À moins de vingt jours de la célébration de la Tabaski, les prix de la pomme de terre et de l'oignon restent à des niveaux très élevés dans tous les marchés du Djolof, avec une augmentation significative de 150 francs CFA par kilogramme pour l'oignon et de 300 francs CFA pour la pomme de terre.
Cette année, le prix de l'oignon est passé de 250 à 400 francs CFA par kilogramme, tandis que celui de la pomme de terre est monté de 400 à 650 francs CFA, en raison d'une forte tension sur ces denrées de première nécessité à l'approche de la Tabaski.
Thierno Seck, un commerçant établi au marché central de Dahra, souligne : « Même si le marché est bien approvisionné en oignon et en pomme de terre, les prix restent très élevés. Pour soulager les consommateurs, l’État devrait autoriser l'importation de ces denrées, très demandées par les Sénégalais, surtout pendant la fête de la Tabaski ».
Les consommateurs expriment leur frustration face à cette augmentation des prix, et l'on craint que ces denrées ne deviennent encore plus chères d'ici la veille de la Tabaski en raison d'une forte demande.
La cherté de ces denrées s'explique en partie par des problèmes de conservation, ces produits étant rapidement périssables, ainsi que par le stockage spéculatif de certains commerçants, attendant une hausse des prix."
Cette année, le prix de l'oignon est passé de 250 à 400 francs CFA par kilogramme, tandis que celui de la pomme de terre est monté de 400 à 650 francs CFA, en raison d'une forte tension sur ces denrées de première nécessité à l'approche de la Tabaski.
Thierno Seck, un commerçant établi au marché central de Dahra, souligne : « Même si le marché est bien approvisionné en oignon et en pomme de terre, les prix restent très élevés. Pour soulager les consommateurs, l’État devrait autoriser l'importation de ces denrées, très demandées par les Sénégalais, surtout pendant la fête de la Tabaski ».
Les consommateurs expriment leur frustration face à cette augmentation des prix, et l'on craint que ces denrées ne deviennent encore plus chères d'ici la veille de la Tabaski en raison d'une forte demande.
La cherté de ces denrées s'explique en partie par des problèmes de conservation, ces produits étant rapidement périssables, ainsi que par le stockage spéculatif de certains commerçants, attendant une hausse des prix."