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Société sur Thies info
Un drame s’est produit ce mercredi au quartier Ndargou Ndaw, dans la ville de Rufisque. Selon des sources policières, une dispute pour une fille a dégénéré en tragédie.
Daddy Mahieu Camara, âgé de 26 ans, aurait poignardé à mort son camarade Ameth Ndiaye lors d’une bagarre sur le terrain de football du quartier. Après l’acte, le suspect a pris la fuite.
Les forces de l’ordre du commissariat central de Rufisque ont ouvert une enquête pour retrouver le meurtrier et déterminer les circonstances exactes de ce drame. La police invite toute personne ayant des informations à se manifester afin de faciliter l’arrestation de l’auteur.
Ce drame rappelle l’importance des mesures de prévention contre les violences liées aux conflits personnels dans les quartiers.
À suivre : L’enquête est en cours, et les autorités locales ont promis de communiquer les avancées dès que possible.
Au Sénégal, le décès d’une jeune femme dans la maison de sa belle-famille, retrouvée morte la semaine dernière au bout de 24h en présence de son enfant d’un an et demi, suscite une vague d’indignation et relance le débat sur la banalisation des violences domestiques. Onze associations féministes ont adressé un courrier au procureur de la République pour demander que la lumière soit faite sur ce drame.
Au Sénégal, Nogaye Thiam, 23 ans, a été retrouvée morte dans sa chambre, au domicile de sa belle-famille à Thiès, la semaine dernière. C’est grâce à une vidéo postée par la sœur de la défunte que l’affaire est devenue publique. Depuis vendredi 21 novembre, 11 associations féministes ont saisi le procureur pour demander l’ouverture d’une enquête judiciaire et que les responsabilités soient établies.
« Comment ça se fait qu'une femme qui vit dans une maison avec ses belles-mères, avec ses belles-sœurs, soit décédée et que l'on ne découvre ça que 24 heures après ? » s'insurge Aminata Libain Mbengue, membre du collectif des féministes au Sénégal. « Comment cela est possible dans un pays où on nous dit qu'on vit en communauté, où on nous dit qu'on s'occupe des femmes, où on s'occupe des enfants ? »
Maladie cardiaque
Lundi 24 novembre, une autopsie a révélé que la jeune femme serait morte d’une maladie cardiaque. Mais pour Aminata Mbengue, le cas de Nogaye Thiam brise la loi du silence. « C'est beaucoup de témoignages de jeunes femmes sur les réseaux sociaux qui disent vivre dans un huis clos familial, avec des belles-mères maltraitantes, avec des maris irresponsables, avec une charge de travail incroyable… Ces femmes s'occupent de tout, du matin au soir ».
Les associations féministes appellent – une nouvelle fois – à renforcer les mécanismes de protection, mais aussi à réviser le Code de la famille qui fait de l’homme le seul chef de famille et participe ainsi à éclipser les femmes.
Un homme porté disparu depuis trois jours a été découvert sans vie ce mercredi, à proximité de la station-service « Touba Oil » à Mbacké.
Selon les premières informations, le corps a été repéré par des riverains qui ont immédiatement alerté la famille de la victime. Celle-ci a confirmé l’identité du défunt dès son arrivée sur les lieux, visiblement sous le choc.
Pour l’heure, les circonstances du décès demeurent inconnues. Aucune piste n’est écartée, qu’il s’agisse d’un acte criminel ou d’un accident.
Les éléments de la police se sont rapidement déployés pour effectuer les premiers relevés et ouvrir une enquête. L’objectif : déterminer l’origine du drame et faire toute la lumière sur cette disparition tragique.
Affaire à suivre…
Le décès de Mouhamed Ndiaye à Richard-Toll n’est finalement pas lié à une agression, contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps. L’affaire a connu un tournant majeur après l’aveu de son ami, A. D. Mbodji, témoin du drame. Ce dernier a reconnu devant les gendarmes avoir inventé toute l’histoire pour dissimuler un accident de moto.
Selon notre source, Mbodji a d’abord insisté avec la version d’une agression mortelle. Mais face aux questions précises des enquêteurs, il a fini par craquer :
« Je suis désolé, j’ai menti, j’ai tout inventé », aurait-il confessé en pleurs.
Une moto sans papiers et un conducteur inexpérimenté
Les faits remontent au jour où les deux amis ont quitté Richard-Toll pour Dagana, à bord d’une moto ne disposant d’aucun document administratif valide. Plus grave encore : A. D. Mbodji a confié la conduite de l’engin à Mouhamed Ndiaye, qui ne maîtrisait pas bien la moto.
