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Des projets majeurs d’alimentation en eau potable sont lancés dans plusieurs communes de Ziguinchor. Ils prévoient forages, châteaux d’eau, réseaux de distribution et bornes fontaines pour améliorer durablement l’accès des populations à l’eau.


Ziguinchor : lancement de deux grands programmes pour améliorer l’accès à l’eau potable

 

Le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement a lancé, à Madina Birassou dans le département de Bignona, deux initiatives visant à renforcer l’accès à l’eau potable dans la région de Ziguinchor. Ces programmes représentent un investissement global de 4,116 milliards de francs CFA, financés par l’État du Sénégal avec l’appui de plusieurs partenaires dont Eau Vive Sénégal, 3D/MUSOL-AECID, ACRA et le PDEC de la commune d’Énampore.

Lors de la cérémonie officielle, à laquelle ont pris part des responsables administratifs, des représentants de services techniques, des élus locaux, ainsi que le directeur général de l’OFOR, Serigne Dieng, le ministre Cheikh Tidiane Dièye a détaillé l’envergure des interventions prévues.

Les travaux concernent, d’une part, les communes de Kataba 1, Djinaky, Diembéring et Oukout, et d’autre part, la commune d’Énampore, située dans l’arrondissement de Nyassia. Au total, 96 localités réparties entre les départements de Bignona, Oussouye et Ziguinchor bénéficieront de ces aménagements.

Les infrastructures prévues incluent la création de 7 forages, l’installation de 14 systèmes solaires hybrides, la construction de 4 châteaux d’eau, l’extension de 464 km de réseaux de distribution, ainsi que la mise en place de 5 982 branchements sociaux et de 233 points d’eau dans les écoles et espaces communautaires. Ces réalisations devraient permettre à plus de 113 000 habitants d’avoir accès à une eau de qualité à l’horizon 2045.

La durée des travaux est fixée à 24 mois pour les communes de Kataba 1, Djinaky, Diembéring et Oukout, tandis qu’Énampore bénéficiera d’un calendrier de 12 mois. L’exécution est confiée à l’Office des forages ruraux (OFOR).

Cheikh Tidiane Dièye a souligné que ces initiatives s’inscrivent pleinement dans la vision du gouvernement visant à garantir un accès élargi et équitable à l’eau potable, conformément aux objectifs du Plan Sénégal 2050 et du programme national de transformation. Il a également rappelé que d’autres projets majeurs d’hydraulique rurale sont en cours, notamment la seconde phase du programme d’approvisionnement en eau potable en zones rurales et le PASEA-RD.

Le ministre a salué l’implication des collectivités territoriales, en particulier les maires ayant financé les études préalables, ainsi que l’engagement constant des partenaires techniques. Il a appelé les entreprises à respecter les délais et à assurer des réalisations de qualité.

Selon lui, ces projets participeront activement au développement de la Casamance en soutenant l’accès à l’eau pour les usages quotidiens, mais aussi pour les activités économiques locales, favorisant ainsi le retour et la stabilité des populations. Il a enfin invité les communautés à veiller à la préservation des infrastructures pour garantir leur pérennité.



Lundi 24 Novembre 2025 |

Des opérations menées à Keur Massar ont permis d’arrêter deux individus et de saisir d’importantes quantités de produits prohibés ainsi qu’une arme. La gendarmerie renforce sa présence pour protéger les populations.


Keur Massar : deux interpellations et saisies majeures lors d’opérations ciblées

 

Dans la zone de Keur Massar, la Brigade de Recherches a récemment conduit plusieurs interventions ayant abouti à des résultats significatifs dans la lutte contre les réseaux illicites. Ces opérations, menées sur plusieurs jours, ont permis d’identifier et de neutraliser deux individus impliqués dans des activités interdites.

