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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
03/12/2025
Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
Lors d’un panel organisé à Dakar, le professeur Oumar Dia a exhorté les Africains à soutenir les Palestiniens, estimant que la situation qu’ils vivent constitue une menace qui pourrait concerner d’autres peuples.
Le professeur Oumar Dia, enseignant-chercheur au département de philosophie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), a invité les Africains à se tenir aux côtés des Palestiniens, qu’il considère confrontés à une situation qu’il qualifie de menace existentielle.
Il s’exprimait samedi lors d’un panel intitulé « À l’école et au chevet de la Palestine », organisé dans le cadre du colloque international marquant le centenaire de Frantz Fanon (1925-1961). Selon lui, la situation du peuple palestinien ne doit pas être perçue comme lointaine ou étrangère aux autres peuples.
« Il est de notre devoir d’être solidaires des Palestiniens, car la menace existentielle qui pèse sur eux pourrait, un jour, peser sur nous également », a-t-il affirmé devant les participants.
Ce colloque international, qui s’est déroulé sur quatre jours au Musée des Civilisations noires, s’est achevé samedi autour du thème « L’espérance africaine de Fanon ». Il a réuni 120 délégations issues de plus de vingt pays d’Afrique et d’autres régions du monde.
Selon Oumar Dia, l’objectif poursuivi par les Européens serait de disposer d’une Palestine sans Palestiniens, une perspective qu’il estime proche de se concrétiser. Il a souligné que, au-delà des considérations morales et éthiques qui devraient naturellement susciter la solidarité, il existe un danger réel qu’il serait erroné de croire limité à un seul peuple.
Évoquant les bombardements israéliens sur Gaza, l’enseignant-chercheur a déclaré que l’humanité vivrait, pour la première fois de son histoire, ce qu’il a qualifié de « génocide en direct ».
Il a également salué la résistance palestinienne, qu’il juge remarquable, estimant qu’elle dépasse le seul cadre de la libération de la Palestine pour concerner, selon lui, l’ensemble du monde.
Enfin, Oumar Dia a établi un lien entre cette résistance et la pensée de Frantz Fanon, rappelant que ce dernier prônait la révolution et la lutte des peuples comme voies d’accès à la liberté.
Le Centre hospitalier national Dalal Jamm a réalisé avec succès sa deuxième greffe de moelle osseuse, entièrement menée par une équipe sénégalaise, renforçant l’autonomie et l’excellence du système de santé.
Le Sénégal enregistre une nouvelle avancée majeure dans le domaine médical. L’Unité de greffe de moelle osseuse du Centre hospitalier national Dalal Jamm a mené à bien une deuxième intervention de ce type, quelques mois après une première opération réalisée avec succès à la mi-2025. Comme lors de la précédente, l’ensemble du processus a été assuré par des spécialistes sénégalais, illustrant la progression des capacités médicales nationales.
Cette nouvelle greffe a été effectuée par une équipe exclusivement féminine, placée sous la coordination de la professeure Fatou Samba Diago Ndiaye, responsable du service d’hématologie clinique. Elle était accompagnée de la professeure Seynabou Fall et de la docteure Lolita, déjà impliquées dans la première intervention, qui ont de nouveau confirmé leur maîtrise technique.
Le patient pris en charge se porte aujourd’hui très bien et a tenu à exprimer sa reconnaissance à l’ensemble du personnel soignant pour la qualité des soins et le professionnalisme dont il a bénéficié tout au long du traitement.
Cette réalisation marque une étape importante pour le système de santé sénégalais. Elle contribue à limiter les évacuations sanitaires à l’étranger, souvent coûteuses, tout en offrant aux patients une prise en charge spécialisée sur le territoire national.
La direction du Centre hospitalier national Dalal Jamm a salué cette performance, soulignant sa volonté de renforcer durablement l’unité de greffe afin d’en faire un pôle de référence pour le Sénégal et la sous-région ouest-africaine.
Au-delà de l’exploit médical, cette deuxième greffe réussie met en lumière la place croissante des compétences locales et le rôle central du leadership féminin dans la médecine spécialisée, en cohérence avec les ambitions nationales en matière de souveraineté sanitaire.
