|
Le Portail de Thiès sur le Web
|
|
Thiès-Ville : Réunion de rentrée 2025-2026 sous le signe de la performance
27/10/2025
Réussir ensemble avec Habib Vitin
24/10/2025
Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
18/10/2025
L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
15/10/2025
Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
14/10/2025
L’UCAD de Dakar accueille la 22e session du Concours d’Agrégation du CAMES, réunissant 215 candidats venus de 12 pays pour promouvoir l’excellence académique africaine.
L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) a lancé, le lundi 10 novembre 2025, la 22e édition du Concours d’Agrégation des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion organisé par le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES). Cette cérémonie, dirigée par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Pr Daouda Ngom, illustre une fois de plus l’importance du Sénégal dans le rayonnement académique du continent.
Pour la troisième fois, la capitale sénégalaise accueille cet événement d’envergure, après les éditions de 1987 et de 1999. Le recteur de l’UCAD, Pr Alioune Badara Kandji, a salué ce moment comme un symbole fort de la coopération africaine autour de l’enseignement supérieur :
« Ce concours traduit notre volonté collective de promouvoir un savoir de qualité et de soutenir la recherche scientifique, pilier du développement de nos sociétés. »
L’édition 2025, tenue du 18 au 28 octobre, a rassemblé 215 participants provenant de 12 pays de l’espace CAMES. Pour la première fois, la phase préliminaire dédiée à l’évaluation des dossiers et travaux s’est déroulée entièrement en ligne, témoignant de l’évolution numérique des institutions africaines.
À l’issue de cette première étape, 113 candidats ont été retenus comme sous-admissibles, représentant un taux de 52,56 %. Ces résultats mettent en évidence la rigueur du concours et la qualité croissante de la recherche dans les universités francophones du continent.
Au-delà de la compétition, cette rencontre réaffirme une ambition commune : placer la connaissance et la recherche au cœur du développement durable africain. En abritant cet événement, le Sénégal renforce sa position de moteur régional dans la formation et la production scientifique.
L’ingénieur sénégalais Aliou Diop a reçu le Prix spécial du président de la République pour son robot d’interception et de soutien au combat, lors de la Journée des Forces armées.
Le Prix spécial du président de la République, consacré à l’innovation technologique et industrielle à vocation militaire et paramilitaire, a été attribué ce lundi à Aliou Diop, ingénieur sénégalais et expert en robotique. Il a été récompensé pour la conception d’un robot d’interception et de soutien au combat, une innovation majeure présentée lors de la Journée des Forces armées, célébrée cette année sur le thème « Les Forces armées, partenaires des Jeux olympiques de la jeunesse, Dakar 2026 ».
Polytechnicien, spécialisé en systèmes d’armement et intelligence artificielle, Aliou Diop a conçu un robot capable d’intégrer différents modules d’intervention, notamment pour les opérations de déminage dans le sud du pays. Cet équipement peut également être adapté à un usage civil, grâce à la possibilité de remplacer le module de combat par des dispositifs d’épandage ou d’urbanisation.
Le deuxième prix est revenu au commandant El Hadji Ndiaye, ingénieur en génie électrique, pour son robot d’intervention sur engins explosifs, un dispositif reconnu pour sa robustesse et sa conception réalisée à 80 % avec des composants locaux, facilitant ainsi la maintenance.
Le troisième prix a été décerné à Mouhamadou Gueye, concepteur de drones, pour son projet d’aéronefs sans pilote intégrant une capacité locale de fabrication de câblages électroniques. Ce programme prévoit la création de cent emplois directs et plus de deux cents indirects, contribuant ainsi à l’essor d’une filière technologique nationale.
Institué le 8 novembre 2024 par le chef de l’État Bassirou Diomaye Faye, ce prix vise à stimuler la recherche et la valorisation de solutions technologiques dans le domaine de la défense. Les trois lauréats ont été sélectionnés parmi 53 candidatures, sur la base de critères liés à l’innovation, l’impact stratégique, la viabilité économique et la contribution à l’écosystème local.
La Journée des Forces armées s’est tenue à l’État-major de l’Armée au camp Dial Diop, sous la présidence du chef de l’État, et a été également célébrée dans les zones militaires régionales, sous la supervision des gouverneurs.
La Marine nationale sénégalaise a réalisé pour la première fois un tir de missile antinavire depuis un patrouilleur de haute mer, marquant une étape majeure dans la modernisation de ses capacités maritimes.