Tout a commencé le vendredi 21 novembre 2025, lorsque des informations exploitables ont orienté les enquêteurs vers un réseau actif à Niague. Après une phase prolongée d’observation, les gendarmes ont pu interpeller la principale cible, surprise dans son propre poulailler. L’homme est poursuivi pour détention et circulation de produits prohibés ainsi que pour possession illégale d’arme.

Une fouille effectuée sur les lieux a abouti à la découverte de 2,5 kg de substances interdites, d’une arme, de deux munitions de calibre 6 mm et d’un étui de calibre 12/7.

Le lendemain, au cours d’une opération de sécurisation menée dans le même secteur, les éléments de la brigade ont repéré un autre individu adoptant un comportement jugé suspect. Grâce à une intervention discrète et rapide, il a été arrêté et il transportait 500 grammes de produits prohibés.

Ces actions témoignent de l’engagement constant de la gendarmerie à freiner les activités clandestines et à garantir un environnement plus sûr pour les populations de Keur Massar et des zones voisines.



Lundi 24 Novembre 2025 |

Le ministre de l’Hydraulique alerte à Nyassia sur le déficit d’assainissement au Sénégal et annonce des programmes visant à améliorer l’accès aux infrastructures, surtout en zones rurales.


Assainissement au Sénégal : près de deux millions de personnes sans installations adaptées

 

Lors de la célébration de la Journée mondiale dédiée aux installations sanitaires, organisée à Nyassia, le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, a rappelé l’ampleur des défis liés au manque d’infrastructures dans le pays. D’après les données de l’ANSD (2023), près de deux millions de Sénégalais, dont la grande majorité en zones rurales, ne disposent pas encore de solutions adaptées.

Dans la région de Ziguinchor, environ 38 % des foyers restent sans service amélioré. Le ministre a expliqué que ces chiffres traduisent la nécessité d’agir pour préserver la santé publique et l’environnement, un appel renforcé par les données du rapport conjoint OMS/UNICEF 2025, indiquant que des milliards de personnes dans le monde restent sans dispositif sécurisé.

Placée sous le thème « L’assainissement dans un monde en mutation », l’édition 2025 vise à encourager une mobilisation collective. Cheikh Tidiane Dièye a souligné que, dans la Vision Sénégal 2050, l’accès durable à l’assainissement constitue une priorité nationale, avec pour objectif d’éliminer les pratiques non encadrées.

Il a détaillé plusieurs programmes en cours : un budget de 7,5 milliards F CFA permettra la construction de plus de 18 600 ouvrages, dont la vastemajorité destinée aux familles. Ces réalisations devraient améliorer le quotidien de plus de 200 000 personnes et offrir des installations adaptées à des milliers d’élèves, notamment des filles.

Le ministre a également indiqué qu’un programme déjà lancé a permis de construire 1 341 latrines familiales et 36 édicules publics. Dans le cadre d’un autre projet national, près de 10 000 latrines et 30 édicules supplémentaires seront réalisés dans plusieurs régions telles que Tambacounda et Kédougou.

Cheikh Tidiane Dièye a rappelé que les efforts de la Direction de l’assainissement et de l’Office national de l’assainissement s’inscrivent dans un plan d’envergure visant la construction de 120 000 ouvrages à travers le pays. Il a aussi mis en avant le Projet d’accélération de l’assainissement dans les régions du Sud, d’un montant de 39,5 milliards F CFA, qui couvrira des zones comme Ziguinchor, Oussouye ou Vélingara.

Une réflexion est également engagée concernant les localités de la basse Casamance, et le village de Toubacouta, à Nyassia, sera bientôt équipé d’un système d’adduction d’eau potable. Le ministre a assuré que ces initiatives auront un impact positif durable sur les communautés rurales.



Dimanche 23 Novembre 2025 |

À Dakar, 86 candidats ont été promus au rang d’agrégés lors du 22ᵉ concours du CAMES en sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion. Une cérémonie marquée par des félicitations officielles et des messages d’encouragement.


