Ousmane Sonko a adressé un message à ses militants, les appelant à "continuer la campagne dans le calme et la paix durant les quatre jours restants" avant la fin de la campagne prévue vendredi soir. Il les a exhortés à "n'attaquer personne, ne frapper personne, ne provoquer personne", tout en restant vigilants.
La veille, Sonko avait tenu des propos plus virulents, incitant ses partisans à répondre aux agressions subies par le mouvement Pastef depuis le début de la campagne. "Nous exercerons notre droit légitime à la riposte", avait-il déclaré. Il a également affirmé que Barthélémy Dias et sa coalition ne devraient plus pouvoir poursuivre leur campagne dans le pays.
Selon lui, aucune arrestation n'a été faite suite à des agressions contre ses militants, déplorant une "faillite de l'État". À Rufisque, près de Dakar, après des incidents à Saint-Louis, il a accusé des opposants d'avoir blessé ses partisans à l’aide de couteaux et de sabres. "Un État ne doit pas être faible", a-t-il insisté, reprochant aux autorités de ne pas assurer la sécurité.
Le gouverneur de Saint-Louis a confirmé des incidents, signalant des blessés et l’arrestation de 81 personnes. Pendant ce temps, un rassemblement des militants de Pastef s’est tenu à Dakar, sous haute surveillance policière.
De son côté, la coalition de Barthélémy Dias, Samm Sa Kaddu, a dénoncé un "appel au meurtre" et accusé Sonko de "museler la démocratie". Elle tient Sonko responsable de toute violence pouvant survenir envers ses membres.
La veille, Sonko avait tenu des propos plus virulents, incitant ses partisans à répondre aux agressions subies par le mouvement Pastef depuis le début de la campagne. "Nous exercerons notre droit légitime à la riposte", avait-il déclaré. Il a également affirmé que Barthélémy Dias et sa coalition ne devraient plus pouvoir poursuivre leur campagne dans le pays.
Selon lui, aucune arrestation n'a été faite suite à des agressions contre ses militants, déplorant une "faillite de l'État". À Rufisque, près de Dakar, après des incidents à Saint-Louis, il a accusé des opposants d'avoir blessé ses partisans à l’aide de couteaux et de sabres. "Un État ne doit pas être faible", a-t-il insisté, reprochant aux autorités de ne pas assurer la sécurité.
Le gouverneur de Saint-Louis a confirmé des incidents, signalant des blessés et l’arrestation de 81 personnes. Pendant ce temps, un rassemblement des militants de Pastef s’est tenu à Dakar, sous haute surveillance policière.
De son côté, la coalition de Barthélémy Dias, Samm Sa Kaddu, a dénoncé un "appel au meurtre" et accusé Sonko de "museler la démocratie". Elle tient Sonko responsable de toute violence pouvant survenir envers ses membres.