Ndiaga Diaw, membre influent du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) à Thiès, a dénoncé la nomination de Mor Diouf et a critiqué ouvertement le Maire de Thiès, Babacar Diop. Dans une interview intense, il a fait part de sa frustration face à une série de problèmes internes qu'il considère comme contraires aux principes démocratiques de son parti.
Diaw a contesté la nomination de Mor Diouf, déclarant qu'elle ne repose sur "aucune base légale". Selon lui, les principes fondamentaux du parti stipulent que, en l'absence de consensus, une élection devrait être organisée. Il a souligné que leur candidat a réussi à organiser 21 secteurs, alors que Mor Diouf n'en a organisé que 9. "Entre 9 et 21, il n'y a même pas photo", a-t-il dit.
Diaw a également exprimé son insatisfaction à l'égard de la manière dont la décision a été prise, en affirmant que le président de la Commission n'était même pas au courant. En réaction, Diaw a officiellement protesté, informant le président Abdoulaye Wade et d'autres dirigeants du parti de son désaccord. Il a signalé que 70% du bureau rejetait la décision, y compris la seconde femme de Mor Diouf, qui occupait également un poste au sein du parti.
En plus de ses critiques internes, Diaw a ciblé le Maire de Thiès, Babacar Diop, l'accusant d'abus de pouvoir. Selon Diaw, Diop a tenté d'utiliser sa position pour le marginaliser, notamment en demandant que son nom soit retiré de la liste des organisateurs de la foire locale. Diaw a prévenu que Diop subirait des conséquences pour ses actions, et a insinué qu'il pourrait perturber les futurs événements si le problème n'était pas résolu.
Concernant les prochaines élections, Diaw est convaincu que la nomination de Mor Diouf comme secrétaire général causerait "beaucoup d'incompréhension" et pourrait même "disloquer" le parti. Il a appelé à l'annulation de cette décision et a affirmé qu'il continuerait son travail, en considérant qu'il est toujours le secrétaire général du parti. Il est convaincu qu'il remporterait une élection interne si elle était organisée.
En conclusion, Diaw appelle à une réorganisation et à un renouvellement des instances de base du parti, en insistant sur le fait que la démocratie interne doit primer. Il a promis de continuer le combat, d'élaborer un plan d'action et de rallier le soutien de la base. Il reste optimiste quant à l'avenir et est déterminé à poursuivre son travail au sein du parti, malgré les défis internes et externes.
Diaw a contesté la nomination de Mor Diouf, déclarant qu'elle ne repose sur "aucune base légale". Selon lui, les principes fondamentaux du parti stipulent que, en l'absence de consensus, une élection devrait être organisée. Il a souligné que leur candidat a réussi à organiser 21 secteurs, alors que Mor Diouf n'en a organisé que 9. "Entre 9 et 21, il n'y a même pas photo", a-t-il dit.
Diaw a également exprimé son insatisfaction à l'égard de la manière dont la décision a été prise, en affirmant que le président de la Commission n'était même pas au courant. En réaction, Diaw a officiellement protesté, informant le président Abdoulaye Wade et d'autres dirigeants du parti de son désaccord. Il a signalé que 70% du bureau rejetait la décision, y compris la seconde femme de Mor Diouf, qui occupait également un poste au sein du parti.
En plus de ses critiques internes, Diaw a ciblé le Maire de Thiès, Babacar Diop, l'accusant d'abus de pouvoir. Selon Diaw, Diop a tenté d'utiliser sa position pour le marginaliser, notamment en demandant que son nom soit retiré de la liste des organisateurs de la foire locale. Diaw a prévenu que Diop subirait des conséquences pour ses actions, et a insinué qu'il pourrait perturber les futurs événements si le problème n'était pas résolu.
Concernant les prochaines élections, Diaw est convaincu que la nomination de Mor Diouf comme secrétaire général causerait "beaucoup d'incompréhension" et pourrait même "disloquer" le parti. Il a appelé à l'annulation de cette décision et a affirmé qu'il continuerait son travail, en considérant qu'il est toujours le secrétaire général du parti. Il est convaincu qu'il remporterait une élection interne si elle était organisée.
En conclusion, Diaw appelle à une réorganisation et à un renouvellement des instances de base du parti, en insistant sur le fait que la démocratie interne doit primer. Il a promis de continuer le combat, d'élaborer un plan d'action et de rallier le soutien de la base. Il reste optimiste quant à l'avenir et est déterminé à poursuivre son travail au sein du parti, malgré les défis internes et externes.