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Société sur Thies info
La mort de Nogaye Thiam continue de bouleverser Thiès. Cette jeune femme de 25 ans, née en 2000, a été retrouvée sans vie dans la maison de sa belle-famille, son bébé d’un an blotti contre son corps, après des heures d’indifférence totale.
Son père, Samba Thiam alias Thiam Radiateur, livre un récit glaçant, mêlant tensions familiales, humiliations et négligence, sans pour autant accuser qui que ce soit de meurtre.
Avant d’épouser Elimane Diao, Nogaye était fiancée à Lamine, le frère aîné. Mais la grand-mère de celui-ci s’était opposée à l’union, et Lamine avait finalement épousé une autre femme.
Peu après, c’est Elimane qui demande la main de Nogaye.
« J’ai refusé catégoriquement, mais on m’a forcé la main », raconte Samba Thiam.
Un mariage sous pression familiale, compliqué par les liens de parenté très étroits : le père d’Elimane est l’oncle maternel de Nogaye, et sa mère, sa cousine.
Dès les débuts, le père de Nogaye avait prévenu sa fille :
« Si tu ne fais pas attention, tu ne connaîtras pas le bonheur dans cette maison. »
À peine entrée dans sa belle-famille, Nogaye se retrouve dans un engrenage toxique. Lamine, son ancien fiancé, recommence à lui envoyer des messages.
Son mari les découvre, et les tensions entre les deux frères explosent. L’ambiance devient invivable.
Nogaye enchaîne les éprouvantes épreuves :
trois fausses couches,
un mari qui perd son emploi à Sabodala,
un retour forcé dans la maison conjugale,
une belle-mère envahissante et volontairement hostile.
« Elle vivait le cauchemar », répète son père.
La jeune femme lui confie régulièrement son désir de fuir ce mariage, mais ses tentatives sont systématiquement bloquées… parfois même par sa propre mère, qui l’oblige à retourner chez ses beaux-parents.
Lorsqu’elle tombe enceinte, Nogaye retourne vivre chez ses parents.
Mais à sept mois de grossesse, sa belle-mère supplie pour qu’elle revienne.
Après l’accouchement, l’indignation du père atteint un sommet :
ni le mari, ni les beaux-parents n’informent la famille de Nogaye de la naissance.
Même le jour du baptême, personne ne se présente de leur côté.
Samba Thiam veut alors mettre fin au mariage. Sa femme s’y oppose encore une fois.
Jeudi soir, Nogaye envoie un dernier message à son père. Rien d’alarmant.
Le lendemain, un incident banal dégénère : une histoire de tour de cuisine, retiré brusquement à Nogaye au profit de sa belle-sœur.
Nogaye se retire dans sa chambre avec sa fille… et personne ne la reverra vivante.
Pendant deux jours, la famille vit normalement, mange devant sa porte, l’ignore volontairement.
La belle-mère déclare :
« Mangez et laissez-la. Elle est impolie. »
Même sa tante, Fatou Thiam, présente dans la maison, ne s’inquiète pas.
C’est Moussa Diao, un autre frère d’Elimane, qui finit par remarquer leur absence en venant déposer des cadeaux pour les enfants.
Devant le mutisme de la famille, il alerte Elimane, qui ordonne de forcer la porte.
Selon Samba Thiam, la belle-mère, imperturbable, ne s’inquiète que d’une chose :
« Ne cassez pas la porte. »
Derrière, la scène est insoutenable :
Nogaye est morte depuis deux jours. Son bébé, affamé, grelottant, est recroquevillé contre elle.
C’est l’oncle de Nogaye également son beau-père qui informe Samba Thiam.
« Il m’a dit d’avoir foi en Dieu, sans aucune compassion », déplore-t-il.
À l’hôpital, le père apprend un choc supplémentaire :
Nogaye était enceinte au moment de son décès.
Pour autant, Samba Thiam refuse de parler de meurtre.