Un moment historique vient de marquer un tournant décisif pour les forces armées sénégalaises : la Marine nationale a réussi, pour la première fois, le tir d’un missile antinavire depuis un patrouilleur de haute mer (PHM). Cette prouesse technologique illustre la modernisation et la montée en puissance de la flotte nationale dans le cadre de la Stratégie navale 2050.
Selon le Commandant Ndiaye, chargé de communication de la Marine nationale, « ce succès est le résultat d’une vision claire, d’un engagement constant et d’une préparation rigoureuse ». Il a également salué « la maîtrise technique et le professionnalisme » des équipages, mettant en avant le niveau de compétence atteint par les forces sénégalaises dans un domaine jusque-là réservé aux grandes puissances navales.
Ce test réussi renforce la capacité du Sénégal à protéger ses intérêts maritimes sur un espace de près de 200 000 km², riche en ressources halieutiques et en hydrocarbures. Face aux défis tels que la pêche non autorisée, les trafics en mer ou la protection des ressources énergétiques, la Marine dispose désormais d’un outil de dissuasion crédible et d’une autonomie opérationnelle renforcée.
Cette réussite intervient à un moment symbolique : la célébration du cinquantenaire de la Marine nationale et de la Journée des Forces armées. « Cet exploit illustre la maturité de notre institution et notre engagement à défendre la souveraineté maritime du Sénégal », a déclaré le Commandant Ndiaye.
Les nouveaux patrouilleurs de haute mer, équipés de systèmes d’armes modernes, permettront d’améliorer la surveillance de la zone économique exclusive et d’assurer une réponse rapide face à toute menace.
Avec cette avancée, le Sénégal confirme sa place parmi les acteurs maritimes influents d’Afrique de l’Ouest. Fidèle à sa devise « Sur mer, pour la patrie », la Marine nationale ouvre une nouvelle page de son histoire, celle d’une force moderne, souveraine et prête à protéger les intérêts du pays sur toutes les mers.
Après les incidents ayant marqué la fin du match US Ouakam–Jaraaf, la Ligue sénégalaise de football annonce une enquête pour identifier les responsables et préserver l’image du championnat.
La Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) a annoncé l’ouverture d’une enquête approfondie à la suite des incidents survenus à la fin de la rencontre opposant l’US Ouakam au Jaraaf (1-0), dimanche, au stade de Ngor, lors de la deuxième journée de Ligue 1.
Dans un communiqué, la LSFP a rappelé que les débordements n’ont pas leur place dans les enceintes sportives, soulignant que ce phénomène nuit gravement à l’image du football national.
L’instance a invité l’ensemble des acteurs à faire preuve de responsabilité et a assuré que les faits ne resteront pas sans suite. Elle a promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ces comportements inacceptables.
Ces épisodes regrettables, devenus récurrents dans les stades de Ligue 1, continuent d’inquiéter les autorités sportives, qui appellent à un retour à la sérénité et au fair-play.
Le président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, a renouvelé la solidarité du Sénégal envers la Palestine lors de sa rencontre avec l’envoyé spécial de Mahmoud Abbas à Dakar.
Le président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, a reçu samedi à Dakar l’envoyé spécial du président palestinien, Mahmoud Sidqi Al-Habbash. Cette rencontre, à laquelle participait également l’ambassadeur de la Palestine au Sénégal, a permis de réaffirmer la solidarité constante du Sénégal envers le peuple palestinien, selon un communiqué des services du Parlement.
L’émissaire a transmis au nom du président Mahmoud Abbas et du peuple palestinien leurs remerciements pour le soutien continu et les prises de position fermes du Sénégal, notamment face à la situation humanitaire à Gaza. Il a également salué le rôle historique du Sénégal, ancien président du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.
En réponse, El Malick Ndiaye a rappelé la position claire et constante du Sénégal, réaffirmant l’attachement de son pays à la cause palestinienne. Il a cité les déclarations fortes du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko sur cette question.
Le président de l’Assemblée nationale a enfin plaidé pour une solution durable reposant sur la coexistence de deux États souverains, avec Jérusalem-Est comme capitale de la Palestine, tout en saluant l’accord de cessez-le-feu récemment conclu.
Lors du « Téra Meeting » à Dakar, Ousmane Sonko a affirmé que le Sénégal refuse la restructuration de sa dette proposée par le FMI, préférant préserver sa souveraineté économique.
