Bien plus que le Mali ou le Burkina Faso, le coup d’Etat au Niger a eu cette particularité d’avoir fait planer le spectre d’une confrontation généralisée sur son sol et le Sahel, ce qui ne l’était pas dans les autres cas. En effet, la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), la France, l’Algérie, et autres groupes terroristes orbitant alentour, fort inquiétés par la tournure des événements pourraient bien, de concert, en venir « aux mains ».
C’est que ce grand territoire désertique et bien enclavé (sept pays) tout plein d’or et d’uranium, ne laisse guère indifférent et ce, bien au-delà de sa sphère. C’est que ce pays d’Afrique de l’Ouest, est limitrophe au nord de l’Algérie et la Libye à l’est du Tchad, au sud du Nigeria et du Bénin, et à l’ouest du Burkina du Mali. C’est dire si le Niger est plus que jamais une chaudière au bord de l’explosion dans ce contexte de conjoncture terroriste au Sahel.
L’Algérie qui partage près d’un millier de kilomètres de ses frontières sud-est avec le Niger, bien plus que la France, suit avec inquiétude le développement des événements depuis le putsch du 26 juillet. Et même si Alger a condamné « avec force », le coup d’Etat dans la République “sœur“ du Niger, elle n’a pas omis de mettre en garde contre « toute ingérence et autres intentions d’intervention militaire étrangère », allusion faite à la CEDAO et à la France. Hespress
C’est que ce grand territoire désertique et bien enclavé (sept pays) tout plein d’or et d’uranium, ne laisse guère indifférent et ce, bien au-delà de sa sphère. C’est que ce pays d’Afrique de l’Ouest, est limitrophe au nord de l’Algérie et la Libye à l’est du Tchad, au sud du Nigeria et du Bénin, et à l’ouest du Burkina du Mali. C’est dire si le Niger est plus que jamais une chaudière au bord de l’explosion dans ce contexte de conjoncture terroriste au Sahel.
L’Algérie qui partage près d’un millier de kilomètres de ses frontières sud-est avec le Niger, bien plus que la France, suit avec inquiétude le développement des événements depuis le putsch du 26 juillet. Et même si Alger a condamné « avec force », le coup d’Etat dans la République “sœur“ du Niger, elle n’a pas omis de mettre en garde contre « toute ingérence et autres intentions d’intervention militaire étrangère », allusion faite à la CEDAO et à la France. Hespress