Concours d’agrégation du CAMES : 86 nouveaux enseignants élevés au rang d’agrégés à Dakar

 

Les résultats du 22ᵉ concours d’agrégation en sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion du CAMES ont été rendus publics ce vendredi 21 novembre 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Sur les 215 candidats en lice, 86 ont été promus au rang d’agrégés, en présence d’universitaires, de représentants institutionnels et de leurs proches.

Représentant le ministre de l’Enseignement supérieur, Moustapha Ndieck Sarré a salué, au nom du ministre Daouda Ngom, l’excellence des lauréats. Il a rappelé que cette distinction récompense de longues années d’efforts, de constance et d’engagement académique. Selon lui, accéder au grade de maître de conférences agrégé signifie rejoindre l’élite scientifique du continent, avec la mission de former les générations à venir et de renforcer le développement interne des États africains.

Le ministre a invité les nouveaux agrégés à relever plusieurs défis : favoriser des recherches de qualité, renforcer l’encadrement des doctorants, stimuler la production scientifique, soutenir les administrations et les entreprises par l’expertise académique, et contribuer à bâtir des sociétés plus équitables et inclusives.

S’adressant aux candidats non admis, Moustapha Ndieck Sarré a encouragé la persévérance. Il a rappelé que ce concours nécessite parfois plusieurs tentatives et que les moments de doute doivent servir de levier pour progresser. Il a également remercié le recteur et les membres du jury pour leur engagement dans la valorisation du savoir.

Parmi les lauréats, Mouhamadou Ba, major de la section d’histoire, du droit et des institutions, est revenu sur la difficulté du concours. Il souligne que la réussite repose en grande partie sur un travail constant, une préparation rigoureuse et l’appui d’une équipe pédagogique expérimentée. Selon lui, cette combinaison d’efforts et de discipline constitue la clé pour avancer et se donner toutes les chances de réussir.



Samedi 22 Novembre 2025 |

Ousmane Sonko souligne le rôle central de l’ASECNA dans la connectivité africaine et appelle à une gouvernance collective pour ses futurs projets.


Ousmane Sonko met en avant la contribution stratégique de l’ASECNA à la coopération africaine

 

Le Premier ministre Ousmane Sonko a mis en lumière, lors d’une rencontre à Dakar, l’importance de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) dans le développement du transport aérien sur le continent. Il a rappelé que les valeurs de solidarité, de compétence, de neutralité technique et de mutualisation ont permis à l’Agence de maintenir son cap malgré les variations politiques ou économiques.

Le chef du gouvernement ouvrait la 76ᵉ session du Comité des ministres de l’ASECNA, une rencontre majeure consacrée à l’avenir de la navigation aérienne en Afrique. Ousmane Sonko a souligné la solidité de l’institution, construite autour d’une gouvernance commune et reconnue mondialement pour sa gestion d’espaces aériens partagés. Il est également revenu sur les débuts exigeants de cette structure créée au moment des indépendances.

Selon le Premier ministre, l’ASECNA demeure un exemple remarquable de coopération réussie entre États africains, justifiant l’attention que lui accordent ses membres. Il a encouragé le Comité des ministres à aborder leurs travaux avec sérieux, notamment en ce qui concerne l’étude du Plan d’Orientations Stratégiques (POS 2026–2035) et du Plan de Services et Équipements (PSE 2026–2030).

Ousmane Sonko a insisté sur le fait que ces plans ne se limitent pas à une accumulation de projets nationaux, mais illustrent la volonté des pays africains d’avancer ensemble, d’investir de manière concertée et de moderniser leurs systèmes de communication, de surveillance et de navigation, y compris ceux utilisant des technologies satellitaires.

Il a affirmé que l’ASECNA montre la capacité de l’Afrique à développer sa propre expertise technique grâce à la coopération, à la formation et à une discipline collective. Les efforts mutualisés permettent de renforcer la compétitivité des espaces aériens tout en facilitant les politiques publiques des États membres. Le Premier ministre a réitéré la volonté du Sénégal de participer activement à la maîtrise continentale des infrastructures essentielles, en particulier dans le domaine aéronautique.