Le président du parti PASTEF et Premier ministre, Ousmane Sonko, a déclaré samedi à Dakar que le Sénégal avait décidé de faire des sacrifices pour sauvegarder sa dignité nationale plutôt que d’accepter une restructuration de sa dette telle que proposée par le Fonds monétaire international (FMI).
Lors du grand rassemblement politique baptisé « Téra Meeting », tenu sur le parking du stade Léopold Sédar Senghor, il a expliqué que les discussions avec le FMI avaient été ardues. Selon lui, l’institution internationale proposait une restructuration équivalant à un défaut de paiement, ce qui aurait placé le pays dans une situation de quasi-faillite.
Ousmane Sonko a souligné que le gouvernement avait refusé cette option, jugeant qu’elle porterait atteinte à la fierté nationale. Il a affirmé que le Sénégal préférait rester un pays digne plutôt que d’accepter une mesure jugée humiliante.
Il a également précisé que la dernière mission du FMI à Dakar s’était conclue sur une note positive, avec des perspectives encourageantes selon le ministère des Finances et du Budget.
Réagissant aux critiques de l’opposition, le chef du gouvernement a rejeté les accusations selon lesquelles l’État chercherait à appauvrir les citoyens à travers les impôts. Il a assuré qu’aucune taxe supplémentaire n’avait été appliquée sur les produits essentiels tels que l’eau, l’électricité, le riz ou le sucre.
Ousmane Sonko a aussi évoqué la politique de rationalisation budgétaire engagée par son gouvernement, marquée par une réduction importante des dépenses liées aux séminaires, aux déplacements et à l’achat de véhicules. D’autres secteurs verront également leurs budgets réajustés afin d’encourager les économies publiques.
Enfin, il a invité les Sénégalais à la patience et à la résilience, leur demandant d’accepter des efforts sur une période de deux à trois ans dans le cadre du Plan de redressement économique et social (PRES).
Après un incident survenu dans une boutique du campus social, le CROUS de Thiès annonce plusieurs mesures pour renforcer la sécurité et rassurer les étudiants.
À la suite d’un incident survenu dans la nuit du vendredi au samedi dans une boutique multiservice du campus social de l’Université Iba Der Thiam de Thiès, le Centre Régional des Œuvres Universitaires Sociales de Thiès (CROUS/T) a décidé de mettre en place de nouvelles mesures de sécurité.
La direction du CROUS/T a assuré que toutes les dispositions nécessaires seront prises pour garantir la tranquillité et la sûreté au sein du campus. Parmi les actions prévues figurent :
— le renforcement de la collaboration avec les forces de l’ordre à travers des patrouilles régulières, un suivi nocturne et une surveillance accrue des zones sensibles ;
— une coordination plus étroite avec les responsables de l’UIDT et de l’EPT pour améliorer la gestion des points d’accès au campus social ;
— la modernisation des dispositifs de surveillance et de l’éclairage dans les zones jugées à risque.
Le CROUS/T a enfin tenu à rassurer la communauté universitaire et les partenaires économiques, réaffirmant que la sécurité des étudiants demeure au cœur de ses priorités.
Le collectif « Ñaxtu National » fait face à un blocage policier à Sacré-Cœur 3, après la décision du préfet de Dakar d’interdire la manifestation pour risque de troubles à l’ordre public.
Le collectif du « Ñaxtu National » semble dans l’impossibilité de tenir sa mobilisation prévue au terrain Sacré-Cœur 3. Au moment où ces lignes sont écrites, des éléments de la police sont déjà déployés sur les lieux afin d’empêcher toute tentative de rassemblement, conformément à la décision du préfet de Dakar.
Ce dernier avait en effet refusé l’autorisation demandée par le collectif, invoquant des risques de troubles à l’ordre public. Dans sa réponse officielle, le préfet avait clairement indiqué que la manifestation ne pourrait se tenir ce samedi au lieu choisi.
Cette interdiction place le collectif face à un dilemme, alors que les forces de l’ordre veillent désormais à faire respecter la mesure préfectorale sur le terrain.
Actualité à Thiès
Thiès : lancement d’un vaste programme de pavage et de création d’espaces verts
Thiès : la 2ᵉ édition des Rencontres économiques et commerciales des femmes du Sénégal lancée en présence du représentant du ministre Aliou Dione
Actualités
Le budget 2026 du ministère de la Jeunesse et des Sports adopté à l’unanimité par l’Assemblée nationale
Envoûtement présumé à Mbour : une jeune femme accuse un marabout de manipulation mystique
Service Commercial: 772150237 - Email: seyelatyr@hotmail.com







