygène" dans la lutte contre le trafic illicite de bois et la déforestation, notamment dans les zones sud et est du Sénégal.
Le projet prévoit également des études sur le trafic transfrontalier de bois le long des frontières sud et est du pays, et le soutien au service des eaux et forêts.
Ndèye Coura Mbaye Diop, coordinatrice du volet environnement du projet, a précisé que SENRM mettra à jour les plans d’aménagement de 44 forêts supplémentaires dans sa zone d’intervention. De plus, de nouvelles stations de mesure de la qualité de l’air seront installées à Dakar, et les stations de contrôle existantes seront renforcées.
Un programme d’activités génératrices de revenus pour les communautés locales est également prévu, afin de réduire la pression exercée par ces communautés sur les forêts. Ce programme comprend 60 projets autour des forêts concernées et du Parc Niokolo Koba, où le projet vise à améliorer la surveillance.
Le projet SENRM, financé à hauteur de 100 millions de dollars par la Banque mondiale, est mis en œuvre de 2022 à 2028 par le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique et le ministère des Pêches et des Infrastructures maritimes et portuaires. Il couvre les régions de Kaffrine, Kédougou, Kolda, Sédhiou et Tambacounda pour le volet environnement, et Dakar, Fatick, Saint-Louis, Thiès, Ziguinchor, Kédougou, Kolda et Sédhiou pour le volet pêche.
L’objectif est d’améliorer la gestion des ressources halieutiques et forestières et d’augmenter les opportunités économiques dans les zones ciblées d’ici 2028.