La Senelec annonce une indisponibilité temporaire du système Woyofal dans la nuit du 17 au 18 décembre 2025 en raison de travaux de mise à niveau.
La Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec) a informé sa clientèle d’une interruption temporaire du système de vente de crédit Woyofal, prévue dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 décembre 2025, entre 00h et 06h.
Dans un communiqué publié le 16 décembre 2025, l’entreprise précise que cette indisponibilité s’inscrit dans le cadre de travaux de mise à niveau visant à assurer un fonctionnement optimal du service de crédit prépayé.
Pendant cette période, aucune opération d’achat de crédit Woyofal ne pourra être effectuée, que ce soit par les clients ou par les partenaires externes en charge de l’encaissement et de la distribution.
La Senelec recommande ainsi aux usagers de prendre les dispositions nécessaires en achetant leur crédit avant l’arrêt programmé du système, afin d’éviter tout désagrément.
La société présente par ailleurs ses excuses pour les désagréments occasionnés et assure que le service sera rétabli normalement dès la fin des travaux.
Touché aux ischio-jambiers, Ilay Camara est officiellement forfait pour la CAN 2025 après des examens médicaux réalisés à Dakar, a annoncé la FSF.
Le sélectionneur Pape Thiaw devra se passer d’Ilay Camara lors de la Coupe d’Afrique des nations 2025. La Fédération sénégalaise de football (FSF) a confirmé, à travers un communiqué diffusé ce mardi matin, l’indisponibilité du défenseur sénégalais pour la compétition prévue au Maroc.
Âgé de 22 ans, le joueur s’est blessé aux ischio-jambiers lors de sa dernière apparition avec son club, le RSC Anderlecht. Pris en charge à Dakar, il a subi des examens médicaux approfondis afin d’évaluer la nature exacte de sa blessure.
Selon l’instance fédérale, les résultats des examens ont révélé une atteinte musculaire sérieuse. « Une IRM effectuée ce jour a mis en évidence une lésion musculaire de grade II au niveau de l’ischio-jambier droit. En conséquence, le joueur est déclaré forfait pour la CAN Maroc 2025 », précise la FSF dans son communiqué.
Ce forfait constitue un coup dur pour la sélection sénégalaise, qui devra ajuster son effectif avant le début de la compétition continentale.
L’APPEL dénonce des décisions jugées illégales du ministère de la Communication, évoque des dysfonctionnements dans la gestion du FADP et annonce une action en justice pour réparation.
Dans un communiqué rendu public, l’Association des Éditeurs et Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL) a vivement critiqué des agissements qu’elle qualifie d’illégaux de la part du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique (MCTN).
L’organisation explique que ces prises de décision sont intervenues après des relevés du ministère, malgré l’annulation par la Cour suprême de deux arrêtés ministériels, jugés contraires à la Constitution et au Code de la presse. L’APPEL estime également que le ministère a agi de manière unilatérale, sans consultation préalable des acteurs du secteur des médias, rompant ainsi avec les mécanismes de dialogue jusque-là en vigueur.
Par ailleurs, l’association déplore des irrégularités dans la gestion du Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP). Elle dénonce des prélèvements qualifiés d’arbitraires sur des ressources destinées à la Commission de la Carte nationale de Presse et au CORED, utilisés pour le paiement de loyers de la Maison de la Presse, et ce, sans validation du Conseil de gestion ni fondement contractuel.
Le communiqué fait également état de 21 mois de pressions exercées sur les médias en ligne, évoquant notamment une « asphyxie fiscale », la résiliation de contrats publicitaires avec l’État et l’exclusion de la presse privée. Ces mesures auraient, selon l’APPEL, provoqué des pertes d’emplois importantes dans le secteur.
Face à cette situation, l’association réclame l’identification des entreprises de presse ayant cessé leurs activités ou subi des préjudices significatifs, ainsi qu’une évaluation des dommages par des experts qualifiés. Elle annonce enfin son intention d’engager une procédure judiciaire en vue d’obtenir réparation.
Réuni à Abuja, la Conférence des Chefs d’État de la CEDEAO a porté le Sénégal à la présidence de la Commission pour le mandat 2026-2030.
