Le président du parti Rewmi, Idrissa Seck, s'est exprimé sur Radio France Internationale (RFI) concernant la situation politique tendue au Sénégal, où le climat s'est enflammé autour des allégations de l'opposant Ousmane Sonko.
Selon Seck, qui est un vétéran de la scène politique sénégalaise, la crise actuelle est facile à résoudre : soit Ousmane Sonko doit appeler ses partisans au calme et respecter les institutions et décisions de justice, soit le président actuel, Macky Sall, doit utiliser ses moyens constitutionnels et légaux pour le faire.
Concernant le Dialogue national prévu pour le 25 juin, Seck a suggéré que la meilleure façon de résoudre la crise serait que le président Sall annonce qu'il ne briguera pas un troisième mandat. Seck rappelle que Sall a déjà effectué deux mandats consécutifs, comme le prévoit la Constitution sénégalaise.
Interrogé sur la médiation religieuse qui semble avoir été initiée par le président Sall, Seck a déclaré ne pas être au courant de sa participation. Cependant, il reconnaît le rôle important des chefs religieux dans le processus de médiation au Sénégal.
Sur la question de Ousmane Sonko, qui a terminé troisième derrière lui lors de la dernière élection et dont les partisans pourraient se tourner vers Seck si Sonko ne peut pas se présenter, Seck a déclaré qu'il ne craint pas de perdre ces électeurs. Il a exprimé son affection pour Sonko et a exprimé son regret de voir Sonko prendre une voie qui, selon lui, est préjudiciable.
Enfin, concernant sa récente rupture avec le président Sall, avec qui il a collaboré jusqu'en avril dernier, Seck a défendu sa crédibilité en tant qu'opposant. Il a expliqué qu'il n'a qu'un seul objectif : "produire le maximum de bienfaits pour [sa] communauté, pour les populations". Il a affirmé qu'il avait gentiment conseillé à Sall de ne pas tenter de briguer un troisième mandat et de quitter ses fonctions avec dignité.
Selon Seck, qui est un vétéran de la scène politique sénégalaise, la crise actuelle est facile à résoudre : soit Ousmane Sonko doit appeler ses partisans au calme et respecter les institutions et décisions de justice, soit le président actuel, Macky Sall, doit utiliser ses moyens constitutionnels et légaux pour le faire.
Concernant le Dialogue national prévu pour le 25 juin, Seck a suggéré que la meilleure façon de résoudre la crise serait que le président Sall annonce qu'il ne briguera pas un troisième mandat. Seck rappelle que Sall a déjà effectué deux mandats consécutifs, comme le prévoit la Constitution sénégalaise.
Interrogé sur la médiation religieuse qui semble avoir été initiée par le président Sall, Seck a déclaré ne pas être au courant de sa participation. Cependant, il reconnaît le rôle important des chefs religieux dans le processus de médiation au Sénégal.
Sur la question de Ousmane Sonko, qui a terminé troisième derrière lui lors de la dernière élection et dont les partisans pourraient se tourner vers Seck si Sonko ne peut pas se présenter, Seck a déclaré qu'il ne craint pas de perdre ces électeurs. Il a exprimé son affection pour Sonko et a exprimé son regret de voir Sonko prendre une voie qui, selon lui, est préjudiciable.
Enfin, concernant sa récente rupture avec le président Sall, avec qui il a collaboré jusqu'en avril dernier, Seck a défendu sa crédibilité en tant qu'opposant. Il a expliqué qu'il n'a qu'un seul objectif : "produire le maximum de bienfaits pour [sa] communauté, pour les populations". Il a affirmé qu'il avait gentiment conseillé à Sall de ne pas tenter de briguer un troisième mandat et de quitter ses fonctions avec dignité.