« On ne peut pas dire qu’ils l’ont tuée. Mais leur négligence… oui. »
Il rappelle que plusieurs membres de la famille souffrent d’une pathologie cardiaque :
six de ses fils sont morts de la même maladie.
Pour lui, c’est peut-être la combinaison du stress extrême et du problème cardiaque qui a emporté sa fille.
Le bébé est toujours chez la belle-famille.
Samba Thiam affirme qu’il attendra le huitième jour avant de décider de la suite.
Il ne compte pas porter plainte :
« Je veux seulement que la vérité soit dite, et que l’affaire soit enterrée. »
La ville de Kolda est en deuil. Boris Diedhiou, jeune employé de la Caritas locale, porté disparu depuis plusieurs jours, a été retrouvé mort ce vendredi 21 novembre dans une zone forestière, selon des sources contactées par le correspondant local de PressAfrik. La découverte, macabre, met fin à des recherches intenses menées depuis le début de la semaine.
Selon un proche, Boris avait quitté son domicile en début de semaine pour une partie de chasse, un loisir qu’il pratiquait régulièrement. Mais après son départ, plus aucun signe de vie. Inquiet, son entourage avait alerté les Forces de défense et de sécurité (FDS), qui ont déployé des équipes dans plusieurs zones boisées de la région.
Malgré les moyens engagés, aucune trace du jeune homme n’avait été retrouvée jusqu’à ce vendredi.
La dépouille de Boris a finalement été localisée au cœur d’une zone forestière dense. Le corps, en état de putréfaction avancée, gisait à proximité de son fusil de chasse. Face à la décomposition, les autorités sanitaires ont ordonné une inhumation immédiate sur les lieux, conformément aux protocoles en vigueur pour ce type de situation.
La nouvelle a bouleversé Kolda, où Boris était décrit comme « un jeune engagé, humble et dévoué », tant par ses collègues de la Caritas que par les habitants. La douleur est immense au sein de la communauté chrétienne, très soudée dans la région.
Les autorités ont ouvert une enquête afin d’élucider les circonstances exactes de ce décès : accident de chasse ? Malaise ? Chute ? Ou autre piste ? Les premiers éléments ne permettent pour l’instant aucune conclusion.
En attendant, famille, amis et collègues pleurent la perte tragique d’un jeune homme apprécié de tous, dont la disparition laisse un vide profond à Kolda.
Le décès de Nogaye Thiam, jeune mère retrouvée morte dans sa chambre, continue de bouleverser l’opinion publique.
Alors que des voisins et internautes accusent la famille paternelle de négligence, le mari et le beau-père de la victime rejettent toutes les accusations.
Les premiers éléments indiquent que le drame n’a pas duré longtemps avant la découverte, et que le bébé, vivant mais extrêmement affaibli, a été secouru à temps.
Le mari précise également : “Elle n’était pas enceinte et notre bébé vient d’avoir un an ce 21 novembre”, confirmant l’âge précis du nourrisson.
Selon les proches, Nogaye Thiam souffrait d’une maladie non précisée.
Affaiblie, elle était isolée avec son bébé, son mari étant en déplacement professionnel à Sabadola.
Pendant quelques heures, le voisinage remarque un silence inhabituel autour de la maison.
Selon le beau-père, lorsqu’ils ont trouvé le bébé, il n’avait pas pleuré:
« Le bébé n’a même pas pleuré », a-t-il expliqué.
Heureusement, le drame n’a pas duré longtemps avant la découverte, et le nourrisson a pu être pris en charge rapidement.
À l’arrivée des sapeurs-pompiers et de la police, le corps de Nogaye Thiam était retrouvé.
Le drame avait été découvert assez rapidement pour permettre la survie du bébé.
Certains affirment que la belle-famille n’a pas suivi l’état de Nogaye :
« Même quand elle disait qu’elle ne se sentait pas bien, personne ne venait l’aider » , témoigne Adja make up., soeur de la victime.
