L'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) prévoit de rencontrer les responsables de 85 organisations locales à Thiès, dans l’ouest du Sénégal, ce jeudi. Cette rencontre fait partie d'une tournée d'information visant à présenter un partenariat que l'USAID souhaite établir avec ces entités.
Alyssa Leggoe, directrice de l’USAID Sénégal, a exprimé à la presse que cette réunion offrirait l’opportunité de discuter des perspectives de collaboration. Elle a ajouté que l'agence américaine souhaite explorer des partenariats avec ces organisations pour saisir les opportunités de développement qu'elles offrent.
Au cours de cette initiative, Mme Leggoe a rencontré le maire de Thiès, Babacar Diop, afin de discuter de la coopération envisagée, notamment dans le secteur de la santé et la création d'une mutuelle de santé. Ce partenariat, axé sur l'engagement des organisations locales, s'inscrit dans une démarche de transparence et de responsabilité, à l'image du cadre multilatéral convenu à Paris.
Selon Tidiane Wone, un représentant de l'USAID Sénégal, l'objectif est d'accroître et diversifier les partenariats de l’agence avec les acteurs locaux de la société civile et du secteur privé. Une partie de la réunion visera à clarifier les procédures de cette future collaboration.
L’USAID a déjà contribué à la mise en œuvre de 23 projets dans la région de Thiès, pour un montant total de 11 milliards de francs CFA au cours des cinq dernières années, touchant des domaines tels que la santé, la croissance économique et la sécurité alimentaire. L’agence prévoit d'investir 130 millions de dollars supplémentaires, soit environ 76,8 milliards de francs CFA, au Sénégal l'année prochaine.
Par ailleurs, l'USAID a déjà mené des réunions similaires dans les régions de Tambacounda, Ziguinchor et Saint-Louis pour présenter cette nouvelle approche de partenariat direct avec les bénéficiaires locaux. Cependant, selon Wone, de nombreuses organisations locales peinent à absorber les financements de l'agence, en raison d'un manque de compétences pour produire les rapports requis. L’amélioration des capacités humaines au sein de ces organisations est donc une priorité pour garantir une utilisation efficace des fonds.
Wone a également précisé qu'il n’y avait ni montant minimum ni maximum pour les financements accordés par l’USAID, ces derniers étant déterminés par la capacité des organisations à utiliser les fonds dans les délais impartis.
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Alyssa Leggoe, directrice de l’USAID Sénégal, a exprimé à la presse que cette réunion offrirait l’opportunité de discuter des perspectives de collaboration. Elle a ajouté que l'agence américaine souhaite explorer des partenariats avec ces organisations pour saisir les opportunités de développement qu'elles offrent.
Au cours de cette initiative, Mme Leggoe a rencontré le maire de Thiès, Babacar Diop, afin de discuter de la coopération envisagée, notamment dans le secteur de la santé et la création d'une mutuelle de santé. Ce partenariat, axé sur l'engagement des organisations locales, s'inscrit dans une démarche de transparence et de responsabilité, à l'image du cadre multilatéral convenu à Paris.
Selon Tidiane Wone, un représentant de l'USAID Sénégal, l'objectif est d'accroître et diversifier les partenariats de l’agence avec les acteurs locaux de la société civile et du secteur privé. Une partie de la réunion visera à clarifier les procédures de cette future collaboration.
L’USAID a déjà contribué à la mise en œuvre de 23 projets dans la région de Thiès, pour un montant total de 11 milliards de francs CFA au cours des cinq dernières années, touchant des domaines tels que la santé, la croissance économique et la sécurité alimentaire. L’agence prévoit d'investir 130 millions de dollars supplémentaires, soit environ 76,8 milliards de francs CFA, au Sénégal l'année prochaine.
Par ailleurs, l'USAID a déjà mené des réunions similaires dans les régions de Tambacounda, Ziguinchor et Saint-Louis pour présenter cette nouvelle approche de partenariat direct avec les bénéficiaires locaux. Cependant, selon Wone, de nombreuses organisations locales peinent à absorber les financements de l'agence, en raison d'un manque de compétences pour produire les rapports requis. L’amélioration des capacités humaines au sein de ces organisations est donc une priorité pour garantir une utilisation efficace des fonds.
Wone a également précisé qu'il n’y avait ni montant minimum ni maximum pour les financements accordés par l’USAID, ces derniers étant déterminés par la capacité des organisations à utiliser les fonds dans les délais impartis.
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