Au Gabon, le dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle qui se tiendra le 12 avril prochain a débuté, marquant la première étape d’un processus électoral crucial. Les candidats intéressés ont jusqu’au 8 mars pour soumettre leur dossier auprès du ministère de l’Intérieur. Cette information a été rapportée par nos confrères de Sud Quotidien.
Les aspirants à la présidence doivent se conformer à plusieurs exigences stipulées dans la nouvelle Constitution, adoptée par référendum le 16 novembre dernier. Parmi ces critères figurent le passage d’un test linguistique, un contrôle médical et le respect des conditions d’âge établies entre 35 et 70 ans. De plus, les candidats doivent avoir renoncé à toute nationalité autre que gabonaise au moins trois ans avant l’élection, résider au Gabon depuis trois années consécutives minimum avant le scrutin présidentiel, et maîtriser au moins une langue locale. Le coût de la candidature est fixé à trente millions de francs CFA, soit environ 48 000 dollars.
Parmi les figures marquantes dans cette course électorale, nous retrouvons l’opposant Daniel Mengara, la femme d’affaires Gninga Chaning, l’ingénieure Marion Minstsa, le haut fonctionnaire Joseph Essingone, le président du mouvement Gabon en Action, Steeve Ilahou, ainsi que le journaliste Marc-Ulrich Malekou. L’ancien Premier ministre, Alain-Claude Bilie By Nze, entame actuellement une tournée à travers le pays, bien qu’il ne soit pas officiellement candidat, selon des informations fournies par l’AFP.
Par ailleurs, le général Brice Oligui Nguema, président de la transition après le coup d’État du 30 août 2023, n’a pas encore annoncé sa candidature. Toutefois, le nouveau code électoral prévoit que les militaires peuvent se présenter, à condition d’une démission ou d’une mise en disponibilité préalable.
La campagne électorale doit s’ouvrir le 29 mars, et elle promet d’être intense, avec des enjeux politiques majeurs pour le pays. Cette élection est très attendue dans le contexte politique actuel, et le suivi des événements par des sources telles que Sud Quotidien permet de rester informé des candidats et du déroulement des préparatifs électoraux.
Les aspirants à la présidence doivent se conformer à plusieurs exigences stipulées dans la nouvelle Constitution, adoptée par référendum le 16 novembre dernier. Parmi ces critères figurent le passage d’un test linguistique, un contrôle médical et le respect des conditions d’âge établies entre 35 et 70 ans. De plus, les candidats doivent avoir renoncé à toute nationalité autre que gabonaise au moins trois ans avant l’élection, résider au Gabon depuis trois années consécutives minimum avant le scrutin présidentiel, et maîtriser au moins une langue locale. Le coût de la candidature est fixé à trente millions de francs CFA, soit environ 48 000 dollars.
Parmi les figures marquantes dans cette course électorale, nous retrouvons l’opposant Daniel Mengara, la femme d’affaires Gninga Chaning, l’ingénieure Marion Minstsa, le haut fonctionnaire Joseph Essingone, le président du mouvement Gabon en Action, Steeve Ilahou, ainsi que le journaliste Marc-Ulrich Malekou. L’ancien Premier ministre, Alain-Claude Bilie By Nze, entame actuellement une tournée à travers le pays, bien qu’il ne soit pas officiellement candidat, selon des informations fournies par l’AFP.
Par ailleurs, le général Brice Oligui Nguema, président de la transition après le coup d’État du 30 août 2023, n’a pas encore annoncé sa candidature. Toutefois, le nouveau code électoral prévoit que les militaires peuvent se présenter, à condition d’une démission ou d’une mise en disponibilité préalable.
La campagne électorale doit s’ouvrir le 29 mars, et elle promet d’être intense, avec des enjeux politiques majeurs pour le pays. Cette élection est très attendue dans le contexte politique actuel, et le suivi des événements par des sources telles que Sud Quotidien permet de rester informé des candidats et du déroulement des préparatifs électoraux.