Ces propos ont été largement relayés sur les réseaux sociaux.
Le mari, en déplacement à Sabadola, insiste sur le fait qu’il n’a jamais été informé de la gravité de l’état de sa femme :
« Je nie toutes ces accusations. On s’est parlé le vendredi, le 24 novembre. On échangeait régulièrement.
Je n’ai jamais été informé que son état s’était aggravé. Elle n’était pas enceinte et notre bébé vient d’avoir un an ce 21 novembre. »
Le beau-père précise : « Nous n’avons jamais abandonné Nogaye. Nous l’aimions et nous l’avons toujours soutenue. »
Selon son mari, Nogaye Thiam est la sixième personne décédée dans sa famille, ajoutant un poids dramatique supplémentaire à ce décès.
La sœur de Nogaye, Adja, influenceuse très suivie, a exprimé sa douleur et sa colère sur les réseaux sociaux.
Les abonnés réclament que toute la lumière soit faite sur ce drame.
Cette affaire met en lumière l’isolement extrême des jeunes mères, la fragilité du suivi familial, et pose une question bouleversante :
Comment Nogaye Thiam, mariée depuis 2021, a-t-elle pu mourir seule, pendant que son bébé, silencieux et affaibli, l’accompagnait dans ses derniers instants, avant que le drame ne soit rapidement découvert ?
Le fait que son bébé venait juste d’avoir un an rend la situation encore plus tragique.
Cheikh Sylla, commerçant à Touba, vient de recouvrer la liberté après plus de deux ans de détention préventive. Il avait été arrêté pour avoir abattu un cambrioleur qui défonçait son magasin dans la nuit du 3 au 4 mars 2023.
Selon les faits, les éléments du commissariat spécial de Touba avaient été alertés par les sapeurs-pompiers qui avaient découvert un corps sans vie dans le magasin de M. Sylla. La victime, un jeune homme d’une vingtaine d’années, présentait une grave plaie à la poitrine causée par une balle de fusil.
Interrogé par la police, Cheikh Sylla a expliqué avoir agi pour protéger son commerce. Vers 3 heures du matin, des malfaiteurs avaient défoncé la porte de son magasin. Il a alors ouvert le feu, touchant l’un des intrus à la poitrine. Ayant constaté le drame, il a alerté les sapeurs-pompiers avant de prendre la fuite, faute d’autorisation de port d’arme. Le fusil utilisé appartenait à son défunt père.
Devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Diourbel, Cheikh Sylla a maintenu sa version des faits. L’avocat général avait requis 20 ans de réclusion criminelle, tandis que l’avocat de la défense, Maître Serigne Diongue, plaidait la légitime défense : « Mon client n’a rien fait de mal, si ce n’est d’avoir courageusement défendu son bien au péril de sa vie. Nous sommes bien dans un cas de légitime défense », a-t-il insisté, dénonçant la riposte disproportionnée du procureur.
Au terme du procès, la chambre criminelle a requalifié les charges initiales. Le meurtre a été transformé en « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et la détention illégale d’arme de 5ᵉ catégorie a également été retenue. Pour ces faits, C. Sylla a été condamné à deux ans de réclusion criminelle, peine déjà purgée en détention préventive, ce qui lui a permis de retrouver sa liberté.
Le Tribunal correctionnel de Dakar a condamné hier, jeudi 20 novembre 2025, le chauffeur Malèye Ciss à dix (10) ans d’emprisonnement ferme. L’homme, déjà gracié après avoir purgé une peine de cinq ans pour des faits similaires, était poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné des Incapacités Temporaires de Travail (ITT) de 30 et 3 jours au préjudice de son beau-père, Omar Ndao, et d’un autre membre de la famille.
Divorcé et en conflit avec son ex-épouse au sujet de la garde de leurs deux enfants, Malèye Ciss a justifié son geste par le « refus » de celle-ci de lui confier les enfants. Dans la nuit, vers une heure du matin, courant 2025, armé d’un couteau et d’une machette, il s’est rendu au domicile de son beau-père pour tenter de récupérer les enfants par la force.
