Le Fonds monétaire international (FMI) a observé un ralentissement de l'activité économique au Sénégal durant le premier semestre 2024, anticipant des "perspectives difficiles" pour le reste de l'année. Le FMI recommande des mesures fortes, notamment la suppression progressive des subventions énergétiques non-ciblées, afin de réduire le déficit budgétaire et stabiliser la dette publique.
Les discussions entre le FMI et les autorités sénégalaises, notamment le ministre des Finances, Cheikh Diba, ont porté sur la mise en œuvre de réformes économiques dans le cadre du programme appuyé par le FMI, qui totalise environ 1,5 milliard de dollars. La croissance économique a été plus lente que prévue, avec un taux de 2,3 % au premier trimestre, affectée par la faiblesse des secteurs minier, agro-industriel, et de la construction.
Le Sénégal a également enregistré un manque à gagner en termes de recettes fiscales et une augmentation des dépenses, forçant le recours à des emprunts commerciaux coûteux. Bien que l'inflation ait ralenti à 2,2 % grâce à la baisse des prix internationaux, le déficit budgétaire reste une préoccupation majeure.
aps
Les discussions entre le FMI et les autorités sénégalaises, notamment le ministre des Finances, Cheikh Diba, ont porté sur la mise en œuvre de réformes économiques dans le cadre du programme appuyé par le FMI, qui totalise environ 1,5 milliard de dollars. La croissance économique a été plus lente que prévue, avec un taux de 2,3 % au premier trimestre, affectée par la faiblesse des secteurs minier, agro-industriel, et de la construction.
Le Sénégal a également enregistré un manque à gagner en termes de recettes fiscales et une augmentation des dépenses, forçant le recours à des emprunts commerciaux coûteux. Bien que l'inflation ait ralenti à 2,2 % grâce à la baisse des prix internationaux, le déficit budgétaire reste une préoccupation majeure.
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