Samedi soir, la commune de Niaguis, située dans la région de Ziguinchor, a accueilli la projection du film documentaire "Aakimo", axé sur le pillage des ressources naturelles. L'événement visait à sensibiliser la population locale à la nécessité de préserver la forêt, rapporte l’APS.
"Aakimo", qui signifie "s'accaparer" en wolof, est un film réalisé en 2022 par le photographe et naturaliste Nicolas Van Ingen, dans le cadre d'un partenariat entre l’Océanium Dakar et la Fondation Konrad Adenauer (FKA).
Le documentaire traite de trois thématiques principales : la déforestation, l’exploitation illicite de l’or et la surpêche. Caroline Hauptmann, représentante résidente de la FKA au Sénégal, a expliqué que le film est utilisé comme support de sensibilisation dans le cadre des activités de "médiapalabre". "C'est un format participatif qui nous permet de susciter le débat sur ces problématiques environnementales avec les citoyens", a-t-elle ajouté.
Mariama Sonko, responsable du centre agroécologique de Niaguis et présidente des femmes de Niaguis, a salué l’éveil de conscience par rapport aux fléaux environnementaux menaçant l’écosystème et le sous-sol. Elle a déploré la déforestation massive dans certaines zones de la Casamance et a exhorté les communautés à agir pour préserver l'environnement et les massifs forestiers.
"Ce film nous ouvre les yeux pour réfléchir et trouver des solutions afin de lutter contre la déforestation", a-t-elle déclaré.
Après la projection, un débat citoyen interactif, animé par le journaliste Ibrahima Gassama, a eu lieu avec la population de Niaguis. L'événement a rassemblé des jeunes, des environnementalistes, des regroupements de femmes, des chefs de village, des autorités territoriales et un large public.
"Aakimo", qui signifie "s'accaparer" en wolof, est un film réalisé en 2022 par le photographe et naturaliste Nicolas Van Ingen, dans le cadre d'un partenariat entre l’Océanium Dakar et la Fondation Konrad Adenauer (FKA).
Le documentaire traite de trois thématiques principales : la déforestation, l’exploitation illicite de l’or et la surpêche. Caroline Hauptmann, représentante résidente de la FKA au Sénégal, a expliqué que le film est utilisé comme support de sensibilisation dans le cadre des activités de "médiapalabre". "C'est un format participatif qui nous permet de susciter le débat sur ces problématiques environnementales avec les citoyens", a-t-elle ajouté.
Mariama Sonko, responsable du centre agroécologique de Niaguis et présidente des femmes de Niaguis, a salué l’éveil de conscience par rapport aux fléaux environnementaux menaçant l’écosystème et le sous-sol. Elle a déploré la déforestation massive dans certaines zones de la Casamance et a exhorté les communautés à agir pour préserver l'environnement et les massifs forestiers.
"Ce film nous ouvre les yeux pour réfléchir et trouver des solutions afin de lutter contre la déforestation", a-t-elle déclaré.
Après la projection, un débat citoyen interactif, animé par le journaliste Ibrahima Gassama, a eu lieu avec la population de Niaguis. L'événement a rassemblé des jeunes, des environnementalistes, des regroupements de femmes, des chefs de village, des autorités territoriales et un large public.