Arrivés au niveau d’un virage dangereux, le conducteur perd le contrôle. L’engin fait une sortie de route. Le choc est violent :
Mouhamed Ndiaye perd la vie sur le coup.
Pris de panique et redoutant les poursuites judiciaires, Mbodji décide alors de monter de toutes pièces un scénario d’agression pour s’exonérer de toute responsabilité.
Une lourde responsabilité pénale
Les aveux ayant établi la vérité, le mis en cause sera déféré au parquet de Saint-Louis pour :
Mise en danger de la vie d’autrui
Remise d’une moto à une personne non titulaire du permis
Homicide involontaire
Un scandale d’une noirceur absolue secoue la sous-région. Un réseau criminel opérant en Sierra Leone vendrait… des parties de corps humains pour des rituels de pouvoir et d’enrichissement. Et au cœur de l’ignominie, des « très gros politiciens sénégalais » seraient des clients réguliers.
C’est la BBC qui a mis au jour l’affaire à travers une enquête d’infiltration glaçante.
La “maison des secrets” : où le sang achète le pouvoir
L’herboriste en chef, connu sous le nom de Kanu, reçoit des personnalités politiques dans sa demeure lors des périodes électorales. Sans jamais baisser les yeux, il déclare aux enquêteurs infiltrés :
« J’ai travaillé avec de très très gros politiciens, notamment au Sénégal… Ici, c’est la maison des secrets. »
Son commerce ? Répondre aux commandes de sacrifices humains :
bras, jambes, organes, têtes…
Chaque partie du corps a son prix macabre.
Un bras, une jambe… et 1,7 milliard F CFA
Lorsque l’agent de la BBC, se faisant passer pour un intermédiaire politique, demande le bras droit et la jambe droite d’une femme pour “réussir en politique”, Kanu ne s’indigne pas. Il passe commande.
Montant fixé :
70 millions de leones
≈ 1,7 milliard de francs CFA
Comme une vulgaire transaction commerciale.
La preuve de l’horreur : une tête humaine exposée
Pour prouver « le sérieux de l’entreprise », Kanu exhibe une tête de femme, destinée à un autre commanditaire :
« Quelqu’un vient la récupérer aujourd’hui. »
Les images, diffusées par la BBC, sont insoutenables.
Des victimes mutilées, des corps profanés
Les enquêteurs mentionnent le cas d’un jeune vendeur de marché, retrouvé sans tête et sans organes.
Son corps, comme tant d’autres, servirait à alimenter ces rituels de pouvoir censés offrir :
-
influence politique
-
fortune rapide
-
protection mystique
Une industrie du crime qui croît dans l’ombre.
Silence politique au Sénégal… panique dans les coulisses ?
Aucun nom n’a pour l’instant été révélé.
Mais la phrase de Kanu résonne comme un séisme :
« Pendant les élections, cet endroit est plein de monde… »
Dans les milieux politiques sénégalais, certains tremblent déjà.
Qui parmi eux finance ces sacrifices ?
Qui laisse démembrer des innocents pour un siège, une promotion, un pouvoir éphémère ?
Une affaire qui n’en est qu’à son début
La police sierra-léonaise a lancé des opérations.
Des arrestations ont eu lieu.
Mais le cœur du réseau n’a pas encore été démantelé.
Cette enquête ne fait que dévoiler ce que beaucoup redoutaient :
pour certains, la vie humaine n’est plus qu’une monnaie d’échange politique.
Une question s’impose
Jusqu’où des dirigeants sont-ils prêts à aller pour gagner… au prix du sang ?
Les suspects, liés au réseau de délinquants appelé « Bronson », auraient voulu récupérer une moto supposément volée.
Les faits remontent au mardi 25 novembre 2025, vers 16 heures. Deux frères, accompagnés de leur sœur, se sont présentés en urgence au poste de police, le visage marqué de blessures visibles. Ils ont expliqué aux enquêteurs qu’un individu, épaulé par une dizaine de complices, s’était présenté à leur domicile situé aux HLM Patte d’Oie, le 23 novembre.
Les assaillants auraient alors enlevé l’aîné avant de le conduire au quartier Darou, dans un repaire de délinquants connu sous le nom de « Bronson ». Là, ils lui auraient réclamé une moto prétendument volée, le soupçonnant d’en être responsable. S’en est suivi un long calvaire : coups répétés, blessures au visage infligées avec des objets contondants, et inhalation forcée de gaz asphyxiant.
