Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) a décrété une grève nationale de 48 heures, prévue les 18 et 19 février 2025, avec maintien des services d’urgence. Cette mobilisation vise à interpeller le gouvernement sur la nécessité d’améliorer les conditions de travail du personnel médical, a déclaré Diabel Dramé, Secrétaire général chargé des Affaires médicales, lors d’une conférence de presse.
Le SAMES déplore l’absence de mesures concrètes et de dialogue de la part des autorités malgré 14 rencontres avec le gouvernement, dont la dernière a eu lieu le 13 février 2025. Parmi les revendications figurent le recrutement des médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes dans la fonction publique, une gestion plus transparente des nominations, ainsi qu’une réforme du régime indemnitaire jugé injuste.
Le syndicat réclame également une revalorisation des pensions de retraite, soulignant la précarité des médecins après leur départ de la fonction publique. D’autres demandes incluent la construction de nouveaux hôpitaux, l’accélération de la Couverture Maladie Universelle (CMU) avec un remboursement des dettes dues aux structures de santé, ainsi que l’amélioration du statut des internes et médecins en spécialisation.
Face à l'inaction gouvernementale, le SAMES entame ainsi un plan d’action progressif, appelant les autorités à prendre en compte ces revendications pour garantir une meilleure prise en charge sanitaire des populations. aps .
Le SAMES déplore l’absence de mesures concrètes et de dialogue de la part des autorités malgré 14 rencontres avec le gouvernement, dont la dernière a eu lieu le 13 février 2025. Parmi les revendications figurent le recrutement des médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes dans la fonction publique, une gestion plus transparente des nominations, ainsi qu’une réforme du régime indemnitaire jugé injuste.
Le syndicat réclame également une revalorisation des pensions de retraite, soulignant la précarité des médecins après leur départ de la fonction publique. D’autres demandes incluent la construction de nouveaux hôpitaux, l’accélération de la Couverture Maladie Universelle (CMU) avec un remboursement des dettes dues aux structures de santé, ainsi que l’amélioration du statut des internes et médecins en spécialisation.
Face à l'inaction gouvernementale, le SAMES entame ainsi un plan d’action progressif, appelant les autorités à prendre en compte ces revendications pour garantir une meilleure prise en charge sanitaire des populations. aps .