e Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames) a bouclé 48 heures de grève, ce mercredi 19 février. Son secrétaire général, Dr Mamadou Demba Ndour, tire un bilan positif : «on a remarqué que toutes nos sections ont respecté le mot d’ordre», a-t-il déclaré dans un entretien paru ce jeudi 20 dans L’Observateur.
Mais le Sames ne compte pas s’arrêter là. Il prévoit de passer à la vitesse supérieure, si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Parmi celles-ci, figure le règlement de la situation des médecins diplômés restés 3 à 5 ans sans être recrutés.
«Il reste entendu qu’on reste toujours ouvert au dialogue en attendant le deuxième plan d’actions, rassure Dr Ndour. Si les autorités nous appellent avec des propositions concrètes, ce deuxième plan d’actions ne sera pas déroulé. Au cas contraire, c’est sûr que dans la gradation des forces qu’on utilise, on monte en puissance. [...] C’est sûr que le deuxième plan d’actions sera beaucoup plus dur et plus chaud que le premier. C’est une évidence syndicale, on monte en puissance.»
Le secrétaire général du Sames a informé que leur rencontre avec le directeur de la Fonction publique, mardi dernier, n’a produit «rien de concret». «Hélas, regrette le syndicaliste, on a constaté, avec les autorités qui nous ont reçus, qu’elles ne détenaient pas les clés de la solution. Qu’en dehors des constats qu’elles ont faits et de la pertinence des revendications qu’elles ont acceptée, ces autorités nous ont renvoyés à la rencontre de concertation que le Premier ministre compte tenir avec les organisations syndicales. Une rencontre pour laquelle aucune date précise n’a encore été annoncée.»
Mais le Sames ne compte pas s’arrêter là. Il prévoit de passer à la vitesse supérieure, si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Parmi celles-ci, figure le règlement de la situation des médecins diplômés restés 3 à 5 ans sans être recrutés.
«Il reste entendu qu’on reste toujours ouvert au dialogue en attendant le deuxième plan d’actions, rassure Dr Ndour. Si les autorités nous appellent avec des propositions concrètes, ce deuxième plan d’actions ne sera pas déroulé. Au cas contraire, c’est sûr que dans la gradation des forces qu’on utilise, on monte en puissance. [...] C’est sûr que le deuxième plan d’actions sera beaucoup plus dur et plus chaud que le premier. C’est une évidence syndicale, on monte en puissance.»
Le secrétaire général du Sames a informé que leur rencontre avec le directeur de la Fonction publique, mardi dernier, n’a produit «rien de concret». «Hélas, regrette le syndicaliste, on a constaté, avec les autorités qui nous ont reçus, qu’elles ne détenaient pas les clés de la solution. Qu’en dehors des constats qu’elles ont faits et de la pertinence des revendications qu’elles ont acceptée, ces autorités nous ont renvoyés à la rencontre de concertation que le Premier ministre compte tenir avec les organisations syndicales. Une rencontre pour laquelle aucune date précise n’a encore été annoncée.»