Le cadet, qui avait tenté de secourir son frère, a également été roué de coups, notamment à la tête, avant que la bande ne finisse par relâcher les deux victimes.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Le lendemain, le même groupe est revenu menacer de mort les deux frères s’ils ne restituaient pas la moto dans les plus brefs délais. Face à la gravité de ces menaces, la famille a finalement décidé de solliciter l’intervention de la police.
Les investigations ont rapidement conduit à l’arrestation de quatre membres du gang, dont le cerveau présumé. Durant leur audition, ils ont reconnu les violences, mais nié toute intention homicide, soutenant qu’ils ne faisaient que chercher à récupérer leur moto.
Les suspects ont été placés en garde à vue. L’enquête se poursuit pour identifier et interpeller les autres membres en fuite.
Ce samedi 22 novembre 2025, vers 7 heures du matin, Ousseynou Kâ, berger de 38 ans et père de famille, a été retrouvé pendu à un arbre près du village de Ngollo, dans la commune de Kamb, département de Linguère. C’est son oncle qui a fait la macabre découverte
Alertés, les gendarmes de la brigade de Yang-Yang, accompagnés de l’infirmier en chef du poste de santé local, se sont immédiatement rendus sur place pour les constatations d’usage. La dépouille a ensuite été transférée à la morgue du centre de santé de Dahra par les sapeurs-pompiers.
Selon nos sources, la victime souffrait de troubles mentaux depuis un certain temps. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce suicide.
Ousseynou Kâ, berger de 38 ans, a été retrouvé pendu près de Ngollo. La gendarmerie enquête sur ce drame.
À Thiès, dans le quartier de Keur Dago, Enda Jeunesse Action (EJA), dirigée par Josephine Diatta, en collaboration avec l’AEMO (Action Éducative en Milieu Ouvert) et la C.A.P.P.E. (Coalition des Acteurs pour la Protection de l’Enfant), représentée par Mame Cheikh Diouf, a permis le retour de 59 enfants de la rue à leurs familles. Cette initiative est soutenue par l’Inspecteur Cheikhou Diop, Inspecteur de la protection sociale et judiciaire à la Cour d’appel de Thiès, pour assurer la conformité légale et la protection des droits des enfants.
Selon Josephine Diatta, responsable de l’équipe EJA :
« Le retour des 59 enfants à leurs familles est une grande réussite pour notre équipe. Cela montre que lorsque les acteurs locaux, les familles et les autorités travaillent ensemble, il est possible de protéger durablement les enfants vulnérables. »
Chaque enfant bénéficie désormais d’un accompagnement social, éducatif et psychologique, tandis que les familles reçoivent un soutien pour créer un cadre de vie sûr et stable.
Les équipes d’EJA, de l’AEMO et de la C.A.P.E. poursuivent plusieurs actions pour protéger les enfants :
Protection contre les violences et l’exploitation,
Soutien scolaire et réinsertion éducative,
Programmes spécifiques pour les jeunes filles,
Sensibilisation et mobilisation communautaire.
Ces interventions permettent de prévenir de nouvelles situations de risque et de renforcer la sécurité et le bien-être des enfants.
Comme le rappelle l’Inspecteur Cheikhou Diop :
« On a constaté qu’il reste toujours des défis tels que les enfants de la rue. Le Code de l’Enfant est parfois incompatible avec le Code de la Famille concernant le mariage. Malgré cela, il y a des efforts, comme l’enrôlement volontaire à l’armée entre 18 et 20 ans. La volonté de l’État est là, mais on peut mieux faire. »
Cette déclaration souligne la nécessité de renforcer les dispositifs de protection, d’harmoniser les textes législatifs et d’impliquer davantage les communautés.
Pour Mame Cheikh Diouf, membre de la C.A.P.E. :
« L’objectif est clair : chaque enfant doit grandir en sécurité, dans la dignité et avec des opportunités pour l’avenir. »
Cette déclaration reflète la volonté commune des associations, de la justice et des communautés locales de créer un environnement protecteur et épanouissant pour tous les enfants du quartier.
Le retour des 59 enfants à leurs familles illustre l’efficacité d’une protection intégrée des enfants, où associations, justice et communautés travaillent main dans la main. Ces initiatives montrent qu’avec coordination, suivi et engagement communautaire, il est possible de garantir la sécurité, la dignité et l’épanouissement de chaque enfant.
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