Ce dimanche, plus de sept millions de Sénégalais sont appelés à élire les 165 députés de l'Assemblée nationale, dans un scrutin crucial pour le nouveau pouvoir en place. Ce rendez-vous électoral, à la fois test politique et levier de clarification du paysage politique, repose sur un système mixte combinant scrutin majoritaire et proportionnel.
### Un enjeu majeur pour le nouveau régime
Parmi les 41 listes de candidats en lice, le mode de scrutin prévoit que les 46 départements du pays attribuent **112 sièges** à la liste majoritaire dans chaque département. Le reste des sièges se répartit proportionnellement : **8 pour la diaspora** et **39 au niveau national**.
Ce vote intervient huit mois après l’arrivée au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye et un mois après la dissolution de l’Assemblée nationale par décret présidentiel. Pour le parti des **Patriotes africains pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF)**, une victoire écrasante renforcerait son emprise politique et consoliderait son programme stratégique **"Sénégal 2050"**, destiné à façonner les politiques publiques des prochaines années.
### Un contexte politique tendu
L’opposition, de son côté, a multiplié les alliances locales, nourrissant l’idée d’une cohabitation politique en cas de victoire. Une telle situation créerait une période d’incertitude, l’Assemblée nationale ne pouvant être dissoute avant deux ans. Cette perspective a alimenté la campagne, ponctuée par des tensions et des violences verbales et physiques, notamment à **Saint-Louis**, où des affrontements ont éclaté entre partisans de l’opposition et du pouvoir.
L’arrestation des responsables présumés de ces incidents a contribué à apaiser le climat, tandis que le camp présidentiel a appelé à poursuivre la campagne dans la sérénité.
### L’avenir du Sénégal en jeu
Au-delà des tensions, ce scrutin représente un baromètre pour évaluer l’adhésion des citoyens à la vision politique du régime en place. Les résultats attendus permettront de déterminer si le programme "Sénégal 2050" s’imposera comme un nouveau modèle de développement ou si l’opposition réussira à rectifier la trajectoire politique du pays.
Alors que les Sénégalais se rendent aux urnes, c’est l’avenir du paysage politique national qui se joue dans ces élections législatives à fort enjeu.
### Un enjeu majeur pour le nouveau régime
Parmi les 41 listes de candidats en lice, le mode de scrutin prévoit que les 46 départements du pays attribuent **112 sièges** à la liste majoritaire dans chaque département. Le reste des sièges se répartit proportionnellement : **8 pour la diaspora** et **39 au niveau national**.
Ce vote intervient huit mois après l’arrivée au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye et un mois après la dissolution de l’Assemblée nationale par décret présidentiel. Pour le parti des **Patriotes africains pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF)**, une victoire écrasante renforcerait son emprise politique et consoliderait son programme stratégique **"Sénégal 2050"**, destiné à façonner les politiques publiques des prochaines années.
### Un contexte politique tendu
L’opposition, de son côté, a multiplié les alliances locales, nourrissant l’idée d’une cohabitation politique en cas de victoire. Une telle situation créerait une période d’incertitude, l’Assemblée nationale ne pouvant être dissoute avant deux ans. Cette perspective a alimenté la campagne, ponctuée par des tensions et des violences verbales et physiques, notamment à **Saint-Louis**, où des affrontements ont éclaté entre partisans de l’opposition et du pouvoir.
L’arrestation des responsables présumés de ces incidents a contribué à apaiser le climat, tandis que le camp présidentiel a appelé à poursuivre la campagne dans la sérénité.
### L’avenir du Sénégal en jeu
Au-delà des tensions, ce scrutin représente un baromètre pour évaluer l’adhésion des citoyens à la vision politique du régime en place. Les résultats attendus permettront de déterminer si le programme "Sénégal 2050" s’imposera comme un nouveau modèle de développement ou si l’opposition réussira à rectifier la trajectoire politique du pays.
Alors que les Sénégalais se rendent aux urnes, c’est l’avenir du paysage politique national qui se joue dans ces élections législatives à fort enjeu.