Je ne suis au courant de rien ». C’est la réponse donnée par le maire de Guédiawaye, Ahmed Aidara, concernant le scandale foncier autour de la bande des filaos, notamment après le décret n°2021-701 du 4 juin 2021 octroyant 150,58 hectares pour la construction de divers équipements et logements, comme rapporté par Le Soleil.
D'après le quotidien, ces terres sont réparties comme suit : 43,92 % pour l'habitat, 21,01 % pour les voiries et réseaux divers, et 35 % pour les équipements.
Ahmed Aidara dénonce l'opacité dans la gestion de cette bande de terre, affirmant que ni lui ni ses conseillers n'ont de terrain sur la bande des filaos. Il exprime sa frustration quant à l'exclusion de la mairie de Ville de la gestion de ce dossier, contrairement à la pratique avec l'ancienne équipe municipale.
Malgré cela, il affirme que la Ville de Guédiawaye devrait être le principal acteur, soulignant que la bande des filaos a été déclassée après une délibération du Conseil municipal de la Ville.
Ahmed Aïdara souligne qu'il a déjà interpellé à plusieurs reprises les représentants de l'État central, mais n'a jamais reçu de réponse. Il rappelle que la loi exige la mise en place d'une commission pilotée par le préfet et le maire, mais qu'à Guédiawaye, cette commission n'a jamais été formée depuis son arrivée."
D'après le quotidien, ces terres sont réparties comme suit : 43,92 % pour l'habitat, 21,01 % pour les voiries et réseaux divers, et 35 % pour les équipements.
Ahmed Aidara dénonce l'opacité dans la gestion de cette bande de terre, affirmant que ni lui ni ses conseillers n'ont de terrain sur la bande des filaos. Il exprime sa frustration quant à l'exclusion de la mairie de Ville de la gestion de ce dossier, contrairement à la pratique avec l'ancienne équipe municipale.
Malgré cela, il affirme que la Ville de Guédiawaye devrait être le principal acteur, soulignant que la bande des filaos a été déclassée après une délibération du Conseil municipal de la Ville.
Ahmed Aïdara souligne qu'il a déjà interpellé à plusieurs reprises les représentants de l'État central, mais n'a jamais reçu de réponse. Il rappelle que la loi exige la mise en place d'une commission pilotée par le préfet et le maire, mais qu'à Guédiawaye, cette commission n'a jamais été formée depuis son arrivée."