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Société sur Thies info
Le tribunal des flagrants délits de Thiès a condamné, le 26 décembre 2025, un guérisseur âgé de 34 ans à trois ans de prison ferme pour escroquerie et charlatanisme. Il s’agit de A. Sy, domicilié au quartier Mbour 3, reconnu coupable d’avoir soutiré plusieurs millions de francs CFA à une commerçante.
En plus de la peine d’emprisonnement, le tribunal l’a également condamné à verser 30 millions FCFA à la partie civile, S. Seck, à titre de dommages et intérêts.
Une affaire d’envoûtement présumé
Selon la plaignante, A. Sy aurait abusé de sa confiance en se présentant comme un guérisseur doté de pouvoirs mystiques. Il l’aurait convaincue qu’elle était victime d’un envoûtement, avant de lui réclamer de fortes sommes d’argent pour lever le supposé sort. Au total, la commerçante affirme avoir remis 26 millions FCFA au prévenu.
À la barre, le guérisseur a vigoureusement nié les accusations. Il a reconnu avoir reçu 17 millions FCFA, mais soutient que cet argent aurait été utilisé pour faire des aumônes, censées favoriser le commerce de la plaignante, ainsi que pour soigner ses propres enfants, qu’il dit malades.
Une peine plus lourde que les réquisitions
Le procureur de la République avait requis deux ans de prison ferme contre le prévenu. Toutefois, le tribunal a estimé que la gravité des faits et le préjudice subi par la victime justifiaient une sanction plus sévère, portant ainsi la peine à trois ans d’emprisonnement ferme.
Cette condamnation relance le débat sur les pratiques de charlatanisme et les abus liés à l’exploitation de la crédulité de certaines personnes, notamment dans des situations de détresse économique ou psychologique.
Ce qui devait être, croyait-il, une rencontre discrète s’est transformé en un véritable cauchemar. À Mbacké, un commerçant bien connu du marché Ocass a été victime d’un piège soigneusement orchestré, mêlant chantage sexuel, menaces et extorsion de fonds. Les faits, rapportés par Libération, ont conduit à l’arrestation d’un homme présenté comme le principal auteur de cette affaire troublante.
Le mis en cause se nomme Ibou Diaw, âgé de 32 ans, se disant chauffeur et domicilié à Touba. Il a été interpellé dans la nuit du 29 décembre par les éléments du commissariat urbain de Mbacké. Lors de son arrestation, les policiers ont découvert sur lui la somme de 1.492.000 FCFA, dont il n’a pas été en mesure de justifier l’origine. Face à ces éléments suspects, il a été placé en garde à vue pour les besoins de l’enquête.
Le lendemain, vers 11 heures, un homme identifié sous les initiales A. L. Dione, commerçant au marché Ocass et également domicilié à Touba, s’est présenté au commissariat pour déposer plainte. Il a affirmé avoir été victime d’un chantage particulièrement grave, mis en œuvre par Ibou Diaw.
Selon son témoignage, le plaignant aurait été attiré dans un appartement situé au rond-point Total de Mbacké, sous le prétexte fallacieux d’une rencontre sexuelle avec une femme. Une fois sur place, la situation aurait brusquement basculé. La victime raconte avoir été contrainte de se déshabiller sous la menace, avant d’être filmée nue à l’aide d’un téléphone portable.
Le suspect aurait ensuite exigé la somme de 2.000.000 FCFA, menaçant de diffuser la vidéo compromettante sur les réseaux sociaux et sur Internet en cas de refus. Pris de panique et redoutant un scandale public, le commerçant a contacté plusieurs de ses connaissances, qui lui ont envoyé de l’argent via des transferts mobiles, notamment Wave.
Après avoir reçu les fonds, Ibou Diaw aurait finalement autorisé la victime à se rhabiller, avant de la laisser repartir. Mais, loin de se résigner, le commerçant s’est rendu dès le lendemain à la police pour dénoncer les faits et révéler l’ampleur du piège dont il avait été victime.
Interrogé par les enquêteurs, Ibou Diaw a reconnu les faits, tout en niant l’usage d’une arme à feu. Il a soutenu n’avoir utilisé qu’une matraque électrique, tentant ainsi de minimiser la gravité des menaces exercées. Une ligne de défense qui n’a pas convaincu les enquêteurs, au regard des éléments matériels et des aveux recueillis.
Le suspect est poursuivi pour collecte illicite de données à caractère personnel et extorsion de fonds, des infractions sévèrement punies par la loi. Il doit être déféré au parquet, où la justice décidera de son sort.
Cette affaire relance le débat sur la montée inquiétante des pièges au chantage sexuel, de plus en plus signalés, et appelle à une vigilance accrue face aux rencontres arrangées et aux usages abusifs des technologies numériques.
