|
Le Portail de Thiès sur le Web
|
|
Thiès-Ville : Réunion de rentrée 2025-2026 sous le signe de la performance
27/10/2025
Réussir ensemble avec Habib Vitin
24/10/2025
Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
18/10/2025
L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
15/10/2025
Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
14/10/2025
Les estimations de la DAPSA annoncent une production d’arachide dépassant 900 000 tonnes pour la campagne 2024-2025. Une performance portée par les réformes agricoles et la mobilisation des producteurs.
Les premières estimations techniques de la Direction de l’Analyse, de la Prévision et des Statistiques Agricoles (DAPSA) laissent entrevoir une production record de plus de 900 000 tonnes d’arachide pour la campagne 2024-2025. Ce chiffre symbolique marque une étape importante dans la relance du secteur agricole sénégalais.
Cette progression résulte d’une mobilisation coordonnée entre l’État et les producteurs, soutenue par la vision du ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, Dr Mabouba Diagne. En visite dans la région de Goudiry, le ministre s’est félicité des résultats obtenus et a salué les initiatives citoyennes issues du programme “Souxali Sa Gokh”, qui encouragent les communautés rurales à prendre part activement à la production agricole.
Parmi les exemples cités figure celui du Colonel Ismaïla Sarr, ancien officier supérieur de la gendarmerie devenu agriculteur modèle. Sur une superficie de 50 hectares à Koar, il cultive diverses spéculations — arachide, maïs, mil, sorgho, pastèque, bissap, melon et gombo — avec l’appui du MASAE et de l’ISRA. Son exploitation, structurée et performante, symbolise la nouvelle génération d’agriculteurs patriotes et modernes que le gouvernement souhaite promouvoir.
Afin de renforcer cette dynamique, le ministre a annoncé plusieurs mesures :
-
la création d’une CUMA (Coopérative d’Utilisation de Matériel Agricole) autour du Colonel Sarr pour faciliter le partage d’équipements ;
-
son agrément comme multiplicateur de semences certifiées ;
-
le lancement d’une antenne “Allô Tracteurs” à Goudiry pour améliorer l’accès à la mécanisation.
Le ministère prévoit également la mise en place d’une Brigade de la Souveraineté Alimentaire, en collaboration avec le ministère des Forces Armées, afin d’impliquer les anciens militaires dans la production agricole et la gestion durable des ressources hydriques.
Dr Mabouba Diagne a résumé cette orientation en une phrase : « La souveraineté ne se décrète pas, elle se construit dans les champs. »
Grâce à des conditions climatiques favorables, une meilleure disponibilité d’intrants et une organisation renforcée des producteurs, le Sénégal semble plus que jamais engagé sur la voie de l’autosuffisance et de la souveraineté alimentaires, piliers du Plan national de transformation agricole.
Lors du Salon international des médias d’Afrique, le SG du SYNPICS, Moustapha Cissé, a appelé à une presse régie par des règles justes et à la prise en compte des urgences du secteur, dont le déblocage du FADP et du budget du CORED.
Le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), Moustapha Cissé, a lancé lundi un appel pour que les médias sénégalais soient régis par des règles claires et équitables, tout en soulignant la nécessité de répondre à certaines urgences du secteur.
S’exprimant lors de la cérémonie d’ouverture de la première édition du Salon international des médias d’Afrique (SIMA), tenue à Dakar, il a estimé que ce moment de célébration ne devait pas occulter les défis auxquels fait face la presse.
Parmi ces urgences, il a cité la levée de la suspension des conventions de partenariat entre plusieurs médias et des structures publiques, ainsi que l’autorisation de la distribution du Fonds d’appui et de développement de la presse (FADP).
Le ministère de tutelle exige désormais que les entreprises de presse soient en règle avec le fisc et présentent un bilan financier annuel pour bénéficier de ce fonds.
Moustapha Cissé a également plaidé pour le déblocage du budget du Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie (CORED), la revalorisation de la carte nationale de presse, et un meilleur financement de l’audiovisuel public.
Dénonçant le “silence administratif” du ministère sur ces questions, il a rappelé que la presse constitue à la fois “un pilier de la République”, “un miroir de la société” et “un levier de souveraineté”.
“La presse ne demande pas de privilèges, elle exige des conditions dignes pour exercer sa mission. Elle ne cherche pas à contourner les règles, mais demande qu’elles soient claires, équitables et appliquées”, a-t-il affirmé.
Selon lui, le SIMA doit servir de cadre pour rebâtir la confiance entre les médias et les institutions, en favorisant de meilleures conditions de travail et en renforçant la solidarité entre les pays africains.
Le SG du SYNPICS souhaite que le salon devienne “une étape d’un processus plus large et fraternel”, plutôt qu’un simple événement ponctuel.
Il a également profité de l’occasion pour réclamer l’attribution de locaux au SYNPICS dans la Maison de la presse, précisant que ce lieu avait initialement été conçu pour abriter le siège du syndicat sous la présidence d’Abdoulaye Wade, sans que cela ne se concrétise.
