Mercredi, la Cour suprême du Ghana a rejeté deux recours visant à contester une loi anti-LGBT+ répressive, adoptée par le parlement fin février, qui limite considérablement les droits de cette communauté dans ce pays d’Afrique de l’Ouest.
« Aucune décision ne relève de la compétence de la Cour suprême pour être annulée », a déclaré Avril Lovelace-Johnson, présidente du panel des sept juges de la Cour suprême, lors de l’annonce de la décision. La loi, qui prendra effet après sa ratification par le président Nana Akufo-Addo, prévoit des peines de prison pouvant aller jusqu’à trois ans pour toute personne pratiquant des activités LGBT+ et de cinq à dix ans pour celles impliquées dans la « promotion » de l’homosexualité.
« Aucune décision ne relève de la compétence de la Cour suprême pour être annulée », a déclaré Avril Lovelace-Johnson, présidente du panel des sept juges de la Cour suprême, lors de l’annonce de la décision. La loi, qui prendra effet après sa ratification par le président Nana Akufo-Addo, prévoit des peines de prison pouvant aller jusqu’à trois ans pour toute personne pratiquant des activités LGBT+ et de cinq à dix ans pour celles impliquées dans la « promotion » de l’homosexualité.