L’affaire avait provoqué une vive indignation sur les réseaux sociaux avant de prendre une tournure judiciaire. Cheikh Ndiaye, 46 ans, se présentant comme carreleur de profession, a été interpellé par la Division spéciale de cybersécurité (DSC) puis déféré au parquet ce lundi pour des faits jugés particulièrement graves.
Selon le quotidien Libération, le mis en cause est poursuivi pour provocation à un crime ou à un délit, apologie d’un crime ou d’un délit, ainsi que pour diffusion de contenus électroniques contraires aux bonnes mœurs. Ces accusations font suite à la diffusion massive d’une vidéo dans laquelle Cheikh Ndiaye apparaît armé d’un couteau, proférant des menaces explicites et des insultes d’une extrême violence.
La séquence, largement relayée sur les plateformes sociales, avait suscité une vague de réactions indignées au sein de l’opinion publique.
Arrêté par la DSC, comme l’avait révélé Libération, Cheikh Ndiaye a été présenté aux autorités judiciaires avant-hier. Lors de son audition, il a tenté de justifier son comportement en se présentant comme membre du parti des « Nationalistes ». Il a également reconnu son appartenance à plusieurs groupes WhatsApp à forte connotation politique, notamment « Pastef Grand Dakar », « Les Nationalistes du Sénégal » et « Nationaliste Ngb ».
Le mis en cause a affirmé que la vidéo incriminée remonterait à cinq ou six mois. Selon lui, ses propos violents seraient une réaction à de supposées menaces de mort reçues après des déclarations hostiles envers des étrangers vivant au Sénégal.
Cette ligne de défense n’a cependant pas convaincu les enquêteurs. Toujours selon Libération, Cheikh Ndiaye s’est révélé incapable de fournir le moindre élément prouvant l’existence de ces menaces : aucun message, aucun appel, aucune trace numérique n’a pu étayer ses affirmations.
Face aux éléments du dossier, il a finalement reconnu le caractère excessif et inapproprié de ses propos.
Dans un revirement notable, l’homme s’est confondu en excuses, exprimant ses regrets et sollicitant la clémence de la justice. Il a également présenté ses excuses à l’opinion publique.
Si cette attitude pourrait être prise en compte dans l’appréciation judiciaire, elle ne saurait effacer la gravité des faits reprochés, ni l’impact de la vidéo diffusée, dont les conséquences continuent d’alimenter le débat sur les dérives et la responsabilité pénale des discours violents sur les réseaux sociaux.
Un maçon de la ville de Thiès, F. Ndiaye, a été condamné ce lundi par le tribunal d’instance de Thiès à trois mois de prison ferme pour vol de ferraille et tentative d’agression.
Le quartier huppé du Point E, à Dakar, a récemment été le théâtre d’une affaire aussi choquante que révélatrice des dérives du chantage numérique. Derrière cette histoire aux allures de thriller moderne se cache une trahison familiale, mêlant cupidité, manipulation et violation grave de la vie privée.
Sous le choc, la victime reçoit ensuite des appels insistants d’un individu inconnu qui accentue la pression. Les menaces sont explicites, la peur est totale. L’objectif du maître chanteur est simple : extorquer de l’argent en exploitant l’humiliation et la peur du scandale.
La plainte et le piège policier
Refusant de céder, F. K. se rend au commissariat du Point E pour déposer plainte. Les enquêteurs, conscients de la gravité de l’affaire, montent rapidement une opération. Un rendez-vous est fixé avec le suspect le 25 décembre 2025, sous contrôle policier.
Le jour convenu, l’homme se présente comme prévu. Il est interpellé sur-le-champ, mettant ainsi fin au chantage.
Le suspect est identifié : Jules François Gomis, étudiant domicilié à Wakhinane-Nimzatt.
Une révélation troublante : la cousine impliquée
Au cours de son audition, Jules François Gomis passe rapidement aux aveux. Mais l’enquête va plus loin et révèle un élément encore plus troublant : les vidéos ne proviennent pas de lui.
Les investigations démontrent que les images ont été subtilisées par la cousine de la victime, une jeune femme de 19 ans, identifiée comme Yaye S. Diallo, couturière à Petit Mbao. Profitant d’une visite familiale, elle aurait discrètement copié les vidéos depuis le téléphone de F. K. avant de les transmettre à l’étudiant, avec qui elle aurait planifié le chantage.
Cette découverte donne à l’affaire une dimension encore plus dramatique : la trahison ne vient pas d’un inconnu, mais du cercle familial lui-même.
À l’issue de leur garde à vue, les deux suspects ont été déférés devant le procureur de la République. Ils devront répondre de faits graves : chantage, atteinte à la vie privée et diffusion non consentie de contenus intimes, des infractions sévèrement réprimées par la loi sénégalaise.
