Docteur Abdoul Aziz Kassé a donné hier un cours de sensibilisation sur les nouvelles formes de tabagisme utilisées aujourd 'hui par les jeunes aux élèves des lycées Birago Diop et Jean Mermoz.
Selon le cancérologue, si le Mali a pris ses responsabilités en interdisant la chicha, pourquoi pas au Sénégal. "L'industrie du tabac s'est dit que plutôt de vendre du tabac, maintenant , je vais vendre de l'addiction. Je vais prendre la substance la plus addictive qui s'appelle la nicotine que je vais mettre dans des puffs. Ces puffs ressemblent à des marqueurs qui sont vendus aux enfants. Ils sont extrêmement dangereux pour entretenir une certaine forme de dépendance. Il s'y ajoute d'autres formes de délivrance que l'on appelle les sachets de nicotine que l'on met dans la bouche", alerte - t - il
"La chicha est en train de gangrener le pays parce qu'une session de chicha d'une heure de temps est l'équivalent de 20 à 100 cigarettes, c'est inadmissible. Cela enrichit les Turcs, les Syriens, les Libanais, mais aussi les terroristes qui introduisent frauduleusement de la chicha dans nos pays", prévient Dr Kassé dans les colonnes du journal L'info.
Pour Dr Kassé, le plus grave, au lieu de ne mettre que de la nicotine dans les puffs, certaines industries asiatiques mettent des dérivés du cannabis, des alcools. "Aujourd'hui, ils mettent une drogue que l'on appelle zombie que l'on n'a pas encore vu au Sénégal. Mais le jour où cette drogue arrivera au Sénégal, ce sera catastrophique. Nous n'avons pas le droit de se taire.", a - t - il laissé entendre.
Selon le cancérologue, si le Mali a pris ses responsabilités en interdisant la chicha, pourquoi pas au Sénégal. "L'industrie du tabac s'est dit que plutôt de vendre du tabac, maintenant , je vais vendre de l'addiction. Je vais prendre la substance la plus addictive qui s'appelle la nicotine que je vais mettre dans des puffs. Ces puffs ressemblent à des marqueurs qui sont vendus aux enfants. Ils sont extrêmement dangereux pour entretenir une certaine forme de dépendance. Il s'y ajoute d'autres formes de délivrance que l'on appelle les sachets de nicotine que l'on met dans la bouche", alerte - t - il
"La chicha est en train de gangrener le pays parce qu'une session de chicha d'une heure de temps est l'équivalent de 20 à 100 cigarettes, c'est inadmissible. Cela enrichit les Turcs, les Syriens, les Libanais, mais aussi les terroristes qui introduisent frauduleusement de la chicha dans nos pays", prévient Dr Kassé dans les colonnes du journal L'info.
Pour Dr Kassé, le plus grave, au lieu de ne mettre que de la nicotine dans les puffs, certaines industries asiatiques mettent des dérivés du cannabis, des alcools. "Aujourd'hui, ils mettent une drogue que l'on appelle zombie que l'on n'a pas encore vu au Sénégal. Mais le jour où cette drogue arrivera au Sénégal, ce sera catastrophique. Nous n'avons pas le droit de se taire.", a - t - il laissé entendre.