Ce mercredi 6 mars, l’Assemblée nationale a voté en faveur du projet de loi portant amnistie générale des actes de violence liés à la politique survenus entre février 2021 et février 2024.
Ce projet de loi vise à amnistier "tous les actes pouvant constituer des infractions criminelles ou correctionnelles commis entre le 1er février 2021 et le 25 février 2024, que ce soit au Sénégal ou à l'étranger, en lien avec des manifestations ou motivés par des considérations politiques".
Entre 2021 et 2023, le Sénégal a été le théâtre de plusieurs épisodes d’émeutes, de confrontations, de saccages et de pillages, principalement en raison du conflit entre l'opposant Ousmane Sonko et le pouvoir en place. En février 2024, de nouveaux troubles ont éclaté après l'annonce du report des élections, entraînant la mort de dizaines de personnes, des centaines de blessés et d'interpellations.
L'objectif de cette amnistie est de "favoriser l'apaisement du climat politique et social", selon la présidence.
La publication de cette loi au Journal officiel pourrait conduire à la libération de nombreux opposants. Cependant, de nombreux acteurs politiques et sociaux expriment leur opposition au projet, soulignant l'absence de responsabilité des forces de sécurité et des responsables gouvernementaux dans ces événements.
Ce projet de loi vise à amnistier "tous les actes pouvant constituer des infractions criminelles ou correctionnelles commis entre le 1er février 2021 et le 25 février 2024, que ce soit au Sénégal ou à l'étranger, en lien avec des manifestations ou motivés par des considérations politiques".
Entre 2021 et 2023, le Sénégal a été le théâtre de plusieurs épisodes d’émeutes, de confrontations, de saccages et de pillages, principalement en raison du conflit entre l'opposant Ousmane Sonko et le pouvoir en place. En février 2024, de nouveaux troubles ont éclaté après l'annonce du report des élections, entraînant la mort de dizaines de personnes, des centaines de blessés et d'interpellations.
L'objectif de cette amnistie est de "favoriser l'apaisement du climat politique et social", selon la présidence.
La publication de cette loi au Journal officiel pourrait conduire à la libération de nombreux opposants. Cependant, de nombreux acteurs politiques et sociaux expriment leur opposition au projet, soulignant l'absence de responsabilité des forces de sécurité et des responsables gouvernementaux dans ces événements.