Cette affaire met une nouvelle fois en lumière l’essor inquiétant du chantage aux vidéos intimes, aussi appelé sextorsion.
Elle rappelle surtout une réalité douloureuse : le danger peut parfois venir de l’intérieur, là où la confiance devrait être absolue.
Au-delà du scandale, ce dossier pose une question essentielle : comment protéger efficacement la vie privée à l’ère du numérique, même au sein du cercle familial ?
Un vaste réseau présumé de traite de jeunes Sénégalais opérant entre le Sénégal et le Ghana vient d’être mis au jour. Selon des révélations du quotidien Libération, l’affaire a éclaté à la suite des témoignages de deux jeunes originaires de Kébémer, récemment parvenus à s’échapper de leurs ravisseurs après la mort tragique de Cheikh Touré au Ghana.
Après Mamadou Seck, Amadou Fall est le second à avoir brisé le silence. Ce dernier a réussi à tromper la vigilance de ses geôliers avant de regagner le Sénégal, où il s’est immédiatement présenté au commissariat de Kébémer pour déposer plainte.
D’après leurs déclarations concordantes, les recruteurs attireraient de jeunes Sénégalais avec la promesse de projets de voyage ou d’installation au Canada. Une fois arrivées au Ghana, les victimes découvrent une toute autre réalité : elles sont sommées d’intégrer un réseau lié à la société Qnet, connue pour ses activités controversées de marketing multiniveau.
Ceux qui refusent de collaborer seraient alors victimes de représailles sévères. Les témoignages font état de séquestrations dans des maisons surveillées, de privations de nourriture et de pressions psychologiques intenses destinées à briser toute résistance.
Dans sa déposition, Amadou Fall affirme avoir été retenu contre son gré pendant près d’un mois.
« J’étais emprisonné et affamé parce que j’avais refusé d’entrer dans leur système », a-t-il confié aux enquêteurs.
Il ajoute que plusieurs autres Sénégalais seraient toujours détenus au Ghana, répartis dans différentes maisons contrôlées par le même réseau criminel. Le nombre exact de captifs reste, à ce stade, inconnu.
Les enquêteurs s’intéressent particulièrement au rôle présumé d’un certain Ibrahima Gaye, présenté comme un Sénégalais agissant en tant que recruteur. Selon les victimes, il percevrait des commissions en convainquant de jeunes candidats au départ de voyager au Ghana sur la base de projets totalement frauduleux.
Ce nom figure désormais dans les procès-verbaux transmis aux autorités compétentes, alors que l’enquête pourrait s’étendre au-delà de Kébémer et impliquer des ramifications internationales.
La mort de Cheikh Touré, survenue dans des circonstances encore troubles au Ghana, donne une dimension tragique supplémentaire à cette affaire. Elle met en lumière les dangers liés aux réseaux d’émigration clandestine déguisés en opportunités professionnelles ou migratoires.
Les autorités sénégalaises sont appelées à renforcer la sensibilisation des jeunes face à ces pratiques et à intensifier la coopération judiciaire avec le Ghana pour retrouver les personnes toujours retenues en captivité et démanteler ce réseau présumé de traite humaine.
Une sombre affaire de chantage à caractère sexuel, aux allures de thriller numérique, a récemment secoué le quartier huppé du Point E. Derrière ce dossier sensible traité par les limiers du commissariat d’arrondissement se dessine un mélange explosif de mœurs, cupidité et trahison familiale, rapporte L’Observateur.
Mariée et menant jusque-là une vie paisible, F. K. ne s’attendait nullement à voir son intimité devenir une arme de pression. Le 23 décembre, sa vie bascule lorsqu’elle reçoit sur WhatsApp une vidéo envoyée par un numéro inconnu.
À l’écran, le choc est brutal : des images intimes la montrant avec son époux, filmées dans leur chambre conjugale. Sous le coup de la stupeur, la jeune femme comprend que quelqu’un détient une partie de sa vie privée.
Le harceleur ne tarde pas à passer à l’action. Il appelle la victime et lui fait une proposition sans équivoque : une rencontre intime, sous peine de voir les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Redoutant le scandale et l’atteinte à l’honneur de sa famille, F. K. tente d’abord de gagner du temps. Mais le maître chanteur durcit le ton. D’autres vidéos suivent, agrémentées de stickers obscènes, puis vient l’exigence d’une forte somme d’argent.
Acculée, la jeune femme feint d’accepter une rencontre. Le rendez-vous est fixé au rond-point Mame Abdou Aziz, au Point E, le 25 décembre 2025.
