C'est ainsi que le journaliste malien Seydou Oumar Traoré a commenté les propos de son ministre des Affaires étrangères sur l'intention de Bamako de rejoindre les BRICS.
L'annonce d'Abdoulaye Diop "est en phase avec les idéaux des plus hautes autorités de la Transition du Mali et de la majorité du peuple", a indiqué M.Traoré à Sputnik Afrique.
Pour aller vers un nouvel ordre mondial, il faut forcément que les BRICS "puissent être une réalité en Afrique et particulièrement au Mali", a-t-il ajouté.
L'alliance offre "de nouvelles opportunités économiques et financières qui ne sont pas offertes par les institutions classiques anciennes de Bretton-Woods". Le schéma qui base l'économie et les monnaies sur les richesses du sous-sol "favorise les États africains, particulièrement le Mali".
Et d'exprimer l'espoir qu'avec les BRICS, de nouvelles monnaies vont se créer et que le Mali pourra "être allié à cette grande organisation internationale qui est en train de décoloniser l'économie africaine".
Les BRICS peuvent aider les États africains, notamment les membres de l'AES, à se développer. Ça va renforcer leur souveraineté politique et économique, estime le journaliste.
Sputnik
L'annonce d'Abdoulaye Diop "est en phase avec les idéaux des plus hautes autorités de la Transition du Mali et de la majorité du peuple", a indiqué M.Traoré à Sputnik Afrique.
Pour aller vers un nouvel ordre mondial, il faut forcément que les BRICS "puissent être une réalité en Afrique et particulièrement au Mali", a-t-il ajouté.
L'alliance offre "de nouvelles opportunités économiques et financières qui ne sont pas offertes par les institutions classiques anciennes de Bretton-Woods". Le schéma qui base l'économie et les monnaies sur les richesses du sous-sol "favorise les États africains, particulièrement le Mali".
Et d'exprimer l'espoir qu'avec les BRICS, de nouvelles monnaies vont se créer et que le Mali pourra "être allié à cette grande organisation internationale qui est en train de décoloniser l'économie africaine".
Les BRICS peuvent aider les États africains, notamment les membres de l'AES, à se développer. Ça va renforcer leur souveraineté politique et économique, estime le journaliste.
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