Le Ministère de l’Intégration Africaine, des Affaires Étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a annoncé, dans un communiqué officiel, l’élection du Sénégal à la présidence de la Commission de l’Organisation pour la période 2026-2030.
Cette décision a été prise lors de la 68e session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la CEDEAO, tenue le 14 décembre 2025 à Abuja.
Selon le ministère, il s’agit d’une première pour le Sénégal, fruit d’un processus de concertations approfondies menées au sein de l’espace communautaire. Le communiqué met en avant le rôle jugé déterminant du Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, dont le leadership, la vision et les orientations stratégiques ont contribué à l’aboutissement favorable de la candidature sénégalaise.
Cette élection est présentée comme une reconnaissance du rôle du Sénégal au sein de la CEDEAO et plus largement en Afrique, reflétant la confiance et l’estime accordées par les États membres.
À cette occasion, le Sénégal a réaffirmé son engagement en faveur du renforcement de la CEDEAO ainsi que de la promotion de la paix, de la stabilité et de la prospérité dans l’espace ouest-africain.
Un camp de chirurgie infantile organisé par l’ONG AMREF se tient à l’hôpital régional de Kolda pour soigner des enfants de moins de 14 ans atteints de diverses pathologies.
Un camp de chirurgie destiné aux enfants de moins de 14 ans est en cours au centre hospitalier régional de Kolda, dans le sud du pays. Cette initiative est portée par l’ONG AMREF, en collaboration avec la direction régionale de la Santé, dans le but d’améliorer la prise en charge chirurgicale des plus jeunes.
Démarré vendredi, le programme cible des enfants présentant différentes pathologies, notamment des hernies, des séquelles de brûlures, des fractures ainsi que certaines affections urologiques. Selon le chirurgien pédiatre Gabriel Ngom, coordonnateur du camp, l’objectif est d’assurer la prise en charge de cinquante enfants au cours de cette activité qui se poursuit jusqu’à dimanche.
Le professeur Ngom a indiqué que seize patients avaient déjà été opérés dès la première journée. Les interventions se déroulent normalement, portées par une équipe composée de plusieurs spécialistes, ce qui permet d’assurer les opérations sans difficulté particulière.
Profitant de l’occasion, le chirurgien a invité les parents à signaler le plus tôt possible toute anomalie ou pathologie observée chez leurs enfants. Il a insisté sur l’importance d’une consultation précoce afin d’éviter des complications, soulignant que des prises en charge tardives peuvent allonger considérablement la durée et la complexité des interventions.
Il a notamment attiré l’attention sur certaines pathologies devant être opérées très tôt, comme les cas d’enfants dont les testicules ne sont pas descendues. Selon lui, ces interventions devraient idéalement être réalisées avant l’âge de neuf mois, alors que dans la région, de nombreux patients arrivent encore tardivement.
Les promoteurs du camp soulignent par ailleurs que cette initiative constitue également une opportunité de renforcer les compétences et l’expérience pratique des chirurgiens exerçant dans les régions, contribuant ainsi à l’amélioration durable de l’offre de soins spécialisés.
Badara Gadiaga, libéré après 150 jours de détention, exprime sa gratitude envers ses soutiens et réaffirme la nécessité de réformes dans le système judiciaire sénégalais.
Après avoir passé 150 jours en détention, Badara Gadiaga a livré ses premiers mots à sa sortie.
Il a tenu à exprimer sa profonde reconnaissance envers tous ceux qui l’ont soutenu, notamment la société civile, les guides religieux, les artistes ainsi que les médias sénégalais.
Dans sa déclaration, il a rappelé son attachement à la justice, soulignant qu’elle demeure incontournable, tout en estimant que des améliorations importantes doivent être apportées au fonctionnement du système judiciaire. Il a également adressé ses remerciements à la population sénégalaise pour les nombreuses marques de solidarité reçues durant cette période, exprimant son optimisme pour l’avenir du pays.
Libéré sous contrôle judiciaire et équipé d’un bracelet électronique sur décision du juge, Badara Gadiaga a assuré qu’il poursuivra son engagement en faveur de la justice et de la liberté d’expression.
dakaractu
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