La première édition du SIMA, organisée par la Maison de la presse avec l’appui du ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, se poursuit jusqu’au 30 octobre, autour du thème : “L’Afrique face aux nouveaux enjeux des médias”.
La commune de Ngaye Mékhé a lancé la distribution de 4 000 poubelles dans le cadre d’un projet de gestion des déchets financé par l’AFD, en partenariat avec Saint-Dié-des-Vosges, pour promouvoir une économie verte et un environnement plus propre.
La municipalité de Ngaye Mékhé a lancé, ce dimanche, une opération de distribution de 4 000 poubelles destinées aux ménages des différents quartiers de la commune. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un projet de gestion durable des déchets solides, soutenu par l’Agence française de développement (AFD).
Selon le maire Maguette Wade, ce programme, mené conjointement avec la commune française de Saint-Dié-des-Vosges, bénéficie de l’appui des gouvernements sénégalais et français. Il a pour objectif principal de promouvoir une économie verte et circulaire tout en améliorant le cadre de vie des habitants.
Le maire a précisé que le projet a déjà permis la construction d’une décharge conforme aux normes, l’acquisition d’un tracteur, de deux bennes à ordures, ainsi que de matériel de pré-collecte. Il a également contribué à la formation et au renforcement des capacités des acteurs locaux impliqués dans la gestion des déchets.
Le programme comprend en outre la mobilisation d’assistants techniques et l’organisation de missions d’échanges entre les deux communes partenaires, afin de partager les meilleures pratiques en matière de gouvernance environnementale.
Pour Maguette Wade, cette distribution de bacs à ordures représente une étape clé vers une propreté durable et une gestion plus efficace des déchets à Ngaye Mékhé.
À Kharakhena, dans le département de Saraya, la Brigade régionale des stupéfiants de Kédougou a arrêté un individu en possession de Tramadol et de Kush. Une perquisition a permis de découvrir 60 sachets supplémentaires de drogue.
La Brigade régionale des stupéfiants (BRS) de Kédougou, relevant de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), a mené une opération fructueuse le 24 octobre 2025 à Kharakhena, dans le département de Saraya.
Les agents ont interpellé un individu soupçonné de trafic de substances psychotropes, à la suite d’un renseignement opérationnel indiquant qu’il écoulait du Tramadol et du Kush, une drogue synthétique très répandue dans la région.
Lors de son arrestation, les enquêteurs ont découvert sur lui 480 comprimés de Tramadol, 10 sachets de Kush, ainsi qu’une somme d’argent suspecte, considérée comme provenant de la vente de drogue.
Une perquisition à son domicile a ensuite permis de saisir 60 sachets supplémentaires de Kush, confirmant l’importance de son activité illicite.
Le suspect a été placé en garde à vue pour trafic de drogue et détention de produits psychotropes. L’enquête se poursuit sous la supervision du parquet compétent afin d’identifier d’éventuels complices.
dakaractu
Invité de l’émission En Vérité sur la RSI, le ministre de l’Environnement, Dr Abdourahmane Diouf, a salué la posture d’unité du président Bassirou Diomaye Faye et appelé les Sénégalais à dépasser les divisions pour construire une nation apaisée.
Lors de son passage dans l’émission En Vérité sur la RSI, le ministre de l’Environnement, Dr Abdourahmane Diouf, a tenu un discours d’unité et de réconciliation, saluant la volonté du président Bassirou Diomaye Faye de rassembler tous les Sénégalais autour d’un projet national commun.
Le ministre a rappelé que le Chef de l’État a clairement affirmé n’être pas le président d’un parti, mais celui de toute la République, symbole d’un leadership tourné vers l’équilibre et la paix.
Abordant les questions de justice, Dr Diouf a insisté sur la nécessité du pardon sans impunité : « Les questions de justice sont importantes, mais il faut aussi savoir pardonner. Pardonner ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de justice. Cependant, la justice ne doit jamais servir à éliminer un Sénégalais au profit d’un autre. »
Le leader du parti Awalé a mis en garde contre la profondeur des fractures sociales observées dans le pays, estimant qu’il est « grand temps de dépasser la haine et les divisions ». Il a encouragé le président Faye à poursuivre la voie du dialogue et du rassemblement.
Dans un appel solennel, Abdourahmane Diouf a exhorté le Chef de l’État à refuser toute forme de justice partisane : « Il ne doit pas accepter que le pays sombre dans la division ni cautionner une justice des vainqueurs. Sans réconciliation, il sera impossible de bâtir une nation solide et de parler de développement. »
Le ministre a conclu en réaffirmant que la paix et la concorde demeurent les fondements d’un Sénégal fort et uni : « Heureusement, le Président est un homme de paix et de dialogue. Le peuple doit l’accompagner dans ce vaste chantier de réconciliation nationale. »
rts
Le pool d’avocats de l’ancien président Macky Sall tiendra une conférence de presse ce jeudi à Mermoz pour évoquer l’affaire dite « dette cachée ».
