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La Direction des Bourses précise les dates et modalités de paiement pour l’année 2025-2026 et explique les décalages constatés lors des versements précédents.
La Direction des Bourses du Ministère de l’Enseignement supérieur a publié ce 18 novembre une note destinée à informer les étudiants sur le déroulement des paiements des allocations pour l’année en cours. Cette communication intervient dans un contexte marqué par deux jours de tensions entre des étudiants de l’Ucad et les forces de sécurité.
Le document rappelle d’abord que les versements suivent un cycle annuel allant d’octobre à septembre. Pour les étudiants en master, deux années de paiement sont prévues, avec une possibilité supplémentaire pour ceux ayant redoublé.
La Direction souligne que les étudiants en master ayant déjà perçu un versement au titre de l’année 2024-2025 seront automatiquement pris en charge pour 2025-2026. Ceux dont l’inscription a été finalisée après le dernier paiement de septembre 2025, ou dont les listes ont été reçues tardivement, recevront un versement pour 2025-2026 et un renouvellement pour 2026-2027.
Concernant la nouvelle année universitaire, le premier paiement interviendra dès le début du mois de décembre 2025. Il couvrira les mois d’octobre et de novembre, ainsi que le trousseau.
La Direction reconnaît néanmoins que des ajustements budgétaires ont provoqué certains décalages. Ainsi, un paiement en retard prévu pour 2024-2025 a finalement été assuré à partir des ressources de 2025-2026, ce qui a conduit certains étudiants à recevoir deux versements dans le même exercice.
Pour apaiser les inquiétudes, le Directeur des Bourses, Jean Amédé Diatta, affirme que les droits des étudiants restent pleinement pris en compte et appelle à davantage de compréhension face aux mesures mises en œuvre pour régulariser les paiements.
Les recettes fiscales enregistrent une nette avancée au troisième trimestre 2025, avec des performances remarquables sur les impôts directs et une croissance soutenue des ressources internes.
Le troisième trimestre 2025 confirme une évolution positive des recettes publiques, portée surtout par la bonne tenue des impôts directs. Sur les neuf premiers mois de l’année, ces derniers ont généré 1 172 milliards de F CFA, soit 81,9 % de l’objectif annuel de 1 430,4 milliards, un niveau qui dépasse les projections établies par les autorités.
En additionnant l’ensemble des recettes fiscales, le montant cumulé atteint 2 987,9 milliards de F CFA, représentant 72,9 % de la cible fixée pour 2025. Ce volume traduit une hausse de 211,1 milliards (+7,6 %) par rapport à la même période en 2024, illustrant une mobilisation interne toujours dynamique.
Par catégorie, l’impôt sur les sociétés se démarque particulièrement. Avec 432,9 milliards encaissés pour une prévision de 429,9 milliards, il affiche un taux d’exécution de 100,7 %, performance qualifiée d’exceptionnelle dans le rapport.
L’impôt sur le revenu des valeurs mobilières connaît également une évolution remarquable. Les encaissements atteignent 111,5 milliards pour une cible annuelle de 86,6 milliards, soit un taux de 128,7 %, le plus élevé parmi les impôts directs.
À l’inverse, l’impôt sur le revenu classique progresse à un rythme plus lent, avec 578,1 milliards mobilisés, correspondant à 68,1 % de la cible annuelle. La taxe sur la plus-value immobilière reste le poste le moins avancé, avec un taux d’exécution de 57,1 % à fin septembre.
Du côté des impôts indirects — dominés par les taxes sur les biens et services, dont la TVA — les recettes atteignent 1 661,2 milliards de F CFA, soit 67,2 % de l’objectif annuel. Ce résultat marque une progression de 86,1 milliards (+5,5 %) par rapport à l’année précédente.
Selon le rapport, cette amélioration des recettes indirectes est notamment soutenue par la taxe spéciale sur le ciment et par celle appliquée aux contrats d’assurance, qui ont contribué à renforcer leur dynamique.