De son côté, Fatima Goukouni Weddeye, présidente du Comité des ministres de l’ASECNA, a assuré que les décisions de cette session s’appuieront sur la rigueur et une vision claire pour maintenir l’Agence sur une trajectoire de stabilité et de progrès partagés. Selon elle, cette réunion constitue une occasion d’accélérer la modernisation de l’institution.

Elle a rappelé les plus de 65 ans d’existence de l’ASECNA, une structure devenue un symbole fort de coopération technique et d’intégration entre plusieurs nations africaines et au-delà. Durant cette session extraordinaire, les ministres examineront en détail le plan stratégique qui oriente l’Agence pour la prochaine décennie ainsi que le plan opérationnel quinquennal qui en découle.



Vendredi 21 Novembre 2025 |

Cheikh Bara Ndiaye et Maïmouna Ndour Faye s’opposent à travers des démarches juridiques après une série d’accusations publiques.


Tensions publiques entre Cheikh Bara Ndiaye et Maïmouna Ndour Faye

 

Une vive controverse oppose actuellement Cheikh Bara Ndiaye à Maïmouna Ndour Faye, deux figures bien connues au Sénégal. La situation a pris de l’ampleur après que Maïmouna Ndour Faye a annoncé son intention de saisir la justice, estimant que Cheikh Bara Ndiaye avait porté atteinte à son image à travers des déclarations qu’elle juge inexactes.

Cheikh Bara Ndiaye avait en effet soutenu que Maïmouna Ndour Faye aurait obtenu un passeport diplomatique et serait chargée de maintenir des échanges avec certains responsables de la coalition Diomaye Président. Cette dernière a fermement nié ces propos et avait prévu de réagir par une procédure officielle.

Avant même qu’elle ne puisse concrétiser sa démarche, Cheikh Bara Ndiaye a finalement pris les devants. Dans une publication sur son compte Facebook, il a indiqué avoir introduit une plainte visant Maïmouna Ndour Faye, l’accusant d’atteintes à son honneur, de propos offensants et de menaces.



Vendredi 21 Novembre 2025 |

Taïba Ndiaye démarre un programme durable axé sur l’éducation, la santé et l’autonomie économique, avec un accompagnement communautaire sur cinq ans.


Taïba Ndiaye lance un programme durable pour renforcer les services sociaux et l’autonomie locale

 

La commune de Taïba Ndiaye a officiellement lancé un programme de développement durable destiné à renforcer l’éducation, la santé et l’autonomie économique des habitants. Cette initiative, financée par une entreprise dans le cadre de sa politique sociale, marque le début d’une nouvelle phase d’appui communautaire. La mise en œuvre a été confiée à une organisation spécialisée à la suite d’un appel d’offres.

Durant la cérémonie de lancement, les autorités administratives ont salué une démarche construite avec les populations locales et considérée comme une étape essentielle pour renforcer les initiatives déjà présentes dans la commune. Les représentants locaux ont exprimé leur satisfaction face à un projet longuement attendu par les habitants.

L’organisation chargée de l’exécution du programme a rappelé son expérience dans l’éducation, la santé, la formation des jeunes et l’autonomisation des femmes. Les responsables ont souligné que le choix de leur structure traduit la volonté de s’appuyer sur une expertise reconnue dans le domaine communautaire.

Selon les porteurs du projet, la première année sera consacrée au développement du capital humain, au renforcement du leadership local, à l’appui socio-économique et à l’organisation de groupes d’épargne populaire. L’objectif est de permettre à la commune de construire un modèle fondé sur la solidarité, la gouvernance inclusive et l’entrepreneuriat local.

