Lamine Diop, coordinateur du Collectif des Victimes des Démolitions de Routes de Dakar, a récemment convoqué la presse pour exposer de nouveaux développements dans le combat contre les injustices subies depuis 2018.
Depuis les démolitions de leurs maisons dans le quartier, orchestrées par la société dénommée "Sopprime", le collectif se bat pour la justice. Diop a souligné que l'autorité en place, y compris l'administration du Président Macky Sall, est consciente de la situation mais n'a pas réussi à apporter une résolution satisfaisante.
Une nouvelle escalade de l'injustice est venue aggraver la situation. Diop a rapporté que des éléments supposés appartenir au Cadastre sont apparus récemment sur le site des démolitions, effectuant des levés topographiques les week-ends. Cette activité suspecte suggère une complicité avec la société "Sopprime", qui semble pressée d'obtenir les autorisations administratives nécessaires à la poursuite de ses activités illégales.
Le collectif, armé de documents légaux datant de 1996, démontrant leur droit à occuper le site, a décidé de riposter. Confrontés à des demandes de paiement exorbitantes pour des documents administratifs, ils refusent de se plier à ces tactiques d'intimidation. Ils ont décidé d'occuper leurs parcelles, de les nettoyer et même d'entamer des travaux, affirmant leur droit légitime sur le terrain.
Diop a dénoncé le laxisme de l'administration et l'injustice flagrante dans la façon dont les droits fonciers sont manipulés. Il a critiqué le manque de transparence dans les transactions foncières, où les montants exigés sont obscurs et variables, laissant les propriétaires dans l'incertitude.
En conclusion, le collectif affirme sa détermination à défendre ses droits légitimes. Ils appellent à une action immédiate pour mettre fin à cette exploitation et à ces pratiques frauduleuses, exigeant que la justice soit rendue et que les coupables soient tenus responsables. Le combat pour la justice foncière à Dakar continue, et le collectif reste résolu à le mener jusqu'à ce que la vérité éclate et que la justice prévale.
Depuis les démolitions de leurs maisons dans le quartier, orchestrées par la société dénommée "Sopprime", le collectif se bat pour la justice. Diop a souligné que l'autorité en place, y compris l'administration du Président Macky Sall, est consciente de la situation mais n'a pas réussi à apporter une résolution satisfaisante.
Une nouvelle escalade de l'injustice est venue aggraver la situation. Diop a rapporté que des éléments supposés appartenir au Cadastre sont apparus récemment sur le site des démolitions, effectuant des levés topographiques les week-ends. Cette activité suspecte suggère une complicité avec la société "Sopprime", qui semble pressée d'obtenir les autorisations administratives nécessaires à la poursuite de ses activités illégales.
Le collectif, armé de documents légaux datant de 1996, démontrant leur droit à occuper le site, a décidé de riposter. Confrontés à des demandes de paiement exorbitantes pour des documents administratifs, ils refusent de se plier à ces tactiques d'intimidation. Ils ont décidé d'occuper leurs parcelles, de les nettoyer et même d'entamer des travaux, affirmant leur droit légitime sur le terrain.
Diop a dénoncé le laxisme de l'administration et l'injustice flagrante dans la façon dont les droits fonciers sont manipulés. Il a critiqué le manque de transparence dans les transactions foncières, où les montants exigés sont obscurs et variables, laissant les propriétaires dans l'incertitude.
En conclusion, le collectif affirme sa détermination à défendre ses droits légitimes. Ils appellent à une action immédiate pour mettre fin à cette exploitation et à ces pratiques frauduleuses, exigeant que la justice soit rendue et que les coupables soient tenus responsables. Le combat pour la justice foncière à Dakar continue, et le collectif reste résolu à le mener jusqu'à ce que la vérité éclate et que la justice prévale.