Les militaires au pouvoir au Niger ont commencé à engager le dialogue avec la communauté internationale. C’est pourquoi la CEDEAO, qui menaçait d’intervenir militairement, s’efforce actuellement de développer la communication, a fait savoir le Président sierra-léonais Julius Maada Bio.
Les auteurs du coup de force au Niger ont ouvert le dialogue avec les acteurs régionaux et internationaux, et il faut le faire avancer, a fait savoir Julius Maada Bio, Président de la Sierra Leone. C’est la raison principale expliquant que l’intervention militaire évoquée par la CEDEAO n’a toujours pas eu lieu.
"Après cela, beaucoup de dynamiques ont changé. Les auteurs du coup [...] commencent à accepter le dialogue ", a-t-il déclaré dans une interview à Al Jazeera.
"Ce que nous encourageons maintenant, c'est de faire avancer ce dialogue, car l'intervention militaire, comme vous le savez, n'est pas nécessairement la meilleure façon de faire face à une situation comme celle du Niger", a-t-il ajouté. Le coup de force a eu lieu au Niger le 26 juillet. Mohamed Bazoum, Président élu, a été renversé par un groupe de militaires avec le général Abdourahamane Tiani à leur tête. Depuis, le chef de l’État est retenu prisonnier dans sa résidence avec sa famille.
En août, Abdourahamane Tiani a commencé à former son gouvernement. En septembre, après des mois de tensions, la France a annoncé la fin de sa coopération militaire avec le Niger, l’ambassadeur a quitté Niamey.
Suite au coup de force, la CEDEAO a imposé des sanctions économiques et a menacé d’intervenir militairement si l’ordre constitutionnel n’était pas rétabli. Sputnik
Les auteurs du coup de force au Niger ont ouvert le dialogue avec les acteurs régionaux et internationaux, et il faut le faire avancer, a fait savoir Julius Maada Bio, Président de la Sierra Leone. C’est la raison principale expliquant que l’intervention militaire évoquée par la CEDEAO n’a toujours pas eu lieu.
"Après cela, beaucoup de dynamiques ont changé. Les auteurs du coup [...] commencent à accepter le dialogue ", a-t-il déclaré dans une interview à Al Jazeera.
"Ce que nous encourageons maintenant, c'est de faire avancer ce dialogue, car l'intervention militaire, comme vous le savez, n'est pas nécessairement la meilleure façon de faire face à une situation comme celle du Niger", a-t-il ajouté. Le coup de force a eu lieu au Niger le 26 juillet. Mohamed Bazoum, Président élu, a été renversé par un groupe de militaires avec le général Abdourahamane Tiani à leur tête. Depuis, le chef de l’État est retenu prisonnier dans sa résidence avec sa famille.
En août, Abdourahamane Tiani a commencé à former son gouvernement. En septembre, après des mois de tensions, la France a annoncé la fin de sa coopération militaire avec le Niger, l’ambassadeur a quitté Niamey.
Suite au coup de force, la CEDEAO a imposé des sanctions économiques et a menacé d’intervenir militairement si l’ordre constitutionnel n’était pas rétabli. Sputnik