À son arrivée, il a frappé Makhoudia Mbengue, la première personne rencontrée, avec une machette, la blessant gravement aux côtes et à la main droite. Son beau-père, Omar Ndao, a également été frappé, recevant des coups entraînant une ITT de trois jours. Makhoudia Mbengue, plombier et électricien, s’est présenté à la barre avec une main droite « presque handicapée », expliquant : « Je ne peux plus tenir une clé avec ma main gauche… je me débrouille, mais je ne peux plus faire ce que je faisais auparavant », malgré six mois de rééducation.
Lors de l’audience, le prévenu a reconnu avoir porté les coups et s’être muni d’armes avant de se rendre chez sa belle-famille. Il a nié toute consommation de substances, affirmant agir uniquement pour récupérer ses enfants. Le juge a toutefois souligné qu’« une personne lucide n’agirait pas de la sorte ».
Le Procureur de la République a rappelé à Malèye Ciss que la grâce dont il avait bénéficié après sa première condamnation n’était pas un permis pour recommencer. Il a également insisté sur le fait que les blessures infligées à Makhoudia Mbengue compromettaient durablement son avenir professionnel. Le parquet avait requis huit ans de prison ferme, qualifiant la blessure de « infirmité permanente ».
Le tribunal a finalement prononcé une peine de dix ans d’emprisonnement ferme, dépassant les réquisitions, et a réservé la décision concernant les intérêts civils des victimes.
Un dossier explosif secoue la société Batiprom et met en cause l’un de ses anciens gestionnaires. M. Touré, enseignant-chercheur et gestionnaire de la structure, a été discrètement interpellé par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (DIC) avant d’être déféré au Pool judiciaire financier (PJF). Selon des informations rapportées par Libération et reprises par Seneweb, il est soupçonné d’avoir commis un abus de confiance portant sur 1,2 milliard de francs CFA.
Tout est parti d’une plainte du directeur général de Batiprom. En 2022, la société avait signé un contrat de sous-traitance avec Naffco, une entreprise basée à Dubaï et attributaire d’un marché majeur du ministère de l’Intérieur. Ce marché portait sur :
la fourniture de véhicules spécialisés,
la construction de hangars destinés à la Brigade nationale des sapeurs-pompiers.
Dans ce cadre, M. Touré avait été désigné comme interface direct entre Batiprom et Naffco. Il bénéficiait d’une large marge de manœuvre, appuyée par une procuration bancaire lui permettant d’assurer la gestion opérationnelle de l’entreprise.
Au cours de son audition, l’enseignant-chercheur a reconnu avoir utilisé les fonds mis en cause, tout en assurant qu’ils avaient servi à exécuter le contrat de sous-traitance. Cependant, les enquêteurs ont estimé que rien ne prouve ces affirmations.
À l’inverse, leurs investigations ont mis en lumière :
plusieurs virements effectués depuis le compte de Batiprom vers le compte personnel de M. Touré,
l’absence de justificatifs permettant de démontrer une utilisation professionnelle des sommes en question,
des incohérences entre les montants débités et les dépenses déclarées.
Ces éléments ont renforcé les soupçons d’un détournement de grande ampleur.
Après un retour de parquet, M. Touré a été conduit devant le Pool judiciaire financier, en charge des dossiers sensibles et des infractions économiques. Selon Libération, il devrait être fixé sur son sort ce vendredi, une étape décisive qui déterminera l’ouverture éventuelle d’une instruction ou la mise sous mandat de dépôt.
Ce dossier, mêlant un important marché public, une société sous-traitante et un enseignant-chercheur placé en position de confiance, pourrait avoir des répercussions profondes au sein de Batiprom et dans le secteur des marchés publics.