La DER/FJ lance une vaste opération judiciaire pour récupérer les prêts étatiques non remboursés, ciblant des bénéficiaires ayant détourné d’importantes sommes.
La Délégation générale à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) a engagé une vaste opération judiciaire visant à récupérer les prêts publics non remboursés, parfois considérables, accordés à des bénéficiaires qui n’ont jamais honoré leurs engagements.
À la tête de cette initiative, la déléguée générale Aïda Mbodj entend mettre fin aux financements fictifs et aux projets jamais réalisés. Plusieurs plaintes ont été déposées et des dossiers transmis à la Division des Investigations Criminelles (DIC) ainsi qu’à d’autres services spécialisés.
La première interpellation concerne un homme se présentant comme agent de développement communautaire à Ziguinchor, accusé d’avoir détourné près de 28 millions de FCFA destinés à la construction d’une boulangerie. Quatre ans après l’octroi du financement, aucun projet n’a été lancé et les remboursements sont quasi inexistants : seulement 600 000 FCFA ont été versés sur la totalité de la somme.
Lors de son audition, l’intéressé a reconnu les faits et a demandé un étalement des remboursements, espérant bénéficier d’un moratoire. La DER/FJ, cependant, entend faire de cet exemple un signal fort et renforcer la rigueur dans le traitement des financements publics.
Selon les sources, plusieurs procédures similaires sont déjà en cours, impliquant des individus isolés ou des groupements ayant détourné ou abandonné des prêts étatiques, afin de protéger les véritables entrepreneurs et restaurer la confiance dans le dispositif de financement.
Une étude de l’ANEC montre que 11 % des habitants de Tambacounda n’ont pas d’acte de naissance, tandis que les déclarations de mariages et de décès restent très limitées. Des mesures sont engagées pour améliorer l’accès à l’état civil.
Une étude menée par l’Agence nationale de l’état civil (ANEC) fait ressortir un faible niveau d’enregistrement des faits d’état civil dans la région de Tambacounda. Selon ce document, 11 % de la population ne possède pas d’acte de naissance, 66,9 % des unions ne sont pas déclarées et 60,8 % des décès ne sont pas enregistrés.
Les résultats de cette étude, réalisée dans le cadre de la Semaine nationale de l’état civil dont l’ouverture officielle est prévue ce mardi à Kothiary (département de Goudiry), ont été présentés lundi à Tambacounda lors d’une rencontre consacrée à la situation de l’état civil. La séance a été présidée par l’adjointe au gouverneur chargée du développement, Diarryatou Ndiaye, en présence de plusieurs responsables administratifs et locaux.
D’après le rapport, la région de Tambacounda compte 59 centres d’état civil, dont 46 principaux et 13 secondaires. Le document identifie plusieurs difficultés qui limitent l’accès des populations aux services d’état civil : dégradation et manque d’équipement de certains centres, pénuries de registres et d’imprimés, absence de système d’archivage structuré, faible qualité de la connexion Internet, effectifs insuffisants et manque de formation du personnel.
L’étude mentionne également des actions déjà engagées par l’ANEC pour améliorer la situation. Parmi elles figurent le renforcement des capacités de soixante officiers d’état civil, de soixante préposés aux archives et de deux cent cinquante agents. L’Agence a aussi entrepris des initiatives pour améliorer les conditions d’archivage dans plusieurs centres, notamment ceux de Tambacounda, Gabou, Ballou, Sinthiou Malem, Missirah, Makacoulibantang, Dialacoto, Bamba Ndiayène, Payar et Ndame, qui ont reçu un appui en matériel ou en organisation des archives.
Présent à cette rencontre, le président du conseil de surveillance de l’ANEC, Mamadou Seydou Tounkara, a souligné l’importance d’accélérer la digitalisation de l’état civil dans la région. Selon lui, la position géographique de Tambacounda, proche de plusieurs pays de la sous-région et marquée par une forte mobilité transfrontalière, rend cette transition indispensable pour mieux sécuriser les données.
