Le service départemental du commerce de Mbour, en collaboration avec la brigade de gendarmerie de Nguékhokh, a intercepté 34 tonnes d’arachide entre le jeudi 19 et le dimanche 22 décembre. Ces graines étaient vendues à un prix inférieur à celui fixé par l’État et collectées dans un centre non agréé.
Selon Mamadou Lamine Ndiaye, chef du service départemental du commerce, deux opérateurs privés achetaient le kilo d’arachide à 300 francs CFA, soit en dessous du prix plancher de 305 francs CFA imposé par le gouvernement. Quelques semaines auparavant, ces mêmes opérateurs avaient déjà collecté des graines à raison de 275 francs CFA le kilo.
« Nous avons reçu des signalements concernant des transactions illégales sur les prix et des collectes dans des lieux non autorisés », a expliqué M. Ndiaye. Une enquête conjointe a permis de confirmer ces pratiques et de saisir les marchandises.
Les propriétaires des graines ont été entendus par la brigade de gendarmerie, ouvrant ainsi une phase contentieuse. Ils ont désormais le choix entre reconnaître les faits et s’acquitter d’une amende, ou faire face à une procédure judiciaire. Dans ce dernier cas, la marchandise pourrait être mise en vente, et un rapport transmis au procureur de la République pour un éventuel procès. aps
Selon Mamadou Lamine Ndiaye, chef du service départemental du commerce, deux opérateurs privés achetaient le kilo d’arachide à 300 francs CFA, soit en dessous du prix plancher de 305 francs CFA imposé par le gouvernement. Quelques semaines auparavant, ces mêmes opérateurs avaient déjà collecté des graines à raison de 275 francs CFA le kilo.
« Nous avons reçu des signalements concernant des transactions illégales sur les prix et des collectes dans des lieux non autorisés », a expliqué M. Ndiaye. Une enquête conjointe a permis de confirmer ces pratiques et de saisir les marchandises.
Les propriétaires des graines ont été entendus par la brigade de gendarmerie, ouvrant ainsi une phase contentieuse. Ils ont désormais le choix entre reconnaître les faits et s’acquitter d’une amende, ou faire face à une procédure judiciaire. Dans ce dernier cas, la marchandise pourrait être mise en vente, et un rapport transmis au procureur de la République pour un éventuel procès. aps