Le lanceur d’alerte s’est reconnu coupable espionnage devant le tribunal des îles Mariannes du Nord. Environ 25 journalistes ont été autorisés à assister à l’audience, il a été interdit de filmer, écrit le Washington Post.
Le juge a déclaré que l’affaire du militant avait été officiellement classée, qu’il pouvait quitter la pièce en homme libre. Le temps qu’il avait passé en prison a été pris en compte et le tribunal n’a pas infligé une nouvelle peine.
Le fondateur de WikiLeaks devra ordonner à l’organisation de détruire les informations, c’était une condition de l’accord, écrit le British Guardian.
Le lanceur d’alerte s’est reconnu coupable d'espionnage devant le tribunal des îles Mariannes du Nord. Environ 25 journalistes ont été autorisés à assister à l’audience, il a été interdit de filmer, écrit le Washington Post.
Le juge a déclaré que l’affaire du militant avait été officiellement classée, qu’il pouvait quitter la pièce en homme libre. Le temps qu’il avait passé en prison a été pris en compte et le tribunal n’a pas infligé une nouvelle peine.
Le fondateur de WikiLeaks devra ordonner à l’organisation de détruire les informations, c’était une condition de l’accord, écrit le British Guardian. SPUTNIK
Le juge a déclaré que l’affaire du militant avait été officiellement classée, qu’il pouvait quitter la pièce en homme libre. Le temps qu’il avait passé en prison a été pris en compte et le tribunal n’a pas infligé une nouvelle peine.
Le fondateur de WikiLeaks devra ordonner à l’organisation de détruire les informations, c’était une condition de l’accord, écrit le British Guardian.
Le lanceur d’alerte s’est reconnu coupable d'espionnage devant le tribunal des îles Mariannes du Nord. Environ 25 journalistes ont été autorisés à assister à l’audience, il a été interdit de filmer, écrit le Washington Post.
Le juge a déclaré que l’affaire du militant avait été officiellement classée, qu’il pouvait quitter la pièce en homme libre. Le temps qu’il avait passé en prison a été pris en compte et le tribunal n’a pas infligé une nouvelle peine.
Le fondateur de WikiLeaks devra ordonner à l’organisation de détruire les informations, c’était une condition de l’accord, écrit le British Guardian. SPUTNIK