Vendredi, la police a forcé l’entrée de la salle où se tenait le point de presse de Barthélemy Dias, l’ancien maire de Dakar, destitué de son mandat ce jour-là. Les militants, qui avaient barricadé la porte avec des chaises pour empêcher l’intervention des forces de l’ordre, ont vu leurs efforts réduits à néant.
Les policiers ont ensuite évacué la salle, remplie de militants et de journalistes attentifs à la déclaration de Barthélemy Dias. Une fois la salle vidée, ils ont encerclé Barthélemy Dias avec leurs boucliers, le tenant à l’écart de ses partisans. Même Cheikh Guèye, maire de Dieuppeul-Derklé, a été empêché par la police d’accéder à lui.
Cette situation a suscité la colère des militants, qui n’ont pas mâché leurs mots envers Ousmane Sonko. Selon eux, celui qui, lorsqu’il était dans l’opposition, défendait Barthélemy Dias contre Macky Sall, a « retourné sa veste » depuis son accession au pouvoir. Ils l’ont qualifié de « faux ami ».
Les policiers ont ensuite évacué la salle, remplie de militants et de journalistes attentifs à la déclaration de Barthélemy Dias. Une fois la salle vidée, ils ont encerclé Barthélemy Dias avec leurs boucliers, le tenant à l’écart de ses partisans. Même Cheikh Guèye, maire de Dieuppeul-Derklé, a été empêché par la police d’accéder à lui.
Cette situation a suscité la colère des militants, qui n’ont pas mâché leurs mots envers Ousmane Sonko. Selon eux, celui qui, lorsqu’il était dans l’opposition, défendait Barthélemy Dias contre Macky Sall, a « retourné sa veste » depuis son accession au pouvoir. Ils l’ont qualifié de « faux ami ».