La Coordination des Associations de Presse (CAP), gravement préoccupée par la situation critique du secteur des médias, appelle à l'ouverture de discussions pour trouver des solutions concertées à cette crise. La CAP explique que cette crise a entraîné la fermeture de plusieurs entreprises de presse et la perte de nombreux emplois à chaque faillite déclarée.
Les quotidiens "Stades" et "Sunu Lamb" ont déjà cessé de paraître, et "Vox Pop" n'a pas été publié récemment. Selon la CAP, d'autres journaux pourraient suivre la même voie désastreuse.
La CAP déplore que l'État choisisse de mépriser la situation en prenant des décisions qui semblent viser délibérément la suppression des médias privés. Elle critique également les nouvelles autorités pour leur manque de dialogue et de concertation, ce qui empêche la relance d'un secteur crucial pour la démocratie.
La CAP souligne que les pressions fiscales, la confiscation du Fonds d'appui au développement de la presse (FADP), et les suspensions des paiements des conventions commerciales par les structures publiques ne résoudront pas les problèmes du secteur des médias. Elle affirme que seules des mesures courageuses et des consultations franches peuvent apporter des solutions.
Face à cette situation, la CAP appelle à l'attention de l'opinion publique nationale et internationale, ainsi que des organisations de défense de la liberté de la presse, sur les dangers menaçant le journalisme au Sénégal si rien n'est fait.
Les quotidiens "Stades" et "Sunu Lamb" ont déjà cessé de paraître, et "Vox Pop" n'a pas été publié récemment. Selon la CAP, d'autres journaux pourraient suivre la même voie désastreuse.
La CAP déplore que l'État choisisse de mépriser la situation en prenant des décisions qui semblent viser délibérément la suppression des médias privés. Elle critique également les nouvelles autorités pour leur manque de dialogue et de concertation, ce qui empêche la relance d'un secteur crucial pour la démocratie.
La CAP souligne que les pressions fiscales, la confiscation du Fonds d'appui au développement de la presse (FADP), et les suspensions des paiements des conventions commerciales par les structures publiques ne résoudront pas les problèmes du secteur des médias. Elle affirme que seules des mesures courageuses et des consultations franches peuvent apporter des solutions.
Face à cette situation, la CAP appelle à l'attention de l'opinion publique nationale et internationale, ainsi que des organisations de défense de la liberté de la presse, sur les dangers menaçant le journalisme au Sénégal si rien n'est fait.