Il a par ailleurs invité les médias et les collectivités territoriales à renforcer la sensibilisation auprès des populations sur l’importance de l’état civil.
À la veille du match amical Sénégal–Kenya, Pape Thiaw assure que son groupe a bien tiré les enseignements du revers face au Brésil et vise un rebond avant la CAN 2025.
Le Sénégal se prépare à affronter le Kenya mardi en match amical, avec l’ambition de se relancer et d’affiner les derniers réglages en vue de la prochaine Coupe d’Afrique des nations. Selon le sélectionneur national, le groupe a tiré de nombreux enseignements du précédent match disputé samedi contre le Brésil.
Depuis Antalya, où les Lions poursuivent leur rassemblement, Pape Thiaw a précisé lundi que la récupération se poursuit pour les joueurs ayant débuté la rencontre de Londres, tandis que le reste de l’effectif a effectué une séance complète. Une ultime session d’entraînement est prévue avant d’aborder la rencontre contre les Harambee Stars, programmée mardi à 15 h GMT.
Le sélectionneur estime que le revers concédé face au Brésil, qui a mis fin à une longue série positive de 26 matchs, constitue une source d’enseignement essentielle. Il souligne que, malgré le résultat, l’équipe a montré de bonnes choses qu’il faudra préserver, tout en corrigeant les points qui ont posé problème.
Pape Thiaw insiste également sur l’importance de l’opposition contre le Kenya, un adversaire dont le niveau se rapproche de celui de plusieurs équipes que les Lions rencontreront lors de la CAN prévue au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. Il estime qu’il sera crucial de bien entrer dans la rencontre afin d’éviter toute difficulté.
Malgré la défaite contre le Brésil, le sélectionneur assure que le groupe reste concentré et motivé. Les joueurs, habitués aux exigences du haut niveau, souhaitent rapidement repartir sur une dynamique positive. Il rappelle par ailleurs que, lors des précédentes rencontres contre la RD Congo et l’Angleterre, les Lions ont su renverser la situation après avoir été menés.
Sur le plan médical, Pape Thiaw a précisé que Pape Matar Sarr, sorti sur blessure samedi, est resté à Londres pour suivre des soins.
Le défenseur Abdoulaye Seck, présent en conférence de presse, a pour sa part affirmé la détermination de l’équipe à obtenir un résultat positif face au Kenya, soulignant que ce type d’adversaire fait partie des profils que le Sénégal croisera durant la compétition continentale.
Le président Bassirou Diomaye Faye adopte un décret modernisant les critères d’admission dans les Forces armées, avec de nouvelles dispositions concernant l’âge, l’EMS et les conditions d’engagement.
Le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a signé le jeudi 30 octobre 2025 un décret officialisant les nouvelles conditions d’engagement au sein des Forces armées sénégalaises. Ce texte modernise et harmonise les critères d’admission, tout en introduisant des dispositions adaptées aux recrutements, notamment pour l’École militaire de santé (EMS).
Selon le décret, les candidats doivent être âgés d’au moins 18 ans et de 28 ans au maximum pour intégrer les Forces armées. Une dérogation est toutefois accordée aux postulants à l’engagement spécial d’élève officier de réserve, qui peuvent désormais se présenter jusqu’à l’âge de 35 ans.
Une mesure importante concerne les jeunes bacheliers âgés de 17 ans. Ceux-ci sont désormais autorisés à participer au concours d’entrée de l’EMS, sous condition d’une autorisation parentale. En cas de réussite, ils seront engagés à titre provisoire et intégreront l’école à partir de leurs 18 ans révolus.
Le texte rappelle également les exigences physiques et morales attendues des candidats. Ils doivent présenter une bonne condition physique, être en bonne santé, et ne pas avoir fait l’objet d’une condamnation. Leur conduite doit refléter les standards de discipline et d’éthique propres aux Forces armées.
