Ce choix porte atteinte au mandat de l'Onu, souligne leur déclaration conjointe.
"Au Moyen-Orient, cela risque de retarder davantage la fin des hostilités et de compromettre l'établissement d'une voie crédible vers la solution à deux États [...] vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, conformément aux résolutions pertinentes des Nations unies", indique le document.
Les signataires ont réaffirmé leur plein soutien à Antonio Guterres, mettant en valeur son engagement en faveur de la paix, de la sécurité et du droit international.
Le groupe a appelé toutes les parties "à s’abstenir d’actes susceptibles de compromettre le rôle essentiel des Nations unies dans la résolution des conflits".
Israël a désigné Antonio Guterres "persona non grata" le 2 octobre et lui a interdit l'entrée sur son sol. Tel Aviv reproche au chef de l'Onu de ne pas avoir nommément condamné l'Iran après l'attaque massive de missiles qui a visé l'État hébreu.
Sputnik