À Kaolack, les jeunes ruraux du Sénégal, réunis au sein du Cadre de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR), ont exprimé leur plaidoyer pour un accès amélioré aux facteurs de production, aux financements, aux marchés et à la formation afin de contribuer au développement socioéconomique du pays, selon l'APS.
Le président du Collège des Jeunes du CNCR, Alioune Badara Diongue, a souligné : 'Nous voulons un accès aux facteurs de production, aux financements, au marché et à la formation. Nous appelons le gouvernement à intégrer, officiellement, des points essentiels qui apporteront un changement significatif dans l'insertion, voire l'installation des jeunes dans les activités du secteur agro-sylvo pastoral.'
Il a plaidé pour leur inclusion dans un cadre institutionnalisé de concertation et de coordination, favorisant la prise en compte de leurs préoccupations.
M. Diongue a fait cette déclaration lors d'une conférence de presse à l'issue d'une mission de concertations nationales se déroulant dans plusieurs régions du pays, et qui se terminera mardi prochain à Ziguinchor (sud).
Soulignant l'importance de la jeunesse pour l'avenir de l'agriculture au Sénégal, il a mentionné que, selon les données de l'Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) en 2018, les jeunes ruraux âgés de 15 à 34 ans représentaient 57,4%.
Selon une étude de l'Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), 87,3% des jeunes sont actifs dans le secteur agro-sylvo-pastoral et halieutique, dont 38% dans l'agriculture et l'élevage.
Les jeunes ruraux ont formulé des exigences claires, notamment la création d'un fonds dédié à la relève agricole avec une subvention initiale et un financement à crédit à un taux préférentiel. Ils ont également plaidé pour une institutionnalisation des échanges entre les jeunes et les gouvernants, et la clarification du statut des jeunes ruraux en termes d'âge, de zone d'habitation et d'activité."
Le président du Collège des Jeunes du CNCR, Alioune Badara Diongue, a souligné : 'Nous voulons un accès aux facteurs de production, aux financements, au marché et à la formation. Nous appelons le gouvernement à intégrer, officiellement, des points essentiels qui apporteront un changement significatif dans l'insertion, voire l'installation des jeunes dans les activités du secteur agro-sylvo pastoral.'
Il a plaidé pour leur inclusion dans un cadre institutionnalisé de concertation et de coordination, favorisant la prise en compte de leurs préoccupations.
M. Diongue a fait cette déclaration lors d'une conférence de presse à l'issue d'une mission de concertations nationales se déroulant dans plusieurs régions du pays, et qui se terminera mardi prochain à Ziguinchor (sud).
Soulignant l'importance de la jeunesse pour l'avenir de l'agriculture au Sénégal, il a mentionné que, selon les données de l'Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) en 2018, les jeunes ruraux âgés de 15 à 34 ans représentaient 57,4%.
Selon une étude de l'Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), 87,3% des jeunes sont actifs dans le secteur agro-sylvo-pastoral et halieutique, dont 38% dans l'agriculture et l'élevage.
Les jeunes ruraux ont formulé des exigences claires, notamment la création d'un fonds dédié à la relève agricole avec une subvention initiale et un financement à crédit à un taux préférentiel. Ils ont également plaidé pour une institutionnalisation des échanges entre les jeunes et les gouvernants, et la clarification du statut des jeunes ruraux en termes d'âge, de zone d'habitation et d'activité."