Les responsables ont également évoqué une vision centrée sur une communauté capable de gérer ses propres dynamiques de progrès, en s’appuyant sur l’implication des jeunes, la cohésion sociale et l’autonomisation des femmes. Le programme compte près de 9 600 bénéficiaires directs et devrait toucher plusieurs milliers d’autres personnes à travers des actions de sensibilisation.

Les autorités administratives ont assuré que les premiers résultats seront visibles rapidement, notamment dans l’éducation, la santé et l’accompagnement des jeunes. Prévu pour cinq ans, ce programme se veut un levier pour améliorer l’accès aux services sociaux, renforcer l’écosystème entrepreneurial et soutenir les secteurs clés du développement local à Taïba Ndiaye.



Vendredi 21 Novembre 2025 |

Le Sénégal veut réduire sa dépendance aux importations militaires et développer une industrie de défense locale, en collaboration avec le secteur privé et les innovateurs.


Le Sénégal mise sur une industrie nationale de la défense pour renforcer sa souveraineté

 

Le ministre des Forces armées a rappelé, jeudi, l’importance pour le Sénégal de diminuer sa dépendance aux équipements militaires importés, une situation qu’il considère comme une menace directe pour la souveraineté et la liberté d’action du pays. Selon lui, cette orientation vers l’autonomie stratégique n’est ni un repli ni un isolement, mais un choix destiné à protéger les intérêts essentiels de la nation.

Il s’exprimait lors de la Journée de mobilisation des investisseurs dédiée à l’industrie de la défense, en présence du chef d’état-major général des armées, de représentants du secteur privé, de chercheurs, d’universitaires et d’étudiants. Le ministre a précisé que la stratégie adoptée vise à maîtriser une partie de la chaîne de production des équipements grâce au développement de capacités locales de conception, de fabrication et de maintenance.

Cette démarche s’inscrit dans la stratégie nationale de développement 2025-2029, qui place le secteur privé au cœur de la transformation économique. Le ministre a rappelé que le chef de l’État lui a confié, en juillet 2024, la mission de mettre en place les cadres de coopération nécessaires pour bâtir ces capacités locales.

Il considère les investisseurs comme des partenaires essentiels dans la construction d’une véritable industrie de défense. La rencontre a permis de présenter au secteur privé les besoins du pays, les perspectives de croissance et les innovations issues du Prix du président de la République pour l’innovation technologique à vocation militaire et paramilitaire. L’objectif est d’identifier des partenaires capables d’accompagner et d’industrialiser les solutions proposées.

Saluant le travail des chercheurs et innovateurs nationaux, le ministre a souligné que le principal défi concerne l’industrialisation : transformer un prototype en produit fini, un projet de laboratoire en capacité opérationnelle. Il a appelé le secteur privé à participer à la structuration de filières, à la production en série et à la conquête de marchés régionaux et internationaux.

L’État prévoit d’appuyer cette dynamique à travers un cadre juridique et financier, porté par la future Agence nationale de l’industrie de la défense, le Fonds souverain d’investissements stratégiques et la Banque des innovations. Il souhaite également que cette filière soit inclusive, en associant PME, jeunes entrepreneurs et femmes cheffes d’entreprise.

Selon le ministre, une industrie nationale de la défense renforcerait l’autonomie logistique du pays, protégerait les technologies sensibles, soutiendrait l’économie et créerait des emplois spécialisés. Il a évoqué les partenariats déjà engagés dans la construction de véhicules militaires et la fabrication de munitions, tout en appelant à de nouveaux investissements via des partenariats publics-privés et des zones industrielles dédiées.

Il a également invité les chercheurs à formaliser et protéger leurs innovations. Cette journée vise à rapprocher innovateurs et investisseurs pour favoriser la signature de contrats et la création de joint-ventures.

Le ministre a conclu en appelant à une mobilisation nationale dès 2025 pour poser les bases d’une véritable industrie de la défense, appelée à devenir un pilier de la souveraineté et du développement du Sénégal.



Vendredi 21 Novembre 2025 |
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