Le secrétaire général du Syndicat des médecins vétérinaires du Sénégal (Smvs), Alioune Badara Kane Diouf, a lancé un appel aux autorités ce lundi pour qu'elles mettent un terme à la pratique illégale de la médecine vétérinaire, soulignant les graves risques pour la santé humaine. Selon lui, l'exercice non réglementé de cette profession expose à des maladies et pourrait entraîner des décès.
Lors d'une conférence de presse organisée par le Conseil national des vétérinaires privés du Sénégal (CNVPS), M. Diouf a insisté sur la nécessité d'intervenir face à ce phénomène, qui représente un danger croissant pour la population.
Il a dénoncé la vente illicite de médicaments vétérinaires et a alerté sur les résidus de ces substances présents dans les aliments, un problème de santé publique pouvant favoriser la résistance aux antimicrobiens. Le CNVPS s'engage à accompagner les professionnels vétérinaires dans cette lutte.
Le docteur Isma Ndiaye, secrétaire général du CNVPS, a rappelé que de nombreuses maladies humaines réémergent et que 60 à 70 % de ces pathologies ont une origine animale. Il a fermement averti que des actions judiciaires pourraient être envisagées pour mettre fin à ces pratiques dangereuses.
Le syndicat a recensé 475 cabinets vétérinaires au Sénégal, un nombre jugé insuffisant face à la demande croissante de soins pour les animaux de compagnie et d’élevage.
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Lors d'une conférence de presse organisée par le Conseil national des vétérinaires privés du Sénégal (CNVPS), M. Diouf a insisté sur la nécessité d'intervenir face à ce phénomène, qui représente un danger croissant pour la population.
Il a dénoncé la vente illicite de médicaments vétérinaires et a alerté sur les résidus de ces substances présents dans les aliments, un problème de santé publique pouvant favoriser la résistance aux antimicrobiens. Le CNVPS s'engage à accompagner les professionnels vétérinaires dans cette lutte.
Le docteur Isma Ndiaye, secrétaire général du CNVPS, a rappelé que de nombreuses maladies humaines réémergent et que 60 à 70 % de ces pathologies ont une origine animale. Il a fermement averti que des actions judiciaires pourraient être envisagées pour mettre fin à ces pratiques dangereuses.
Le syndicat a recensé 475 cabinets vétérinaires au Sénégal, un nombre jugé insuffisant face à la demande croissante de soins pour les animaux de compagnie et d’élevage.
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