Le collectif d’avocats représentant l’ancien président Macky Sall s’adressera à la presse ce jeudi 23 octobre à 16h, depuis le siège de l’APR à Mermoz.
Cette rencontre, à laquelle prendront part les conseils sénégalais et internationaux de l’ancien chef de l’État, sera consacrée à l’affaire dite « dette cachée ». Les avocats devraient y apporter des précisions sur les aspects judiciaires et les développements récents entourant ce dossier.
À Matam, plus d’un million d’hectares de terres sont touchés par la dégradation due aux feux de brousse et aux coupes illicites, selon l’IREF.
La région de Matam fait face à une dégradation alarmante de ses terres, conséquence directe des feux de brousse, de l’érosion et des coupes illicites de bois. Selon le commandant Daouda Ndiogou, inspecteur régional des eaux et forêts, près d’un million d’hectares sont aujourd’hui affectés sur une superficie totale de plus de 29 000 km².
Ces précisions ont été données à l’issue d’une formation de trois jours organisée dans le cadre du projet LOGMe II, consacrée au renforcement des capacités des communautés agropastorales de la région. Les participants y ont appris diverses techniques de restauration et de conservation des sols, ainsi que des méthodes de réhabilitation des terres dégradées.
Le commandant Ndiogou a alerté sur les conséquences écologiques et sociales de cette dégradation, soulignant qu’elle entraîne la baisse de la fertilité des sols, l’exode rural et la pauvreté. Il a insisté sur la nécessité de promouvoir des méthodologies durables pour freiner ce phénomène destructeur.
Durant la formation, les acteurs communautaires ont été initiés à des approches concrètes comme la pose de cordons pierreux ou le système Zaï, deux techniques efficaces pour récupérer les terres abîmées. Les sessions comprenaient des cours théoriques, des activités de reboisement et des exercices pratiques sur le terrain.
Le projet LOGMe II, mis en œuvre par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), concerne quatre communes de la région : Ranérou, Vélingara Ferlo, Louguéré Thioly et Wouro Sidy. Cette initiative vise à doter les communautés locales des outils nécessaires pour lutter durablement contre la dégradation des terres et préserver l’écosystème de Matam.
aps
Le Sénégal reçoit son quatrième avion L410NG pour renforcer la desserte des zones reculées et soutenir sa Vision 2050 de développement aérien.
Le Sénégal continue de moderniser son aviation nationale avec la réception d’un quatrième avion L410NG, conçu pour relier les zones les plus difficiles d’accès du pays. Cette acquisition s’inscrit dans la Vision Sénégal 2050, une stratégie de long terme qui fait de la connectivité aérienne un levier essentiel du développement territorial.
Une commande stratégique pour cinq avions
Ce nouvel appareil s’ajoute à une commande de cinq avions neufs passée auprès du constructeur Aircraft Industries. Deux avions ont déjà été livrés à Dakar, tandis qu’un cinquième est en cours de fabrication. Le modèle L410NG se distingue par sa capacité à opérer sur des pistes courtes et non asphaltées, répondant ainsi aux besoins des régions encore peu desservies.
Formation et transfert de compétences
Le ministre des Transports aériens, Yankoba Diémé, a mis l’accent sur l’importance de la formation dans cet accord. Un programme de 45 jours est prévu pour 35 agents sénégalais, dont 15 techniciens et 20 pilotes, afin d’assurer la maîtrise des opérations et la maintenance des appareils localement. Cette initiative vise à renforcer l’autonomie et les compétences nationales dans le secteur aérien.
Le ministre a par ailleurs salué la coopération exemplaire avec le constructeur tchèque, soulignant le respect des engagements contractuels et le soutien technique fourni au Sénégal.
Des ambitions régionales affirmées
Malgré les difficultés rencontrées par Air Sénégal, Yankoba Diémé a réaffirmé la volonté du pays de devenir un hub aérien majeur en Afrique de l’Ouest. Il a aussi mis en avant les progrès réalisés en matière de sécurité aéroportuaire, un facteur déterminant pour attirer davantage de compagnies internationales.
Le Sénégal se prépare également à participer au Dubai Airshow en novembre prochain, où un accord avec Boeing pourrait être finalisé. Cet engagement témoigne des ambitions du pays de renforcer sa flotte et sa position stratégique dans le transport aérien régional.
En misant sur cette politique d’expansion, le gouvernement entend désenclaver les zones périphériques tout en consolidant la place du Sénégal comme un acteur clé de l’aviation ouest-africaine.
Actualité à Thiès
Habib Vitain dévoile son programme : “Thiès d’Abord” veut redonner souffle à la cité du rail
Thiès : Vives réactions des marchands après le déguerpissement
Actualités
Dakar : le gouverneur ordonne le retrait des véhicules et épaves abandonnés sur la voie publique avant le 11 novembre
Mévente de 350 000 tonnes de riz dans le nord du Sénégal : les producteurs alertent sur une situation critique
Service Commercial: 772150237 - Email: seyelatyr@hotmail.com