Accusés d’association de malfaiteurs et de trafic intérieur de chanvre indien, le cultivateur Moussa Ba et le mécanicien Pape Sarr ont comparu devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Mbour. Les deux hommes risquent lourd, alors que le parquet a requis 10 ans de réclusion criminelle.
Dans la nuit du 9 au 10 novembre 2022, des éléments de la gendarmerie de Joal-Fadiouth, en mission de contrôle, interceptent un taxi suspect. À bord se trouve Pape Sarr, mécanicien, qui transporte 10 kg de chanvre indien soigneusement emballés.
Interrogé sur place, Pape Sarr reconnaît immédiatement la possession de la marchandise et affirme l’avoir achetée auprès du cultivateur Moussa Ba pour 600 000 F CFA. Munis de ces informations, les gendarmes se rendent directement au domicile du cultivateur.
La perquisition permet de découvrir 3 kg supplémentaires de chanvre indien, ainsi que 845 000 F CFA en liquide et une moto.
Face aux juges, Pape Sarr tente de minimiser son rôle, assurant qu’il n’était qu’un simple livreur. Selon lui, le sachet qu’il transportait devait être remis à un certain Moussa Mbaye, un nom qui n’apparaît nulle part dans les procès-verbaux d’enquête, comme le souligne le procureur.
De son côté, Moussa Ba opte pour la dénégation totale :
il nie connaître Pape Sarr,
rejette toute participation au trafic,
et invoque des troubles psychiques accompagnés d’hallucinations.
Il admet néanmoins la présence de l’argent et de la moto retrouvés chez lui.
Pour le ministère public, il ne fait aucun doute que les éléments du dossier démontrent une activité de trafic organisée, même si les accusés tentent de se désolidariser.
Le procureur requiert 10 ans de réclusion criminelle contre les deux hommes.
Les avocats de la défense, Maître Aboubacry Deh et Maître Oumar Sène, plaident la requalification des faits :
détention en vue de l’offre,
usage personnel,
absence d’un réseau structuré.
Maître Sène insiste notamment sur un rapport médical attestant la consommation régulière de drogue par Moussa Ba, cause de ses hallucinations, et estime que son client ne devrait être poursuivi que pour la drogue trouvée chez lui.
Après les plaidoiries, le tribunal a mis l’affaire en délibéré au 19 décembre prochain, date à laquelle sera rendu le verdict qui déterminera le sort de Moussa Ba et Pape Sarr.
La Casamance est secouée par une série de viols attribuées à un jeune homme identifié comme Ange Romain, accusé d’avoir profité de la peur et de la superstition pour commettre ses actes. Selon les témoignages recueillis, l’individu se serait présenté à ses victimes comme étant protégé par un fétiche, ce qui lui permettait de les intimider et de les contraindre.
Les faits se seraient déroulés sur plusieurs mois, dans différents quartiers, où des jeunes filles auraient été victimes d’abus sous la menace de ce fétiche.
Plus grave encore, l’homme est soupçonné d’avoir enceinté deux sœurs et deux cousines au sein de la même famille, provoquant un traumatisme profond et l’indignation des proches. Les victimes, paralysées par la peur des malédictions, ont longtemps hésité à dénoncer ses actes.
La police, alertée après plusieurs plaintes et avec l’aide de témoins, a finalement procédé à l’interpellation de l’accusé. L’enquête se poursuit pour recenser toutes les victimes et déterminer l’ampleur exacte des agressions.
Les parents ont indiqué que la peur de la malédiction invoquée par l'homme avait longtemps empêché les victimes de dénoncer ses actes.
L’enquête est en cours pour déterminer l’étendue exacte des faits et identifier toutes les victimes potentielles.
Les forces de l’ordre appellent toute personne ayant été confrontée à l’individu à se manifester afin de compléter le dossier.
Cette affaire met en lumière la vulnérabilité des jeunes filles face aux manipulations liées à la superstition et aux pratiques occultes, et suscite un débat sur la nécessité de renforcer la sensibilisation et la protection des populations dans la région.
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