Les engagements peuvent être enregistrés tout au long de l’année, mais restent provisoires pendant les 90 premiers jours suivant la signature du contrat, une période dédiée à l’observation avant validation définitive.
Enfin, le décret précise que l’application de ces dispositions relève du ministre des Forces armées et qu’il sera publié au Journal officiel.
Une opération coordonnée par INTERPOL, la Sûreté Urbaine et les Eaux et Forêts a permis de saisir 50 kg d’ivoire soigneusement dissimulés à Dakar. Le principal suspect affirme ne pas avoir agi seul.
Dans un communiqué officiel, il a été indiqué que ce vendredi 14 novembre 2025, une intervention d’envergure a été réalisée conjointement par INTERPOL, la Sûreté Urbaine de Dakar ainsi que la Direction des Eaux, Forêts et Chasse.
Un individu identifié sous le nom d’Aziz a été retrouvé dans son magasin de brocante touristique avec une importante quantité d’ivoire destinée à une vente internationale. Les éléments saisis totalisent 50 kg, comprenant deux défenses de 15 kg chacune et 107 pièces sculptées, pour une valeur estimée à 15 millions de francs.
Selon les précisions fournies, les défenses étaient soigneusement dissimulées dans des sacs de riz fermés avec des serflex, tandis que les objets sculptés étaient enveloppés dans des feuilles de journaux. Lors de ses premières déclarations, la personne mise en cause a affirmé ne pas être la seule impliquée dans cette opération.
Le communiqué rappelle également que l’éléphant d’Afrique, aujourd’hui menacé de disparition sur le continent, fait l’objet d’une politique de tolérance zéro dans les procédures nationales, régionales et internationales encadrées par les lois et conventions ratifiées par le Sénégal. Il est également souligné qu’un éléphant est éliminé toutes les vingt minutes en Afrique, et que la circulation illégale de ses défenses est associée à des réseaux financiers liés à diverses organisations armées.
Le Sénégal et la Norvège ont signé un accord visant à soutenir la transition énergétique et le développement durable, conformément à l’Article 6.2 de l’Accord de Paris sur le marché carbone.
Le samedi 15 novembre 2025, le Sénégal et le Royaume de Norvège ont conclu un Accord de Coopération Bilatérale pour la mise en œuvre de l’Article 6.2 de l’Accord de Paris relatif aux marchés carbone. La signature s’est déroulée à Belém, en marge de la COP 30.
Cet accord a été paraphé par le Dr El Hadji Abdourahmane Diouf, Ministre de l’Environnement et de la Transition écologique du Sénégal, et par Andreas Bjelland Eriksen, Ministre du Climat et de l’Environnement de Norvège.
L’initiative vise à renforcer la coopération climatique en s’appuyant sur des principes clés tels que l’intégrité environnementale, la transparence, l’additionnalité et le développement durable. Elle permettra d’appuyer concrètement les objectifs du Sénégal, notamment le développement des énergies renouvelables, le financement des projets d’adaptation au changement climatique et le soutien aux efforts nationaux en matière de marché carbone.
Le Ministre Diouf a rappelé que, sous l’impulsion du Président Bassirou Diomaye Faye et du Premier Ministre Ousmane Sonko, le Sénégal poursuit une transition énergétique ambitieuse. Le pays met en œuvre des politiques fortes de sobriété carbone, d’efficacité énergétique, de reforestation et de gestion durable des terres et des écosystèmes.
Le gouvernement sénégalais a salué l’engagement de la Norvège ainsi que l’appui du Ministère des Affaires étrangères et du Global Green Growth Institute (GGGI), réaffirmant sa volonté d’assurer une mise en œuvre exemplaire de cet accord et d’ouvrir la voie à de nouvelles initiatives de coopération climatique.
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