Cette fois, F. K. décide de briser le silence. Elle porte plainte au commissariat du Point E. Sous la direction du commissaire Sow, les enquêteurs montent un dispositif discret et demandent à la victime de jouer le jeu.
Le jour du rendez-vous, tandis que la plaignante se présente sur les lieux, des policiers en civil quadrillent la zone.
Le suspect tombe dans le piège. À peine a-t-il abordé la jeune femme qu’il est maîtrisé et interpellé.
Conduit au commissariat, l’individu est identifié comme Jules François Gomis, étudiant domicilié à Wakhinane-Nimzatt. Face aux enquêteurs, il ne tarde pas à passer aux aveux.
L’exploitation de son téléphone confirme son implication dans l’envoi des vidéos et les tentatives de chantage. Mais l’enquête est loin d’être terminée.
Selon L’Observateur, Jules F. Gomis affirme avoir reçu les vidéos d’une certaine Mami Diallo, présentée comme une cousine proche de la victime.
Les policiers interpellent alors la jeune femme à Petit Mbao. Identifiée comme Yaye S. Diallo, couturière de 19 ans, elle finit par craquer lors des interrogatoires.
Elle avoue avoir profité d’une visite de F. K. au domicile familial pour transférer discrètement les vidéos intimes depuis le téléphone de sa cousine vers le sien. Quatre vidéos seront ensuite envoyées à l’étudiant afin d’organiser le chantage.
L’exploitation de son téléphone permet aux enquêteurs de découvrir une dizaine de vidéos intimes, soigneusement dissimulées dans des dossiers intitulés « Masqués » et « Supprimés récemment », confirmant la préméditation des faits.
Au terme de leur garde à vue, Jules François Gomis et Yaye S. Diallo ont été déférés devant le procureur de la République. Ils devront désormais répondre de faits graves mêlant atteinte à la vie privée, chantage et complicité.
L’affaire qui a profondément ému la banlieue dakaroise connaît un tournant judiciaire décisif. Dans le dossier de la mort tragique de Binetou Gueye, la justice sénégalaise a requalifié les faits initialement poursuivis en homicide involontaire en meurtre. Son époux, P. M. Diop, a été placé sous mandat de dépôt, tandis que plusieurs membres de son entourage ont été soumis à différentes mesures de surveillance judiciaire, selon des révélations du journal L’Observateur.
Depuis le début de l’enquête, P. M. Diop soutenait la thèse d’un tir accidentel. Une version qui n’a visiblement pas convaincu le parquet. Après un examen approfondi du dossier et des éléments matériels recueillis par les enquêteurs, la justice a estimé que les circonstances du drame ne permettaient plus de retenir l’hypothèse d’un simple accident.
Cette requalification en meurtre marque un durcissement notable de la position judiciaire et ouvre la voie à des poursuites criminelles beaucoup plus lourdes pour le mari de la victime.
Les faits remontent à la nuit du samedi 20 au dimanche 21 décembre 2025, à Keur Mbaye Fall. Une détonation fend le silence du quartier. Binetou Gueye est atteinte par une balle tirée à bout portant par son époux. Grièvement blessée, elle succombe peu après.
Alors que le mari et sa famille évoquent rapidement un accident domestique, les parents de la victime expriment, dès les premières heures, de sérieux doutes. Ces suspicions, renforcées par les investigations menées sur le terrain, pèseront lourd dans la suite de la procédure.
L’enquête est confiée à la brigade de gendarmerie de la Zone franche industrielle (ZFI). P. M. Diop est interpellé et placé en garde à vue. Rapidement, les investigations s’élargissent à son entourage proche : ses deux parents, un ami présent sur la terrasse peu avant le drame, ainsi qu’une femme présentée comme sa supposée « copine ».
Les enquêteurs soupçonnent une entrave au travail de la justice, notamment à travers la dissimulation volontaire de pièces à conviction. Le téléphone portable de P. M. Diop, jugé crucial pour l’enquête, aurait été soustrait afin d’orienter les investigations et de minimiser la responsabilité pénale du principal suspect.
À l’issue de plusieurs jours de garde à vue et de présentations répétées au parquet, les décisions judiciaires tombent :
-
P. M. Diop est placé sous mandat de dépôt et poursuivi pour meurtre ;
-
Ses deux parents ainsi que sa supposée « copine » sont placés sous contrôle judiciaire ;
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Son ami écope d’un bracelet électronique.
Avec cette requalification des faits, l’affaire Binetou Gueye entre désormais dans une phase judiciaire plus lourde, qui pourrait déboucher sur un procès criminel. Dans le quartier comme au sein de l’opinion publique, l’émotion reste vive, tandis que la justice poursuit son travail pour faire toute la lumière sur les circonstances exactes de ce drame conjugal.
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